Aux Etats-Unis, l’histoire de Brianne Dressen, mère de famille de l’Utah, met en lumière les complexités et les enjeux entourant les effets secondaires possibles des vaccins COVID-19. Rejoignant un essai clinique d’AstraZeneca en 2020, Dressen affirme souffrir de douleurs invalidantes depuis lors. Son procès contre le géant pharmaceutique soulève des questions cruciales sur la responsabilité des entreprises basées dans la vaccinothérapie, les compensations pour les participants aux essais cliniques et surtout des effets secondaires graves des vaccins COVID.
Brianne Dressen, a lancé une poursuite judiciaire contre AstraZeneca. Dans sa plainte déposée devant un tribunal fédéral le 13 mai, elle a participé à un essai clinique pour le vaccin Covid-19 de la société pharmaceutique en automne 2020. Suite à l’injection du produit expérimental, elle a déclaré qu’elle souffre d’une « douleur invalidante ».
Une nouvelle poursuite contre AstraZeneca
A l’âge de 39 ans, Dressen a rejoint l’essai clinique d’AstraZeneca en toute confiance, mais a rapidement développé des symptômes graves après avoir reçu une dose du vaccin. Cependant, elle avait signé un formulaire de consentement dans lequel, tous les effets secondaires possibles et les réactions graves après injection ont été mentionnés d’après le rapport de Bloomberg Law. Mais dans ce document, la société pharmaceutique a aussi promis une « compensation » pour les frais de soin en cas de blessure potentielle causée par la recherche.
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