Le COVID s'est-il échappé d'un laboratoire à Wuhan ? Le directeur général de l'OMS le pense si fort malgré les évidentes pressions chinoises qu'il vient de réclamer une enquête approfondie sur le sujet. Bien entendu, officiellement, cette hypothèse est hautement improbable. Sauf que cette improbabilité n'est défendue qu'en Chine. Dans la pratique, l'état-major de l'OMS réclame la possibilité d'accéder aux informations détenues par la Chine et préconise la mise en place d'une commission vraiment indépendante sur la question.
Le COVID s’est-il échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Cette hypothèse maintes fois émise malgré la version chinoise du passant mordu par un pangolin mordu par une chauve-souris, semble beaucoup inspirer le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS.
Un enjeu de propagande essentiel pour la Chine
Les propos du docteur Tedros, prononcés à l’occasion de la présentation du rapport officiel de la mission envoyée en Chine par l’OMS pour enquêter sur l’origine du virus, constituent un véritable pavé dans la mare. Cette mission a déclaré que l’accident de laboratoire était très peu probable (et le seul fait qu’elle ne l’ait pas exclu est en soi un signal).
La presse mainstream s’est empressée en France de reprendre cette affirmation sans nuance, servant de façon curieuse la thèse chinoise officielle. Nous avons déjà évoqué les conflits d’intérêts de cette mission mise sous surveillance par les Chinois. Les enquêteurs de l’OMS n’ont d’ailleurs pas pu interviewer les habitants présents à Wuhan au début de l’épidémie, pas plus qu’ils n’ont eu accès à toutes les souches possédées par le laboratoire P4, ce qui n’a pas permis de vérifier si ce fameux laboratoire était ou non en possession du COVID 19 avant le début de la pandémie (ce qui changerait, tout, bien évidemment).
On comprend pourquoi la Chine contrôle l’accès à l’information : le pays ne veut pas être accusé d’être à l’origine d’une pandémie dont il sort renforcé, et dont l’Occident sort affaibli.
Les doutes explicites du directeur général de l’OMS
Face aux affirmations de la mission d’enquête, le directeur général de l’OMS n’a pas caché ses doutes :
In my discussions with the team, they expressed the difficulties they encountered in accessing raw data. I expect future collaborative studies to include more timely and comprehensive data sharing.
(Dans mes discussions avec l’équipe, les enquêteurs ont fait part des difficultés qu’ils ont rencontré dans l’accès aux données brutes. Je souhaite de nouvelles missions collaboratives qui permettront un partage de données plus immédiat et sincère).
Et paf ! premier tacle contre le contrôle chinois de l’information.
Et il ajoute :
Although the team has concluded that a laboratory leak is the least likely hypothesis, this requires further investigation, potentially with additional missions involving specialist experts, which I am ready to deploy.
(Bien que l’équipe ait conclu que l’accident de laboratoire soit une hypothèse très peu vraisemblable, ceci demande des investigations plus approfondies, potentiellement avec une nouvelle mission impliquant des experts spécialisés, que je suis prêt à envoyer).
On comprend donc que les membres de la mission envoyée en Chine n’étaient pas des experts spécialisés…
Toujours pas d’explication officielle sur l’origine du virus
Une chose est sûre à ce stade, la mission envoyée en Chine n’a toujours pas retrouvé le patient zéro, et n’a pu conclure à une origine sûre et convainquante.
Les doutes exprimés à haute voix par le directeur général de l’OMS en disent long sur sa conviction intime. Même si la Chine ne veut pas le reconnaître, les soupçons autour d’un accident de laboratoire se confirment tellement que même le Monde s’en fait l’écho.
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Si le fond est bon, la forme est sensiblement plus complexe que ça ; il faut revenir au temps de Mao pour saisir. À cette époque, une poignée d’américains revanchards prévoyait le mouvement suivant et comme Mao était lui-même un revanchard, ils lui ont proposé un deal, créer, grâce à leur aide de départ, des armes bactériologiques dont ils pourraient profiter si besoin était. Le deal fut conclu.
