Les familles des personnes décédées ou victimes des effets indésirables du vaccin anti-covid AstraZeneca ont récemment pris une décision difficile : abandonner leurs tentatives de poursuite judiciaire contre le géant pharmaceutique. Ce choix est survenu après des indications selon lesquelles il serait peu probable qu’ils obtiennent gain de cause.
Selon The Telegraph, dernièrement, AstraZeneca a admis dans un document juridique soumis à la Haute Cour que son vaccin anti-Covid « peut, dans de très rares cas, provoquer un TTS (Thrombose avec Thrombopénie Syndrome) » qui est à l’origine de la formation de caillots sanguins. Pour autant, les familles des victimes des vaccins’AstraZeneca ont décidé d’abandonner la tentative de poursuite judiciaire contre la société pharmaceutique après avoir appris qu’elles pourraient perdre le procès. Selon Gareth Even, le mari d’une des victimes, une dénommée Lisa Shaw, il risque de supporter les coûts du géant pharmaceutique. Un dépliant distribué dans les centres de vaccination, avertissant des cas extrêmement rares de caillots sanguins avec de faibles taux de plaquettes, a eu un impact significatif sur la capacité des familles à poursuivre en justice.
Dépliant d’avertissement : une barrière juridique
AstraZeneca a fait l’objet d’une poursuite judiciaire pour les effets secondaires de son vaccin qu’il a développé avec l’Université d’Oxford. Il s’agit d’un recours collectif. Les familles de personnes décédées ou ayant subi des blessures après l’administration du vaccin contre le Covid ont décidé de porter plainte contre le géant pharmaceutique. Selon leurs allégations, l’injection aurait « causé la mort et des blessures graves dans des dizaines de cas ».
Gareth Eve fait partie des familles des victimes. Sa femme, Lisa Shaw est décédée après avoir reçu le vaccin d’AstraZeneca contre le Covid-19. Il y a aussi Kate Scott, la femme de Jamie Scott qui a subi une lésion cérébrale permanente après sa vaccination en avril 2021. Notons que Mr Even a déjà demandé une aide financière au titre du Vaccine Damage Compensation Scheme (VDPS). Cette requête a été validée et un paiement unique de 120.000 £ a eu lieu. Mais pour les familles des victimes, c’est insuffisant. Raison pour laquelle, elles ont décidé de porter l’affaire devant la Haute Cour.
Mais il serait peu probable qu’ils obtiennent gain de cause en raison d’un dépliant émis au plus fort de la pandémie, avertissant des effets secondaires rares du vaccin.
Le dépliant indique que le vaccin Covid AstraZeneca pourrait provoquer des « cas extrêmement rares de caillots sanguins avec de faibles taux de plaquettes ». Les experts juridiques estiment que cela pourrait protéger AstraZeneca contre les poursuites intentées après le 7 avril 2021.
Pour rappel, plus de 50 personnes ont décidé de poursuivre AstraZeneca devant la justice, car les injections ont été administrées avant l’avertissement sur les cas de caillots sanguins. Mais 12 familles ont retiré leurs plaintes après avoir reçu des conseils de leurs avocats.
Le mari de Lisa Shaw en fait partie. Il a déclaré que s’il ne retirait pas sa plainte devant la Haute Cour, il ne serait plus couvert par l’assurance. Il risquerait ainsi de supporter les coûts de la société pharmaceutique pouvant atteindre des centaines de milliers de livres sterling.
Cette décision laisse un sentiment d’injustice, alors que ces familles se trouvent désormais confrontées à une impasse juridique.
Sentiment d’impuissance des familles face à la situation
M. Eve, ayant perdu sa femme Lisa Shaw après sa vaccination, a exprimé son sentiment d’impuissance face à la situation. Il a déclaré que le décès de sa femme a bouleversé sa vie. Pour lui, AstraZeneca « se renvoyait la balle » en voulant se défendre par le fait d’avoir averti les patients avec des dépliants d’information. Pourtant à l’époque, on n’entendait que le message du gouvernement qui prônait l’efficacité et la nécessité de la vaccination.
Il demande aux ministres et à AstraZeneca de « s’asseoir et d’avoir une conversation » avec les familles des victimes de blessures suite à la vaccination contre le Covid-19. La société pharmaceutique n’a peut-être pas une obligation légale envers elles, « mais ils ont une responsabilité morale », a-t-il ajouté.
Notons que les 11 personnes qui ont abandonné leurs poursuites avaient des proches décédées suite à la thrombopénie et la thrombose immunitaires induites par le vaccin (VITT). Cela a été mentionné dans le certificat de décès. Malgré le retrait de certaines familles, plus de 50 personnes poursuivent toujours AstraZeneca devant la Haute Cour.
Le VAERS = vaccine adverse events reporting system qui recueille les effets secondaires des vaccins a déclaré qu’il y a autant de décès post vaccin anti Covid que de décès provoqués par les tous les vaccins depuis 1988. C’est un holocauste.