« C’est fou tous ces étrangers qui ont fait l’histoire », nous dit la légende d’une affiche du Musée de l’immigration, représentant le roi Louis XIV. Ce dernier était en effet – comme toute la haute noblesse européenne depuis la sédentarisation des peuples barbares – le rejeton de lignées fort cosmopolites. Ce que tend aussi à devenir la Caste qui détient actuellement le pouvoir mondial.
L’objectif des concepteurs de l’affiche était, de toute évidence, de saper le sentiment d’appartenance nationale, en accompagnement des injections massives de populations allogènes dans le cadre de ce que le conspi Macron appelle « transition démographique » (et les autres conspis, « grand remplacement »).
Pour ma part, je trouve pourtant cette provocation – très certainement à l’insu de ses auteurs – salutaire. Car elle permet de rappeler quelques vérités historiques à ceux qui cherchent encore à comprendre/combattre le Great Reset depuis des positions nostalgiques : « Ah, l’âge d’or de l’Etat français puissant et indépendant, avant la prise de pouvoir des élites apatrides ! »
Eh non : pour échapper à la Caste, la solution n’est pas l’étatisme, mais la Sécession – c’est-à-dire cette autonomie du noble, de l’homme libre, qui était le principe même de l’aristocratie avant sa domestication versaillaise.
L’aristocrate veut vivre libre, pas protégé
Pour ceux qui auraient oublié leurs leçons d’histoire, la présence, au sein de l’élite mondialiste la plus volontariste (notamment en matière de dépopulation), d’une bonne partie des familles de fins-de-race du Gotha européen (Windsors en tête) dont l’âge démocratique n’a hélas pas eu la peau est là, comme rappel vivant des liens généalogiques unissant la Caste à la noblesse d’ancien régime.
Il subsiste néanmoins une différence qualitative capitale séparant ces deux époques et ces deux élites : s’étant débarrassée de presque toute la panoplie de l’âge démocratique (à commencer par l’Etat-nation, justement attaqué par cette affiche), la Caste en retient néanmoins un élément essentiel : la pacification des rapports sociaux, à la faveur de l’essor de l’homo economicus (ensuite théorisé par le marxisme).
Le cosmopolite Louis XIV, descendant de guerriers, avait encore grandi dans une culture du duel. Alors que les davosiens ne savent – comme le petit Darmanin – exercer la contrainte qu’à travers des mercenaires. Et leurs rêves de robotisation de la troupe prétorienne en disent assez long sur les cauchemars que leur inspire la perspective d’une rébellion de leurs cognes.
Modeste ! Toujours à la pointe du combat, là où on ne t’attend pas ! Mais tu as des agents de partout pour te remonter toutes ces infos ! Au fait, on aurait pu mettre ma photo à la place de celle de Louis XIV car je suis un mélange aussi de culture d’Europe centrale. J’ai, en effet, un secrétaire d’Etat d’un Tsar dans ma généalogie. Mais qui ne l’est pas ou n’en a pas !
Plusieurs traditions et de nombreux textes anciens annoncent très clairement que l’un des signes principaux de la « fin des temps » est le métissage.
Dans les sociétés mélangées les liens affectifs se détendent et la famille se dissout. Dans les sociétés hybrides, les rôles sont mal distribués, les guerriers manquent de courage, les intellectuels sont irresponsables et/ou promulguent des doctrines aberrantes, les commerçants voleurs, les artisans sans amour pour leur œuvre.
Les métissages engendrent l’uniformité, triomphe du Règne de la Quantité… et des Signes des Temps.
Gloup ! Dans les sociétés non-mélangées, et je ne citerais pas de nom car je tiens à ma vie, on observe au contraire la dégénérescence des individus qui est due justement au manque d’apport « frais » de chromosomes externes au groupe indigène.
En France, le problème que l’on ne voit pas ou ne veut pas voir, c’est que la plupart des mariages à la campagne se font dans un cercle relationnel de 12km… Comment voulez-vous booster les QI. après ça ?
Louis XIV, le parfait exemple du monarque totalement dégénéré, aurait eu la « culture du duel »? Grand Dieu, mais laquelle? Même quand il s’agissait de danser, tous les regards devaient être focalisés sur sa personne!
Ce tyran sanguinaire a, certes, su ravager par la guerre, mais l’a-t-on jamais vu dans la mêlée pour mener la soldatesque?
La rupture en France s’est produite sous le règne de Philippe le Bel, lequel, comme d’autres souverains d’Europe – en particulier ceux du Saint Empire germanique – ne voulaient pas se soumettre au pouvoir spirituel incarné par le Pape. Philippe le Bel fit tout le nécessaire pour prétendre à l’incarnation des deux pouvoirs : spirituel et temporel et il y parvient à l’issue de son conflit avec Boniface VIII. Louis XIV n’est que le prolongement de cette bascule, ce dernier étant favorable au gallicanisme. Pour faire simple, en France, comme dans d’autres royaumes, une inversion hiérarchique c’est produite entre le pouvoir spirituel et l’autorité temporelle et cette inversion a permis l’avènement du pouvoir économique, lequel a pris le pas sur l’autorité temporelle au XVIII° et XIX° siècle. La rupture avec l’autorité spirituelle et son influence (spirituelle) a provoqué la situation qui est la nôtre actuellement.
Musée des colonies inauguré en mai 1931 pour l’Exposition coloniale à la Porte Dorée. Il y a moins de 100 ans ça me bluffe. N’est ce pas que ce que pensent la foule est terriblement malléable. La colonisation était une idée de gÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔche. Toutes les idées sont de gÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔche en vérité, les mougeons suivent, pour notre grand malheur. La Fête de l’Huma aussi, à Vincennes; ça n’est même plus La Courneuve de nos jours! Chassés à Brétigny dans l’Essonne. Là je me tiens à ce que j’ai connu, je ne suis plus le mouvement depuis un bail. J’ai lâché prise comme on dit dans les sectes.
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ce que *pense la foule
Mais alors, en fait d’analogie historique, et si l’on s’en tient à la version officielle, ne faut-il pas voir en Brigitte T. la réincarnation davosienne de Cateau la Borgnesse?
« Ah, l’âge d’or de l’Etat français puissant et indépendant, avant la prise de pouvoir des élites apatrides ! »
Mais la France a ceci de particulier qu’elle est une nation (multi-ethnique devenue méta-ethnique) créée par son Etat (la dynastie Capétienne) plutôt que l’inverse ! Les français ont donc un attachement ambivalent (et parfois malsain effectivement) mais profond envers leur Etat. du coup je me demande si il est possible de se débarrasser de l’étatisme sans se débarrasser de la « francité ».
« …cette autonomie du noble, de l’homme libre, qui était le principe même de l’aristocratie avant sa domestication versaillaise. »
En même temps, si le pouvoir royal avait laissé faire les nobles, on se serait retrouvé comme la Pologne.