La politique étrangère agressive des États-Unis et de ses satellites en Europe de l’Est cause de plus en plus d’irritation dans les pays en développement. Ainsi, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a exprimé son point de vue sur l’élargissement de l’OTAN.
Cet article publié en russe par topwar.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Selon le dirigeant du plus grand pays d’Amérique latine, l’OTAN devrait abandonner l’idée de s’étendre vers l’Est. Si cela se produisait, estime da Silva, cela pourrait devenir l’une des principales thèses des pourparlers de paix sur le conflit armé ukrainien. Ainsi, lors d’un petit-déjeuner de presse,
Lula da Silva a déclaré aux journalistes que « L’OTAN ne devrait pas pouvoir être située près des frontières de la Russie ».
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Un ayatollah du vaccin n’est plus crédible à mes yeux mais bon c’est une opinion personnelle
On parle souvent de la finlandisation de pays situés entre la Fédération de Russie et l’Europe occidentale dite libérale. Il s’agit d’une neutralité passive, un mode de vie non engagé situé entre des pays ennemis dont les systèmes politiques sont incompatibles. La Suisse et la Suède donnent l’exemple d’une neutralité engagée, qui sait dire oui et qui sait dire non à l’un et l’autre des ennemis en fonction de ses intérêts propres. Lula énonce le bon sens dont personne ne veut parler surtout les macronsocialistes français va-t-en guerre et retraite.
Pipo
Les Suisses n’ont pas été neutres dans les sanctions
La Suède va finir dans l’OTAN
Finalement la Russie aura réussi l’exploit d’obtenir l’inverse de ce qu’elle voulait
On verra à la fin si elle obtient le changement des lignes de frontière en Ukraine ce qui semble probable sinon ce serait vraiment repartir la queue entre les pattes
Ce conflit n’est a priori pas prêt de se terminer, la guerre froide (et un peu chaude en Ukraine) est bien partie pour durer
Pour les impatients il vaut mieux s’exiler ailleurs où les règles davosiennes ne s’appliquent pas pour les autres, il va falloir réécrire un projet souverainiste ou un projet européen non vassalisé (au choix) mais au moins une génération voire deux vont être sacrifiées pour y arriver
Bon courage
Les présidents douteux, Macron en tête, devraient s’occuper de leur pays au lieu de se prendre pour de géniaux médiateurs du monde