L’édition d’hier de l’émission PAF est revenue sur le niveau – effectivement alarmant – des dépenses du couple présidentiel, avec mise en exergue d’un budget coiffure qui ressemble plutôt à un salaire d’ingénieur. Comme on n’a plus le droit de parler de quoi que ce soit, finalement, le coût des coiffures de la (très anticonstitutionnelle) « première dame », ça nous tiendra bien lieu de « débat démocratique », non ?
Car, avouons-le : sans les frasques pseudo-monarchiques du couple LVMH de l’Elysée, question sujets de conversation, on serait mal barrés.
Emettre des doutes sur le caractère démocratique du régime de Kiev – même dans la bouche d’un journaliste qui, depuis au moins trois ans, se montre, comme moi, très critique envers le régime poutinien –, c’est le stigmate « agent du Kremlin » à tous les coups. Même Zemmour s’est dégonflé.
Faire remarquer, de même, que la France, si elle n’est tenue à aucune solidarité institutionnelle à l’encontre des Palestiniens, n’est pas non plus une alliée formelle d’Israël (surtout pas dans ses conflits internes), c’est une position qui – comme en attestent les torpilles judiciaires récemment lancées en direction du NPA – est elle aussi lourde de promesses de répression en tous genres.
Vers un nouveau Tournant de la rigueur ?
Pour ne rien dire des pandémies imaginaires et des injections « sûres et efficaces », à propos desquelles Ruth Elkrief nous explique que le « verdict » rendu par l’académie Nobel, en récompensant notamment Katalin Karikó (mieux connue des services hongrois de l’époque communiste sous son nom d’agent : Zsolt Lengyel), doit clore toute polémique – l’académie Nobel devenant ainsi un énième équivalent du GULF, du GIEC et autres curies simili-romaines de la meilleure expertologie que Davos ait pu se payer.
Ceux qui souhaitent continuer à ne pas aggraver le problème de la surpopulation carcérale auront donc tout intérêt à concentrer leurs critiques sur Brigitte : sur le prix de ses permanentes pour les normies, voire (pour une partie de la dissidence) sur d’autres caractéristiques controversées de sa royale anatomie.
Mauvaise nouvelle, du coup, pour Marine, Jean-Luc ou autres ténors de l’opposition contrôlée potentiellement appelés à assurer une pseudo-alternance démocratique : comme il faudra bien continuer à exécuter les ordres de Davos (y compris en matière d’Etat palestinien, si c’est Jean-Luc qui s’y colle) – côté budget cosmétique, en revanche, va falloir faire ceinture.
Du coup, avec Attal à l’Elysée, ça coûterait moins cher. J’ai bon?
Après le dîner à Versailles qui a réuni un grand nombre de pique-assiettes voilà que le perruquier de madame nous coûte une fortune. Macron et son épouse nous rappelle le couple Ceaucescu, des grossiers arrivistes.
L’indécence du couple Macron et Brigitte, alors qu’il y a des milliers de retraités très pauvres bien en dessous de l’ASPA, ce qu’ont appelle le revenu Minimum vieillesse c’est une grosse arnaque, ces personnes âgées ont toute travaillé, mais elles ont été exploité par des employeurs malhonnêtes, qui profitait de leur manque de savoir, la plus grande pauvreté c’est de ne pas connaitre ces droits et ces devoirs
cela fait cher la perruque… tout comme la calvitie de Hollande !
oui, Hollande, dix mille balles par mois à son coiffeur pour lui peigner les 3 poils qu’il a sur le caillou
C’est un coiffeur pour homme?
La gauche dans toute sa splendeur ! Pour avoir rencontré un couple de petits retraités vivant, faute de moyens financiers, dans leur voiture, le salaire de 5200€ pour coiffer ce qui pourrait être un travelo est une monstruosité, une insulte, une provocation. Honte aux crétins qui ont voté pour ces minables.
Pauvre France, pauvres français !
eh oui, on est jamais sorti de la monarchie et la cupidité avec laquelle tous ces gens profitent de l’argent public sans compter est vraiment inadmissible et même indécent dans la situation économique actuelle; c’est quand que les Français vont ressortir les fourches ?
Ils finiront comme les Ceaucescou ! Sous les coups de la vindicte populaire !
Et dire que certains français trouvent tout ça normal ! (on n’y peut rien…). Eh bien continuez à payer. Pour qu’il y ait des loups il faut qu’il y ait des brebis. Cet adage n’a jamais été aussi d’actualité…