Ce dimanche, comme en 2021, le peuple suisse a eu l’occasion de se prononcer par votation sur la poursuite du Great Reset (notamment sous ses deux formes principales : covidisme et climatisme). Comme en 2021, il s’est à nouveau, à plus ou moins 60%, prononcé en faveur du maintien de ces politiques d’extinction programmée de l’homme européen.
C’est justement cette votation d’il y a 2 ans qui m’avait inspiré l’écriture de Køvíd – ouvrage dépassant la dimension « conspi », pour montrer que le schwabisme est une conséquence logique, probablement inévitable, de l’Histoire occidentale : le désir de mort d’une culture arrivée en bout de trajectoire.
60% pour, c’est trop pour ne pas inclure (entre autres) des suisses jeunes et/ou intelligents, à qui l’imposture covidiste inspire pour le moins des soupçons. Simplement, ils adhèrent au programme d’accompagnement palliatif que justifie cette foi irrationnelle dans une pandémie imaginaire : subventions, home office, vacances prolongées « Covid long ». Ils veulent disparaître, et finalement, c’est leur droit.
Comme face aux suicidaires en-dehors du cercle de nos proches, la seule attitude raisonnable consiste à les laisser faire, en s’assurant qu’on est l’abri d’une éventuelle explosion de gaz.
Le moment est venu de se dire adieu
La bonne nouvelle, c’est la participation : 42%. Une partie au moins des 58% absents doit considérer que les « autorités » à l’origine des questions posées ne disposent plus de la légitimité historique permettant de le faire. La farce démocratique touche à sa fin.
Il convient de s’en réjouir, et d’être reconnaissants à Klaus Schwab des leçons si utiles qu’il nous a administrées :
Ceux qui, comme moi, comprennent la nécessité de la Sécession doivent aussi comprendre que cette dernière ne peut pas être démocratique, c’est-à-dire universaliste – au sens où : un homme libre ne peut déléguer à aucune institution impersonnelle le choix des contemporains qu’il souhaite associer à sa prise de décision collective (que cette dernière passe par un système de représentation politique, ou se produise sous forme de démocratie directe).
Qu’ils conservent ou non leur voisinage géographique avec ceux qui souhaitent disparaître, ceux des Suisses (et, plus généralement, des Européens) qui veulent vivre devront donc apprendre à ne plus dépendre – si possible, en rien – de ceux qui préfèrent « sauver la planète » en devenant verts et inclusifs – propriétés typiques des cadavres.
Absolument collector!
Au pays de la vache, ça sent le mouton. On retrouve à peu près la même proportion entre les vaccinés et les non-vaccinés.
bon résumé du monde occidental qui me fait penser à cette phrase : “laissons les morts enterrer les morts”…
Je ne suis pas sûre qu’ils nous laisseront tranquilles et libres de ne plus dépendre!!!
Itou !
Je crains que la masse des moutons ne nous entraîne aussi dans cette spirale mortifère.
Sécession soit mais à un moment ou un autre on dépend du système.
Par ex. une hospitalisation, comment fait on ?
Comme autrefois : on fait ce qu’on peut avec les moyens encore à notre disposition (beaucoup de choses peuvent et doivent être organisées) et on réapprend la sagesse originelle : nous ne sommes pas immortels.
60% de 42%, cela fait 25% du total de la population non ?
Ouiii
Les suisses ont ils un cota minimum pour accepter une élection ?
Chez nous non, voir les élections du locataire de l’Elysée !
C’est là qu’on voit que même dans une démocratie avec votation permanente si les médias penchent trop d’un côté ils finissent par convaincre suffisamment de monde de n’importe quoi
Lutter contre ça va être un long combat mais peut-être possible si les discussions volent un peu plus haut que ; COMPLOTISME a tout bout de champ si l’interlocuteur d’en face n’est pas d’accord
Et les me(r)dias n’ont pas fini d’en avoir avec la dernière perle de la perfide Ursula : mesure ou loi sur la ‘désinformation’ touchant la santé et la politique à partir du… 1er août !
Fini la liberté d’expression notamment sur les réseaux sociaux puisqu’elle fait appel aux GAFA pour la surveillance voire la sanction.
Pensée unique, santé unique…
La Dictature En Marche…
En tant que suisse, que dire des Suisses (en-dehors des exceptions qui confirment la règle)?
Par rapport au reste de la planète, leur niveau de vie a été tellement élevé depuis des décennies qu’ils ont complètement perdu la notion du réel.
À force de vouloir aveuglément et à tout prix protéger ce qu’ils pensent être une vie de qualité, ils finiront encore plus robots que maintenant.
Ils n’ont pas compris que les robots, même chers, on en a rien à foutre et on les jette après usage.
Apparemment ils font aussi partie du moule occidental…