Depuis le depuis de la crise Covid, la Suisse a détruit 18,6 millions de doses de vaccin périmées anti-Covid 19. Selon le rapport annuel d’une commission parlementaire, la quantité d’injections détruites a dépassé le nombre de doses injectées.
Depuis fin 2020, la Suisse a reçu 31,9 millions de doses de vaccins anti- Covid-19 et 17 millions d’entre elles ont déjà été utilisées. Le pays a attribué 8 millions de doses à des pays tiers. La Suisse n’est pas le seul pays éprouvant des difficultés face au surstockage de vaccins. Actuellement, les pays européens font pression sur la Commission pour qu’elle renégocie les contrats. La Pologne et la Hongrie ont cessé d’accepter des vaccins et sont poursuivies par Pfizer pour défaut de paiement. En attendant, les vaccins continueront d’arriver, le contrat révisé avec Pfizer obligeant les pays européens à acheter des vaccins jusqu’en 2027
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Il est étonnant qu’un pays réfléchi et indépendant comme la Suisse soit tombé dans une telle politique vaccinale aberrante ? La corruption de Pfizer est puissante. La différence avec la France c’est qu’ils ont les moyens de gaspiller. J’attends les enquêtes helvétiques sur la question. A ce propos il faut suivre le parfait connaisseur du domaine le suisse Jean Dominique Michel sur Telegram.
Surtout, quelles pressions ou chantages a donc subi la confédération helvétique ?
Un peu d’ironie: quelle pandémie?
On se demande comment les gouvernements ont pu passer des commandes fermes sur plusieurs années sans savoir si ils auraient l’usage de ces doses; quelle dilapidation d’argent public pour enrichir Pfizer!
Vous vous posez vraiment la question?
https://edition.francesoir.fr/videos-les-debriefings/les-contrats-d-achats-de-vaccins-anti-covid-19-de-pfizer-biontech-en-europe
la population boomeurs affolée réclamait des doses…
Pression ? Chantage ? Menace ?
“le contrat révisé avec Pfizer obligeant les pays européens à acheter des vaccins jusqu’en 2027”
Une telle clause dépasse l’entendement !
Même sans croire le professeur Raoult qui disait qu’une épidémie de maladie infectieuse ne dure jamais au-delà de trois ans, il aurait été de bonne politique de passer une commande ferme sur un an, voire deux, et de prendre une option pour la suite. Dans le privé c’est ce que tout le monde fait…
Ce genre de décision met en évidence la volonté délibérée des dirigeants européens de saboter leur propre économie.
Une pierre de plus à l’édifice du “complotisme”…