Que devient, dans la prose du WEF, ce concept de « santé reproductive » qui, dans la bouche de l’eugéniste Bill Gates, apparaît systématiquement dans un contexte impliquant aussi les efforts en vue de réduire la population mondiale ?
Economics of Women’s Health with Kevin Ali (@OrganonLLC), @bishen_shyam (@wef), @HelenClarkNZ, @smritiirani (@MinistryWCD), @Atayeshe (@UNFPA), @MSuzman (@gatesfoundation). #wef23 https://t.co/m5bm6JBJpn
— World Economic Forum (@wef) January 17, 2023
En lisant un matériel récent dudit WEF consacré à ce thème, on constate que, là aussi, les préoccupations eugénistes ne sont jamais très loin – habilement badigeonnées d’un enduit de philanthropie féministe et tiers-mondiste.
La signature spécifique du WEF – en tant que chambre de lobbying de toutes les technologies inutiles et/ou nuisibles dont l’humanité n’a pas besoin – est, en l’occurrence, l’accent mis sur la médication à outrance de l’humanité. En déplorant notamment que ladite humanité, arriérée comme on la connaît, ait tendance à soigner surtout les pathologies bactériennes (celles dont les gens souffrent vraiment), au moyen de médicaments anciens dont l’efficacité est bien connue. Alors qu’elle ferait tellement mieux, l’humanité, de chercher à éradiquer des épidémies plus ou moins imaginaires, au moyen des produits flambant neufs de l’escroquerie vaccinale !
La « santé reproductive », sécrétion de la culture anthropophobe made in WEF
L’experte en charge de cette propagande, que semble pourtant consumer le souci des femmes du Tiers-monde, ne précise d’ailleurs pas comment – à supposer qu’on parvienne à les berner – les pays pauvres vont se permettre ce genre de luxe.
En revanche, ce qu’elle n’oublie pas de recommander, c’est que les acquisitions, pour plus d’efficacité, se fassent à une échelle dépassant celle des États-nations – suivant le « modèle » fourni par la Commission européenne pendant la farce covidiste : bien faire en sorte que la santé des gens et l’argent des nations se retrouvent dans les mains de bureaucrates internationaux, jamais élus par personne, et dont la responsabilité restera par conséquent purement théorique.
À la croisée de la tradition antifamiliale des pays communistes (ou la grossesse était diagnostiquée comme une pathologie), de l’eugénisme oligarchique occidental et de la kleptocratie postmoderne, le concept pseudo-médical et pseudo-moral de « santé reproductive », tel qu’on le manie au WEF, est donc bien plus hélas qu’un simple synonyme de « stérilisation ».
J’aime beaucoup vos brèves vitrioliques qui ne manquent pas d’humour. Ce qui n’empêche pas les sujets traités d’être graves. Concernant la ”santé reproductive”, ça fait un moment que les pays qui se pensent développés sont à l’œuvre. Une Canadienne de ma connaissance était partie, il y a 25 ans “évangéliser” les femmes africaines sur les bienfaits des méthodes modernes de contraception. Une fois sur place, elle s’est rendue compte de l’arrogance de la démarche.
Au delà de ça, ce qui caractérise les mouvances contemporaines, c’est cet irrépressible besoin de ” convertir” le reste de la planète. Nos ancêtres inquisiteurs seraient fiers de ces personnes qui aujourd’hui, ont recours à des méthodes moins violentes que les leurs, mais tout aussi efficaces.
Moins violentes, cela reste à démontrer…
Excellente, cette photo d’un petit cours sur la pilule contraceptive en Inde, surtout dans les trois regards, tout aussi éloquents, de ces trois femmes, couvertes de si beaux saris rouges.
La première, tout à gauche, regarde attentivement, semblant calculer comment appliquer cela dans sa vie quotidienne, et ainsi éviter une cinquième grossesse…
Le deuxième, au centre, un peu plus jeune, est tout aussi attentive, mais on sent que tout cela est un monde nouveau pour ses yeux perçants (persans ?)
La troisième, à droite, a détourné le regard, perdue dans ses pensées… “ah si seulement j’avais un homme qui j’aime et qui m’aime, au lieu de ce malotru qui me sert de mari… et l’orgasme, et le plaisir, dans tout ça?”
(Soyez indulgents, je rêve à voix haute, moi aussi !)