Depuis quelques mois, des milliers de cas de troubles menstruels qui surviennent après la vaccination ont été signalés. Après avoir mené une étude, l’ANSM a pourtant annoncé qu’il n’y avait pas de lien direct entre les vaccins et ces effets secondaires. Un triste exemple du déni de réalité d'un réseau sanitaire mondial qui a perdu son autonomie par rapport aux gouvernements et à l'industrie pharmaceutique.
Aucun lien entre le vaccin et les troubles menstruels
Depuis le lancement de la campagne vaccinale, différents cas d’effets secondaires ont été signalés. Les troubles menstruels comme des saignements anormaux, aménorrhées ou retards de règles en font partie. Ils ont touché des milliers de femmes qui venaient de recevoir la première ou la seconde injection de vaccin.
Selon les statistiques, dans l’Union Européenne, 3870 cas de perturbations des règles ont été signalés après une vaccination au Pfizer et 562 après réception d’une dose de Moderna. Les autorités sanitaires ont beau nous répéter que, dans la plupart des cas, ce serait des problèmes bénins et passagers, on est étonné qu’aucun principe de précaution ne soit respecté. Même quand le cycle menstruel redevient normal au bout de quelques jours ou quelques semaines, est-on sûr que ces perturbations du cycle ne soient pas les symptômes de troubles organiques plus graves. Quelles sont les conséquences pour des adolescentes? Y a-t-il des enjeux de fécondité?
L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a décidé d’analyser ces effets indésirables, signe que les autorités sanitaires, derrière la façade, sont inquiètes. Ce mardi, l’agence a rendu public les résultats de ses études. Elle a annoncé que les données réunies jusqu’à présent n’ont pas permis de prouver l’existence d’un lien direct entre les vaccins et les troubles. Quelle formule alambiquée. S’il y a le moindre doute, on devrait déclencher le principe de précaution.
Une étude norvégienne a pourtant indiqué que les perturbations du cycle menstruel sont fréquentes après administration d’un vaccin. Mais nos modernes Diafoirus ont aussitôt sorti l’argument: les résultats de cette enquête n’ont pas encore été évalués par un comité de pairs. Circulez, il n’y a rien à voir.
Mise en place d’une surveillance continue
Même si l’Agence européenne du médicament a indiqué que les cas de troubles mensuels signalés après vaccination sont des « évènements non graves, de courte durée et spontanément résolutifs », elle recommande aux femmes de consulter un médecin si les symptômes persistent au-delà d’un cycle.
L’agence demande aussi aux professionnels de ne pas négliger les autres causes possibles. Ils sont incités à vérifier s’il ne s’agit pas d’une grossesse non détectée, d’un traitement hormonal ou d’un trouble gynécologique qui s’est développé au moment de la vaccination. Quoi qu’il en soit, l’ANSM prévoit de mener des études supplémentaires et de surveiller de près ces évènements.
Ces cas de perturbations des règles touchant des milliers de femmes de nombreux pays semblent susciter plus d’inquiétude que ne le veulent bien montrer les discours officiels. Aux Etats-Unis, le NIH (national Institute of Health) a décidé d’investir 1,67 million de dollars pour financer les recherches concernant l’impact des vaccins Covid-19 sur les règles et le cycle menstruel.
C’est le polipodium un parasite qui dévore les organes reproducteurs… bientôt tous stériles. Comment expliquer la venue de ce parasite dans un « vaccin » dont l’origine vient de l’esturgeon ?
Et la plupart des femmes atteintes n’ont pas fait de déclaration…
Une question se pose compte tenu de la volonté prouvée des élites de réduire la population mondiale (*): ces produits, qui n’ont tien de vaccins efficaces, ont-ils été conçus pour réduire la fertilité? La fixation de la protéine Spike sur les organes génitaux pose aussi cette question.
(*) « Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que « le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. »
A la même époque, un rapport de la London School of Economics (LSE) estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050 pour arriver à 6 milliards. Or, même si l’accroissement démographique diminue, la majorité des projections prévoient une population totale de plus de 9 milliards à cette date. Réduire la population mondiale à seulement 6 milliards impliquerait l’élimination de 3 milliards de personnes…
C’est à ces sombres calculs que se livrent les « élites » depuis des années….
Les radium-girls léchaient leurs pinceaux pour les affiner afin de peindre plus aisément les cadrans de leurs réveils, alors que leurs patrons connaissaient déjà la vérité…