Tout ça est resté secret jusqu’à l’accident (les 2 laborantins ayant répandu le virus ayant fait partie des premières victimes) et le gouvernement actuel ne savait absolument rien, ni du deal précédent, ni de ses conséquences – quand il a découvert le pot aux virus, il était clair que révéler quoi que ce soit serait perdre la face, surtout avec le cinglé qu’ils ont à la tête du pays – c’est la raison pour laquelle ils essayent de maquiller tout ça, mais une dissimulation réussie nécessite beaucoup de délicatesse, de doigté et de savoir-faire et ça n’a jamais été leur fort, ils se sont donc grillés tout seuls en parlant trop vite au lieu de réfléchir.
Maintenant, que l’oms arrive à mettre les mains dans le cambouis est une toute autre chose et la “diplomatie” chinoise risque fort de lui opposer un non ferme et définitif, avec la couverture habituelle, tout un assortiment de faux témoins qui jureront qu’ils ont vu la chauve-souris attaquer le pangolin alors qu’il revenait du marché ;-p)
Ça va être coton de continuer dans le déni, parce que l’oms a déjà les preuves que ça bricolait sur des chiroptères vivants vu que ses émissaires ont trouvé des cages qui n’auraient jamais du se trouver là…
Mouët-Hennesy, mais parti comme c’est parti, ça finira par se savoir tôt ou tard en plombant au passage la diplomatie chinoise pour un bout de temps, à moins que les accidents mortels ne connaissent une fulgurante augmentation dans la région, mais ça serait de toutes façons un aveu tacite.
Bon, il ne faut pas se laisser aller à la phobie anti PCC / Chine.
Sur la “mainmise” de la Chine, Lavrov, qui n’est pas un crétin, rappelle qu’à Genève, au QG de l’OMS, il y a une cinquantaine de Chinois, une vingtaine de Russes, et autour de 2000 ressortissants des 5 Eyes et de l’OTAN. On a du mal à voir l’emprise. D’ailleurs comme partout, tout se passe en anglais.
Ensuite les élections approchent ; dans un an le mandat de secrétaire général est remis en jeu. On a peut-être suggéré, ou le SG a pensé, qu’il pourrait trouver des appuis en accusant la Chine.
Le volte-face de la pensée unique porte à confusion. Or la confusion est une pratique très utilisée en hypnose et en manipulation. Jean-Charles Caustier nous l’explique en 3 minutes https://youtu.be/5apNyWueOkY ► La peur et la confusion, ont été magistralement expérimentées à grande échelle par les nazis.
La Chine ne reconnaîtra jamais que la faute puisse venir d’un de ses labos et c’est peine perdue de continuer à rechercher des causes animales.
De toute façon, le principal souci n’est pas de savoir la faute à qui mais de trouver le moyen de se débarrasser de ce foutu virus. La Chine elle-même en a souffert alors pas besoin de connaitre le nom de celui qui a brisé le vase de Soisson.
Vous êtes le nain Simplet peut être? Et maqueron est votre Blanche-Neige. Enchanté je suis Prof ✋
Big time! Au strict minimum il n’y a rien d’accidentel dans la volonté du PC chinois d’affirmer sa prépondérance sur le monde. Leur trajectoire est exactement inverse à celle des occidentaux. Nous sommes en 1940 à nous les courbettes, à eux les insultes. Leurs voisins asiatiques ne sont pas dupe une seconde qui ne se sont pas laissés surprendre par la pandémie, comme par hasard. Le PCC propose de nous aider à gérer notre déclin entamé par Big Tech gouvernement du monde. Mon avis personnel que je serai bien en peine de prouver est que la pandémie était intentionnelle, pile poil pour rendre plausible le vol avec effraction que constitue l’élection américaine de novembre dernier. Et la déconfiture j’espère momentanée qui s’en suit. A total disgrace, comme dit le 45e POTUS. L’espoir réside dans le peuple chinois lui même. Des millions de Chinois habitués par force aux maquillages du PCC… Prochaine étape? Taiwan.