Depuis le début de la pandémie de Covid-19, les confinements ont été largement utilisés par les gouvernements du monde entier pour contenir le virus. Ils n’ont aucune vertu médicale, leur unique justification a résidé dans le fait d’étaler dans le temps les vagues de contamination afin d’améliorer la prise en charge des patients critiques. En Belgique, le gouvernement l’a mis en place pour « gérer l’épidémie ». Les écoles et les universités ont fermé leurs portes et on encourageait les cours à distance. Les divers évènements culturels et sportifs étaient aussi interdits. Tout cela a généré des changements drastiques dans le mode de vie de la population. Une étude de cohorte a révélé que le confinement avait un impact sur l’activité physique et le comportement sédentaire chez les enseignants du secondaire s’est accentué. Le confinement a profondément modifié les comportements quotidiens des enseignants du secondaire en Belgique.
Le 18 mars 2020, le gouvernement fédéral belge a mis en place le premier confinement, qui comprenait plusieurs mesures ayant un impact dramatique sur la vie quotidienne. Les écoles ont fermé, puis, en parallèle avec les universités, ont basculé vers l’apprentissage à distance numérisé. Les bars et les restaurants ont aussi été fermés, et toutes les manifestations et activités sociales, culturelles et sportives ont été annulées. Les travailleurs non essentiels ont été invités à travailler à domicile, et pour une grande partie d’entre eux, ces mesures ont même conduit à une augmentation du chômage technique. Ces changements radicaux dans le travail et le mode de vie ont significativement impacté l’activité physique (AP) et les comportements sédentaires (SB) des individus.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
” leur unique justification a résidé dans le fait d’étaler dans le temps les vagues de contamination afin d’améliorer la prise en charge des patients critiques.”
Vous en êtes encore à croire que la prise en charge des patients critiques posait problème alors que la plupart des hôpitaux étaient vides de patients, ces derniers étant orientés vers des établissements choisis pour être surchargés?