Macron notoirement affaibli, on peut s’attendre à voir Marine Le Pen, à la tête du principal parti d’opposition, se lever du banc des remplaçants et s’échauffer en marge du terrain. Mais a-t-elle vraiment l’intention de jouer ?
Trouve-t-on encore des naïfs pour croire aux ridicules accusations de racisme parfois lancées par la propagande gauchiste contre cette avocate jadis spécialisée dans la défense des sans-papiers ? Voilà bien un reproche qui, adressé aux Le Pen, tombe à plat. Tout en ayant longtemps surfé électoralement sur le sentiment de ras-le-bol ethnique du français de souche confronté à l’importation dans l’Hexagone de feu son empire colonial, J.-M. Le Pen et les siens n’ont en réalité jamais cessé de promouvoir une variante nettement colonialiste du nationalisme français.
Le choix d’une ancienne colonie pour la première visite officielle de Marine Le Pen depuis sa défaite aux présidentielles – avec visite d’hôpital en dame-patronnesse, et passage obligatoire « sur l’île de Gorée, lieu emblématique de la mémoire de la traite négrière » – n’a donc rien d’étonnant.
Dakar : le Barcelone de Marine ?
D’autant qu’en ce moment, elle n’irait probablement pas s’aventurer ni à l’Est – pour cause d’agenouillement bruxello-otanesque du RN –, ni à l’Ouest – où, en dépit de cet agenouillement, les chefs d’Etat bien alignés du moment ne se bousculent sûrement pas pour rencontrer une ancienne bénéficiaire de prêts bancaires russes. Reste donc le Sud.
Et même à Dakar, Le Point ne veut pas nous laisser ignorer que, si elle est effectivement reçue au palais présidentiel, c’est sans photo : en dépit des nombreux carnassiers survolant la silhouette « avantageusement » vieillie du petit Macron, les clients africains de Paris, de toute évidence, hésitent encore à vendre la peau du castor.
Il y a d’ailleurs fort à parier que Marine doit être aussi hésitante qu’eux. Tout en assurant le minimum syndical de son championnat, l’héritière de la PME Le Pen n’est pas forcément très chaude pour hériter aussi de la République, dans l’état où la Macronie – d’ores et déjà en préretraite à Barcelone – s’apprête à la laisser au syndic de faillite.
Le problème n’est pas maqueron, maqueron c’est NOUS tous: nous sommes tous des socialo français. 2022 a confirmé 2017 qui confirmait 2012. TINA e basta! ???? En 27 je m’abstiendrai probablement et nous aurons un autre young leader de la French american foundation, disons Édouard philippe. L’écroulement de l’économie ne nous réveillera pas. ???? Préparons nous à quelques années de système D — l’occupe quoi.
Encore un commentaire à charge contre le parti national de ce résidu qu’il reste de la droite française non encore emmacronnée, remuant encore son petit Kärcher©, toujours fourvoyée dans sa course à l’impuissance en politique.
Le 31.01.23 libérons la France, notre mère patrie à tous de MACRON a dit sur YOUTUBE « La Bête est là,la Bête arrive,j’ai pour mission de détruire ce qu’est la France »