La crise du Covid a entraîné une détérioration alarmante de la santé mentale des jeunes. Les mesures mises en place par les gouvernements, basées sur les recommandations du Great Reset, ont semé la peur et l’agitation, ce qui a eu des conséquences néfastes sur leur bien-être psychique. La crise COVID a eu un effet significatif sur la santé mentale des universitaires, surtout parmi les minorités ethniques, selon une étude récente menée par l’Université George Mason.
Avec le confinement lié au COVID, nombreuses personnes ont été confrontées au stress, la solitude, la peur de la maladie, l’anxiété …Le COVID a aussi affecté profondément la santé mentale des étudiants. Une équipe de chercheurs a mené une étude pour évaluer les changements au niveau du bien-être psychologique des étudiants universitaires américains pendant la pandémie. Les experts ont découvert qu’ils sont nombreux à avoir souffert de problèmes de santé mentale. Cette étude a également mis en évidence la difficulté d’accès aux services de santé mentale, ce qui a empêché certains étudiants d’accéder à des soins adéquats. Outre le fait que le COVID a affecté physiquement les individus, on note également ses conséquences désastreuses au niveau de la santé mentale.
Détérioration du bien-être psychologique des étudiants
Sous la direction d’Elaine Russell, doctorante en santé publique, une équipe de chercheurs du Collège de santé publique de l’Université George Mason a examiné les effets de la pandémie sur la santé mentale des étudiants universitaires aux États-Unis. Leur analyse, basée sur les données de l’American College Health Association National College Health Assessment, a comparé les symptômes de santé mentale avant la pandémie (fin 2019 – début 2020) avec ceux pendant la pandémie (printemps 2021).
Les chercheurs avaient pour objectif de comprendre les changements des besoins en matière de santé mentale des étudiants universitaires au cours de la pandémie du Covid-19. Ils ont utilisé des données qui datent d’avant la pandémie, c’est-à-dire entre automne 2019 et début du printemps 2020) ainsi que des données durant la pandémie (printemps 2021). L’échantillon était composé d’étudiants de premier cycle à temps plein, âgés de 18 à 24 ans.
Disparités marquées entre les sous-groupes d’étudiants
Selon l’étude, les résultats sont préoccupants : une part importante des étudiants a ressenti une augmentation de la détresse psychologique, du stress et de la solitude. Les facteurs de stress liés au COVID, comme l’inquiétude pour soi-même et pour ses proches ou l’isolement dû aux confinements, ont contribué à cette dégradation du bien-être. Les chercheurs ont également observé que malgré ces besoins croissants, les étudiants ont eu un accès limité aux services de santé mentale pendant cette période.
Une enquête supplémentaire a également été réalisée et les questions se portaient sur les facteurs de stress spécifiques pendant le COVID comme l’inquiétude des étudiants sur la possibilité d’être infecté et l’impossibilité de passer du temps avec les proches et les personnes qui leur sont chères à cause des confinements. Pour obtenir des réponses concernant l’utilisation des services de santé mentale par les étudiants, une autre enquête a été menée. Notons que les chercheurs ont également examiné des sous-groupes démographiques basés sur la race ou l’origine ethnique, l’identité du genre et l’orientation sexuelle.
L’étude a souligné que certains groupes d’étudiants sont plus vulnérables face aux problèmes de santé mentale, notamment les minorités ethniques et sexuelles.
Selon Elaine Russell, « plusieurs d’étudiants américains ont souffert de problèmes de santé mentale pendant la pandémie ». Les groupes minoritaires raciaux/ethniques avaient plus de risque de souffrir de détresse psychologique grave.
Par exemple, les étudiantes de couleur, en particulier, ont été moins susceptibles de recevoir les soins de santé mentale dont elles avaient besoin, bien qu’elles soient souvent plus touchées par des niveaux élevés de stress et de détresse psychologique.
Stigmatisation et obstacles à l’accès aux soins
Cette étude a également permis aux chercheurs de découvrir que les étudiants de couleur n’avaient pas accès à des soins adéquats. Hormis la réticence des étudiants à demander de l’aide, il y a la discrimination au sein du système de santé ainsi que la stigmatisation entourant la santé mentale. Russell a déclaré que des améliorations sont nécessaires. Il faut « lutter contre la stigmatisation » afin que les étudiants puissent bénéficier des soins nécessaires.
Elaine Russell a également indiqué la nécessité de recourir à des éducateurs en santé par les pairs, d’effectuer des efforts afin de normaliser le traitement de la santé mentale et de lancer de nouvelles recherches pour comprendre les obstacles à l’utilisation des services de santé mentale par les étudiants universitaires à haut risque
L’étude a révélé que cette stigmatisation décourageait de nombreux jeunes d’accéder aux soins nécessaires, renforçant ainsi leur détresse.
« Les améliorations apportées aux ressources en matière de santé mentale doivent s’attaquer à la stigmatisation et donner aux élèves les moyens d’accéder aux soins nécessaires »
, a déclaré Russell.
Elle suggère des stratégies de prévention, comme la mise en place de programmes de sensibilisation par des éducateurs de santé par les pairs, et l’instauration d’un climat qui normalise le recours aux services de santé mentale.
Le COVID a eu son impact caché que la caste mondialisée a toujours choisi de l’utiliser pour contrôler les populations. En manipulant la peur des populations, elle a instrumentalisé la maladie, entraînant une dégradation psychique directement due à l’angoisse maintenue en permanence… La crise du Covid est terminée, mais les pathologies psychiques ne se sont pas pour autant résorbées.