Selon le discours officiel, les injections anti COVID peuvent prévenir les maladies graves, mais pas l’infection. Outre ses nombreux effets secondaires de plus en plus difficiles à dissimuler, l’efficacité des “vaccins” anti-covid actuels a toujours été remise en cause : l’immunité offerte s’estompant rapidement. Un nouveau vaccin muqueux en cours de développement au Canada pourrait combler cette lacune. Cette nouvelle injection sans aiguille procurerait une immunité contre toutes les variantes du SRAS-CoV-2.
L’efficacité des vaccins COVID ARN est remise en cause, les nombreux effets secondaires sont de plus en plus relayés par la presse mainstream. Selon Big Pharma, leurs vaccins permettraient uniquement de prévenir les formes sévères du Covid-19, et non l’infection.Une nouvelle alternative se présente sous la forme de vaccins sans aiguille, une vaccination dite stérilisante. L’administration du vaccin nasal pourrait bloquer l’action du virus et sa réplication, ce qui éliminera tout risque d’infection.
Des vaccins de nouvelle génération sans aiguille pour mettre fin à la pandémie
Selon autorités sanitaires, les vaccins n’offrent pas une protection de longue durée. Chaque année, les autorités de régulation de santé publique doivent recommander leur mis à jour. Pour la campagne de vaccination automnale 2024 par exemple, la plupart des régulateurs ont demandé aux fabricants de développer des vaccins actualisés pouvant cibler les variants en circulation comme le JN.1 et le KP.2.
Au Canada, selon Santé Canada le Covid-19 est encore à l’origine de décès générant d’autres troubles à long terme (effet secondaires de la vaccination ARN ?) qui commence à resurgir, comme le COVID long et d’autres complications cardiovasculaires ou neurologiques.
Au milieu de tout ce chao et de la fatigue liée aux rappels de vaccination, un nouvel espoir se faufile à l’horizon. Il s’agit du développement de vaccins muqueux. L’utilisation de ces vaccins de dernière génération qui ne requièrent pas l’utilisation d’une aiguille pourrait signer la fin de la pandémie du Covid-19.
A propos des vaccins muqueux
Actuellement, différents laboratoires du monde entier, notamment au Canada, lancent les vaccins muqueux à inhaler ou à pulvériser dans la narine. Selon les chercheurs, ils ont été conçus pour stopper les infections. Ils seraient plus efficaces que les vaccins injectables qui ne peuvent pas fournir une protection au niveau des voies respiratoires, ni déclencher une réponse immunitaire des muqueuses.
Autres avantage, le stockage de ce vaccin inhalable serait plus pratique et peu coûteux. Son acheminement dans les régions éloignées ne présente donc aucun risque.
Matthew Miller, codirecteur du centre canadien de préparation aux pandémies, titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les pandémies virales et professeur agrégé de biochimie a l’Université McMaster à Hamilton, et une équipe de scientifiques sont en train de mener une étude sur le développement d’un vaccin inhalé anti COVID. Ils vont commencer les essais de phase 2. Le vaccin est à inhaler à l’aide d’un dispositif similaire à un inhalateur pour l’asthme. Il sera testé dans différentes villes canadiennes incluant l’Ottawa l’année prochaine.
Un vaccin « polyvalent et à effet durable »
Ce vaccin muqueux se concentre sur différentes parties du virus, pas seulement la protéine de pointe. Selon Miller, l’objectif est « d’éviter les rappels constants et la chasse aux variants ». Autrement dit, ils visent à créer un « vaccin polyvalent et à effet durable ». En outre, il devrait avoir « d’autres indications au-delà du Covid-19 ».
Des scientifiques chinois ont également mené des recherches sur un vaccin muqueux. Les données préliminaires sont prometteuses. Selon le bilan, plus de 86% des personnes ayant reçu le vaccin n’ont pas été infectées.
Notons qu’actuellement, la FDA (Food and Drug Administration) n’a autorisé qu’un seul vaccin nasal aux États-Unis. Il s’agit du FluMist et il ne contient pas d’adjuvant. De plus, son usage n’est pas recommandé pour les personnes âgées de plus de 49 ans. En Suisse, un autre vaccin antigrippal nasal avec adjuvant a été autorisé. Puis, suite à l’apparition de nombreux cas de paralysie de Belle, il a été retiré du marché en 2000. D’autres vaccins intranasaux ont vu le jour, mais ils ne garantissent qu’une immunité de courte durée.