Le nombre de contaminations au choléra continue d'augmenter dans certaines parties du monde, le Groupe international de coordination (GIC)- l’organisme qui gère les distributions d’urgence des vaccins -est obligé de suspendre de façon temporaire l’application de la stratégie à deux doses. Face à la résurgence du choléra, le GIC préconise l’administration d’une dose unique.
Maladie épidémique meurtrière, le choléra touche actuellement 29 pays du monde, incluant notamment le Malawi, lHaïti et la Syrie. Depuis janvier, le nombre de cas d’infections n’a cessé d’augmenter. Outre une bonne hygiène individuelle et alimentaire, la meilleure façon de prévenir le choléra en situation d’épidémie reste la vaccination. Pour une meilleure protection contre le choléra, les experts préconisent l’adoption de la stratégie à deux doses. L’administration de la seule dose de rappel est à faire à un intervalle de 6 mois. Selon les professionnels de la santé, cette stratégie garantit une immunité élevée sur une durée de 3 ans. Pour mémoire, selon une enquête menée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pandémie de Covid-19 a perturbé les services de santé de base dans 92% des 192 pays du monde. Les systèmes de santé sont universellement touchés et mis en péril par la pandémie. Mais alors pourquoi l’OMS a-t-elle autant encouragé les politiques enfermistes? L’OMS est dans son rôle favori ces derniers temps: celui du pyromane qui se fait pompier.
Une pénurie de vaccins face à la résurgence du choléra
Le GIC (Groupe international de coordination), organisme chargé de la gestion des stocks de vaccins d’urgence, a annoncé que les stocks de vaccins contre le choléra sont très faibles. Il a dû prendre une décision exceptionnelle qui consiste à suspendre temporairement la stratégie à deux doses. Pour lutter contre les flambées de choléra, c’est l’approche à dose unique qui est appliquée.
D’après le bilan fourni par l’organisme, 120 millions de doses de vaccin oral contre le choléra ont été distribuées dans 23 pays depuis 2013. 73 millions de ces vaccins ont été expédiés dans le cadre d’une intervention d’urgence.
La situation actuelle est assez complexe, car 24 millions de doses parmi les 36 millions qui devraient être fabriquées en 2022 ont déjà été utilisées lors des campagnes préventives et réactives. L’usage de 8 millions de doses supplémentaires a été approuvé pour assurer la seconde campagne de vaccination d’urgence dans 4 pays qui enregistrent une flambée de cas de choléra.
Or, il se trouve que la capacité de production maximum des fabricants de vaccins a déjà été atteinte. Il est impossible de combler le manque. Voilà pourquoi, le GIC est obligé de suspendre la stratégie à deux doses.
Une solution à court terme
Selon le GIC, l’immunité offerte par une dose unique est courte et faible. Cette stratégie est une solution à court terme. Néanmoins, cette approche permettra de vacciner beaucoup plus de personnes et de les protéger contre une infection. Elle évitera surtout une propagation de la maladie. A noter que dans un schéma posologique à deux doses, l’immunité contre l’infection dure jusqu’à 3 ans.
Par ailleurs, actuellement, le Liban fait face à une « propagation rapide de la maladie », avec 80 nouveaux cas enregistrés par le ministère de la Santé depuis son dernier rapport du 17 octobre, ce qui porte à 169 le nombre de cas de choléra confirmés depuis le début de l’épidémie.
La tendance mondiale se dirige vers des épidémies plus nombreuses, plus étendues et plus graves, à cause des inondations, des sécheresses, des guerres, des mouvements de population qui limitent l’accès à l’eau potable , mais accentuent les risques sanitaires.
La saga de la peur perdure…
OMS, Davos, N.O.M., etc.. sont à la manœuvre pour »notre bien ».
Sans commentaire.
Le retour du choléra s’explique presque sûrement par la désorganisation des pays touchés : la guerre, la paupérisation organisée ou entretenue, le tremblement de terre pour Haïti (la reconstruction du pays est abandonnée à des clans plus ou moins mafieux), dont la conséquence est inévitablement la ruine de l’approvisionnement en eau potable ainsi que du système d’évacuation des eaux souillées : on appelle ça LA VOIRIE.
Ne parlez pas de vaccin pour ces pays : on leur fera la « charité » en leur fourguant les invendus en occident.
Apparemment en Haïti, ce sont les casques bleus Népalais qui ont amené le choléra dans leur bagages – selon certaines analyses, il est également possible que la bactérie reste dormante dans les canalisations d’eau (cf l’épidémie au Pérou en 91).
Il ne faut pas non plus négliger un facteur « nouveau » – par exemple, pour ce qui est de la vaccination contre le Papilloma Virus (HPV), les épidémiologistes se sont aperçus que plus le taux de vaccination est élevé dans un pays (en scandinavie notamment), plus le taux de cancers de col de l’utérus de ce pays se relève (et le fait rapidement).
Il y a aussi la « simple » rougeole qui, il y a 50 ans était bénigne et que tout le monde attrapait pour être immunisé _à vie_ – depuis que la vaccination couvre presque toute la population (vaccination clamée « presque 100% efficace », alors qu’elle dépasse très rarement les 65% – observations de terrain), cette maladie anodine s’est renforcée et donne maintenant pas mal de cas mortels, alors que c’était exceptionnel avant. Par ailleurs, l’âge moyen de contraction de la maladie augmente chaque année (13-16 ans aujourd’hui – 7-9 ans il y a 50 ans), ce qui fait exploser les risques de complications.
Des études sont en cours, tant sur la rougeole que sur les autres maladies infantiles pour en savoir plus, mais bien entendu, elles ont toutes des problèmes de sous, personne ne voulant payer et se voir taxer d’antivax par « la science » (ou plus exactement, le scientisme poliotique actuel). À ce stade, tout ce que l’on peut dire, c’est que dans tous les cas, il y a corrélation, et vu l’âge des patients, les probabilités que d’autres facteurs aient une action prépondérante sont presque à zéro.
NON ! Dans un pays détruit, par la guerre ou une catastrophe « naturelle », le moindre écart produit une catastrophe. De plus la « narrative » officielle tend toujours à détourner l’attention sur autre chose. Pour nous occidentaux, qui avons encore des installations sanitaires correctes, ça peut se jouer à peu de chose, pas dans un pays ruiné.