L’immunité de groupe ou immunité collective a été atteinte à environ 90% au Japon après la vague Omicron. Néanmoins, ce niveau de protection va chuter dans quelques mois, selon une étude publiée le mardi 27 septembre. Selon l’OMS, « On désigne par immunité collective la protection indirecte contre une maladie infectieuse qui s’obtient lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination soit par une infection antérieure ».
L’été dernier, le Covid a battu des records au Japon. Selon l’Organisation mondiale de la santé, le pays du Soleil levant aurait enregistré le plus grand nombre de cas de Covid-19 à la fin du mois de juillet . Malgré cette résurgence des cas , les autorités avaient décidé d’assouplir les restrictions et de rouvrir les portes du Japon aux touristes. Selon la Tokyo Foundation of Policy Research, l’immunité de la population japonaise contre le COVID-19 a atteint environ 90 % dans les principales zones de population après la récente vague Omicron. Ce niveau d’immunité dite “collective” reflète la protection partielle conférée à la fois par l’infection naturelle et la vaccination.
Une protection issue de l’infection et de la vaccination
Une étude de la Tokyo Foundation for Policy Research indique que la vaccination et les infections naturelles ont permis d’atteindre une immunité d’environ 90% dans les principales zones de population.
Ce niveau de protection élevé concerne 12 préfectures les plus peuplées du pays. A Tokyo, Osaka et dans la préfecture méridionale d’Okinawa, la plupart des habitants ont acquis leur immunité par une infection au Covid-19. Selon les chercheurs, le nombre de cas de contamination dans ces régions était très élevé lors de la septième vague.
Ces infections, en s’ajoutant à la vaccination reçue par près de 65 % des Japonais en dose de rappel, ont permis d’atteindre une immunité collective d’environ 90%.
Une immunité qui devrait chuter
Selon les chercheurs, ce niveau d’immunité devrait chuter d’ici quelques mois, ce qui a officiellement expliqué le lancement de la campagne de vaccination la semaine dernière. Cette fois, les autorités japonaises incitent la population à recevoir les injections de rappel qui ciblent la souche Omicron.
Depuis le début de l’épidémie, l’exécutif a toujours misé sur la responsabilité collective et a recommandé trois mots-clés “vaccination, aération et masque de protection » à la population pour prévenir les infections.
Au Japon, il faut au moins 5 mois d’intervalles entre la dernière injection et la nouvelle dose de rappel. Selon les autorités sanitaires, ce délai pourrait être trop long pour les personnes âgées et immunodéprimées surtout face à la menace d’une éventuelle huitième vague qui devrait débuter vers la fin de l’année.
Malgré tout, avec sa population à « risque », la plus âgée du monde, le Japon figure parmi les pays qui résistent au mieux au Covid. L’archipel déplore au total plus de 44.500 morts liés au Covid depuis 2020, soit une mortalité par habitant moins élevée qu’en France et cela sans jamais avoir eu recours au confinement, qui est interdit par la Constitution nippone.
Les injectés ARN vont donc se réinjecter en payant leur gabelle, et les non vaxx vont se réinfecter sans même s’en apercevoir. Tout est bon dans le meilleur des mondes. Qui parle d’addiction ARN ou de sobriété? La pandémie, c’est fini! Le rhume d’hiver sans chauffage commence.
“Le rhume d’hiver sans chauffage commence.”
Beeen, pas tout à fait, car tous ceux qui ont été obligés de passer tout ou partie d’un hiver avec un chauffage défectueux savent qu’il fait partie des moments où ils ont le moins contracté de rhumes, virus divers, etc. Mieux vaut donc un pull de plus que quelques degrés (sans propagande aucune, juste des constatations).
Connerie!!! L’immunité naturelle dure bien plus longtemps. L’immunité par le vaccin est beaucoup plus courte. Bref, les autorités japonaises mentent à leurs compatriotes comme chez nous.
Oui, mensonge. Tout est irrationnel mais nous avons l’habitude. Maintenant on nous vend une fenêtre sans risque. Bienvenu dans l’univers des biovirus informatiques…mort, malade ou sous contrôle, voila notre futur.
La route est encore un peu longue pour changer notre futur.