Approuvé par la Food and Drug Administration, le molnupiravir produit par Merck est utilisé dans plusieurs pays – y compris Israël – pour traiter les patients symptomatiques susceptibles de développer la forme grave du Covid-19. Selon une étude récente publiée dans la revue Nature, ce médicament aurait accéléré les mutations du SRAS-CoV-2, qui se sont répandues par la suite. L’étude met en évidence de potentielles préoccupations quant aux effets de la pilule COVID molnupiravir, suggérant qu’il pourrait contribuer à la formation de mutations du virus. L’impact de ces mutations provoquées par le molnupiravir reste encore inconnu.
Premier traitement antiviral contre le covid recommandé par l’Organisation mondiale de la santé, le traitement oral du laboratoire Merck a été conçu pour réduire le risque de formes graves et d’hospitalisations. Nombreux sont les pays qui ont décidé d’autoriser son utilisation, mais en passant largement sous silence les effets secondaires du médicament, déjà connus. Une nouvelle étude publiée mardi dans la prestigieuse revue Nature révèle que la pilule antivirale molnupiravir pourrait être à l’origine de mutations du SRAS-CoV-2.
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Avec le recul il fallait laisser l’immunité naturelle se développer dans la population et soigner avec des médicaments classiques les personnes âgées et les immunodéprimés. La jeunesse et les adultes en bonne santé auraient fait un équivalent de rhume ou de grippe et l’épidémie se serait arrêtée faute de combattants. Les anti viraux de votre article et la vaccination ont favorisé l’apparition de virus mutants. IL NE FAUT JAMAIS VACCINER UNE POPULATION EN PÉRIODE ÉPIDÉMIQUE. Mais l’OMS écoute plus volontiers Bill Gates que le Pr Peronne. Il est temps de proclamer la nocivité des oligarques, Bill Gates achète l’OMS et Bernard Arnault place Macron où il est. Il faut rétablir l’ostracisme démocratique athénien.