Malgré la normalisation de la vie quotidienne, les autorités sanitaires américaines veulent maintenir un climat anxiogène sur le COVID.Le président Joe Biden, bien que testé positif au COVID-19, a été vu sans masque en public, en contradiction avec les recommandations des CDC. La Maison Blanche a affirmé qu’il suivait les directives en s’isolant et en prenant des médicaments. Cependant, l’absence de masque a soulevé des interrogations sur la rigueur de l’application des mesures de prévention. Pour mémoire, le décret intitulé « Protéger la main-d’œuvre fédérale et exiger le port du masque » abrogé en avril, était l’une des mesures phares de Biden durant le Covid-19. Par ce geste, Biden a reconnu l’inefficacité des politiques sanitaires mises en place et sans doute le déclin naturel de l’épidémie.
Le président Joe Biden n’a pas porté un masque de visage en public alors que la Maison Blanche a annoncé qu’il avait été testé positif au COVID. Présentant des symptômes « légers», le médecin du président disait que Biden s’isolerait « conformément aux directives des CDC pour les individus symptomatiques ».
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Le simple fait de considérer le masque est honteux.
Le dispositif perdure et pour cause ! Ainsi, nous assistons à la reconduction VDL en 2024 et à l’avidité sans limite du système sans âme mais qui rapporte gros…
Y aller doucement, qu’on s’acclimate ! D’abord on parle des masques…
Voilà qui me rappelle un extrait des informations délivrées par un Collectif de Santé en Loire-Atlantique. C’était en novembre 2022 :
“LOMS ne sert plus la santé mondiale mais des intérêts privés : l’OMS est une agence spécialisée des Nations Unies, créée en 1948 pour “renforcer la coopération internationale en vue d’améliorer les conditions de santé publique”. Mais elle s’est éloignée de sa mission initiale.
La raison en est que son financement provient dorénavant à 80 % de sources privées (contre 20 % des Etats). Bill Gates, grâce à sa fondation Bill & Melinda Gates et à ses ONG (GAVI, CEPI, SAGE, Rotary International), est le plus gros bailleur de fonds de l’OMS, loin devant les Etats-Unis, ce qui en fait le dirigeant officieux, quoique non élu. Dans ce rôle, il est en mesure de s’assurer que les décisions prises par l’OMS profitent à ses intérêts et à ceux de ses partenaires de l’industrie pharmaceutique.
L’OMS a déclaré en 2019 (donc avant le Covid) que les meilleures pratiques pour juguler une épidémie consistaient à éviter les quarantaines ou les confinements, à vivre normalement en isolant les malades et en laissant les médecins prescrire. Le port du masque non plus n’était pas recommandé. Mais, du fait de sa mise sous tutelle par les intérêts privés, son discours a changé. Peu importe la science, il fallait au contraire que l’OMS recommande les règles opposées, celles qui enrichiraient le plus les multinationales, en terrorisant les populations et en les privant des libertés fondamentales, afin de les rendre dociles à la vaccination, source ultime de profit.
Peu importe aussi l’inefficacité du vaccin Covid et ses effets secondaires effrayants qui obligent à parler de crime de masse : les chiffres actuels, venant de plusieurs sources indépendantes, donnent 1 décès pour 1 000 injections, soit 17 millions de morts dans le monde (et 120 000 en France. La censure à tous les niveaux, organisée par les médias subventionnés, les gouvernements et l’OMS, a pour l’instant protégé les responsables. Les labos pharmaceutiques et leurs actionnaires ont gagné des dizaines de milliards de dollars, tandis que le contribuable a financé le programme dispendieux et contre-productif de l’OMS.
L’industrie pharmaceutique voudrait bien répéter son “coup” du Covid pour continuer à s’enrichir année après année. pour cela, en 2021, l’OMS a avancé des arguments selon lesquels il était nécessaire de modifier le RSI (Règlement Sanitaire International dont l’objectif est d’améliorer la coordination de la surveillance internationale en réponse aux urgences sanitaires) pour faire face aux prochaines pandémies censées être plus fréquentes et provenir des animaux. Ces arguments sont infondés car la mortalité diminue depuis 120 ans grâce aux antibiotiques et aux meilleures conditions de vie, et les contacts avec les animaux diminuent du fait de la perte de la biodiversité. Mais peu importe, l’objectif des amendements est de livrer la santé mondiale à la finance”. (Collectif “Parents en Colère”).