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Accueil Fil coronavirus

Dégradation de la santé mentale chez les jeunes: le bilan terrible de la gestion du COVID-19 par Emmanuel Macron

Lalaina AndriamparanyparLalaina Andriamparany
28 septembre 2021
dans Fil coronavirus
Temps de lecture : 3 minutes
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6
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Le Covid-19 a une pléthore d’impacts dans la société actuelle. Outre le fait qu’il a affecté physiquement les individus, on note également des conséquences au niveau de la santé mentale. Les Assises de la santé mentale, qui ont débuté le 27 septembre 2021, ont établi un sondage centré sur l’impact de la crise sur le psychisme. Cela a révélé qu’ “un tiers des jeunes de moins de 24 ans ont eu des pensées suicidaires ces derniers mois”. Pire, 4 personnes sur 10 ont vu leur état dépressif s’aggraver à compter du tout premier confinement. Et dans la même foulée, les professionnels de santé constatent une montée en flèche du nombre de patients sujets à la dépression.

Médecine naturelle : comment traiter l'anxiété naturellement ?

10 % des français dépressifs

La mise en place du sondage a été orchestrée par l’Union National des familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (connu également sous l’acronyme UNAFAM) ainsi que par la Fondation Pierre Deniker dont les principales activités sont centrées sur le soutien de la recherche en santé mentale. De ce sondage découlent des résultats alarmants qui montrent que 10% des Français sont actuellement sujets à la dépression. Des maux liés au confinement et à la crise sanitaire. Les femmes, les personnes comprises entre 25 et 34 ans, ainsi que les individus qui vivent seuls sont principalement ciblés par cette maladie. Cependant, force est de constater que seul le tiers d’entre eux sont suivis par des psychiatres et des médecins généralistes.

Des chiffres qui ne cessent d’augmenter

Toujours selon les études menées sur le sujet : “près de la moitié des personnes actuellement atteintes n’en parlent pas (46%) et 62% ont l’impression que leur maladie n’est pas comprise par leur entourage”.  Non loin de cette réalité, les résultats concordent entièrement avec les constats réalisés par Santé publique France. En effet, depuis le début de l’année 2021, l’agence enregistre un taux croissant de passages aux urgences lié à des tentatives suicidaires, des troubles de l’humeur, mais aussi à des pensées suicidaires. En outre, il semblerait que ce point concerne principalement les jeunes et les enfants ; ce qui n’était pas le cas avant le COVID.

Les chiffres: un surcroît de 140% en termes de pensées suicidaires, 93% de cas en plus pour les troubles de l’humeur et 61% en prime pour les gestes suicidaires. Les troubles alimentaires qui représentent les premiers marqueurs de phases dépressives sont également plus courants chez ceux âgés de 11 à 17 ans, avec un accroissement de 47%.

Mise en place d’un numéro vert

Les personnes atteintes de dépression ont souvent peur de s’exprimer, de peur d’être incompris ou catalogués, et pourtant le fait d’en parler pourrait aide. Pour venir en aide, un numéro vert sera disponible à compter du début du mois d’octobre. Les appelants seront reçus à l’autre bout du fil par des équipes composées de psychologues et d’infirmières ayant reçu des formations spécialisées et qui se relaieront en journée. Pour les appels de nuit, 3 plateformes (Brest, Montpellier et Lille) seront disponibles et travailleront étroitement avec le Samu pour venir rapidement en aide en cas d’urgence.

Étiquettes : confinementCOVIDdépression
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Commentaires 6

  1. JAMET says:
    il y a 1 an

    Le numéro sera t il encore vert pour les non vaccinés ? Ou ceux qui refuseront de présenter leur pass ? N’est-ce pas une tentative de psychiatrisation de la société ? La société du soin aura « pleine légitimité «  pour soigner tous ces malades dont le principal symptôme sera d’être réfractaire aux atteintes à la liberté !

    Répondre
    • lez says:
      il y a 1 an

      Et cela permettra aussi de prétendre que tous les symptômes et autres dérèglements très graves liés au vaccin , sont d’ordre mental.
      En attendant les étudiants font la queue sur le trottoir pour aller chercher à manger
      https://twitter.com/i/status/1443670319307309056

      Répondre
  2. Jiff says:
    il y a 1 an

    Un problème ? Appelez pause-caca-sos-business, ils en créeront un autre avec un numéro vert !

    Répondre
  3. serge says:
    il y a 1 an

    Vu le niveau où se trouve la psy en France (peu de médecins, peu de budget, des sites hospitaliers vermoulus, des soins pitoyables…), on sent bien l’avenir de ceux qui vont entrer (et ne ressortiront pas vraiment) dans cette spirale. Bon, cela permettra d’avoir des déséquilibrés bien français qui rivaliseront avec ceux importés. Comme cela le gouvernement pourra dire que c’est juste un « sentiment » et « partagé » par tous les citoyens.

    Répondre
  4. PAS DUPE says:
    il y a 1 an

    « La dégradation de la santé mentale chez les jeunes » fait partie du PLAN !!! Il sont en train de créer une société de dépendance et de soumission et en créant des postes de psychologues et de psychiatres (avec remboursement des consultations par la SS) ils vont entretenir cette dépendance qui est le chemin tout tracé et sans retour vers l’esclavage !

    Répondre
  5. PAS DUPE says:
    il y a 1 an

    « Et si nous vivions une vaste expérience de Milgram ? Les parallèles sont frappants, et en premier lieu le fait que la politique sanitaire actuelle fait de nous des agents autant que des sujets d’un contrôle graduel, dont le degré augmente très légèrement chaque jour. Chargés de porter puis vérifier le port du masque, le respect des gestes barrières et désormais la traçabilité vaccinale avec le « pass sanitaire » nous devenons des agents d’exécution de plus en plus impliqués et collaboratifs.
    Au début, cela semble peu contraignant. La désinfection des mains, c’est la décharge de 15 volts : à peine sentie, presque agréable. Le port du masque, c’est le degré suivant. Puis la distance réglementaire dans les lieux publics, les tables à moins de six, le refus de la bise. Chaque jour nos comportements se modifient, et le contrôle social s’installe. Alors on plaisante, comme le « moniteur » gêné des premiers picotements qu’il inflige. Puisqu’il faut bien « jouer le jeu ». Qu’après tout, on fait juste ce qu’on nous demande, nous n’en sommes pas vraiment responsables. Or c’est exactement ce transfert de responsabilités vers l’autorité qu’étudie l’expérience de Milgram, le passivité de l’exécution « sous le couvert » et les stratégies que l’on met en place pour résoudre l’anxiété croissante à mesure que l’absurdité et la cruauté de ce que nous faisons paraît de plus en plus évidente. La plus radicale serait bien sûr d’arrêter l’expérience. Peu le font, pourtant. »

    Pierre Fouques, in revue Eléments numéro 192

    Répondre

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