Depuis mardi, Pfizer et BioNTech ont cherché à obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la FDA pour le vaccin anti-Covid destiné aux enfants de 6 mois à 5 ans. Dans les jours qui suivent, le dossier sera normalement soumis à l’EUA et les données en lien avec les essais cliniques seront également accessibles pour l’Agence européenne des médicaments. Depuis le début de cette pandémie, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons d'une telle demande.
Stigmatiser pour mieux vacciner
Dans un communiqué, Pfizer et BioNTech ont fait savoir que les résultats des essais cliniques concernant le vaccin pour les enfants de 6 mois à 4 ans ont été déposés à la FDA. Du côté de la FDA, la réunion du comité consultatif se déroulera le 15 février .
La vaccination des plus jeunes est une question explosive. Le Dr Paul Offit qui agit en qualité de directeur du Vaccine Education Center, un hôpital pour enfants de Philadelphie a tenu à préciser « Tout dépend des données. Les données nous diront à quel point ils sont bons. Il devrait y avoir un profil de sécurité robuste et un profil d’efficacité et d’immunogénicité robuste. Et si c’est le cas, la vitesse n’a pas vraiment d’importance, tant qu’ils ont ces données. »
Pour l’heure, le vaccin Pfizer/BioNTech destiné aux enfants de 5 ans est la seule injection disponible pour cette tranche d’âge. Selon les firmes, l’élaboration de ce vaccin fait essentiellement suite à « un besoin urgent de santé publique pour cette population ».
Selon les données de l’Académie américaine de pédiatrie depuis les débuts de la pandémie, il est possible de répertorier près de 11,4 millions d’enfants contaminés, dont un peu plus de 3,5 millions de cas pour le mois de janvier. D’ailleurs, du 20 au 27 janvier, 22,8% des cas hebdomadaires étaient des enfants.
Un vaccin à trois doses pour les moins de 5 ans
La période d’essai du vaccin destiné pour les plus jeunes a été prolongée depuis le mois de décembre par Pfizer. En effet, après avoir effectué un test à deux doses, il a été constaté que les injections n’étaient pas en mesure d’atteindre le seuil d’immunité attendue du côté des 2 à 5 ans, même si cela a été probant, nous dit-on, chez les moins de 2 ans.
L’entreprise estime ainsi qu’il serait plus censé de procéder à 3 injections. Dans un communiqué, Albert Bourla, président-directeur général de Pfizer indique : « En fin de compte, nous pensons que trois doses du vaccin seront nécessaires pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans afin d’atteindre des niveaux élevés de protection contre les variants actuelles et les futures variants potentielles. »
Les données en lien avec cette troisième dose qui est administrée 8 semaines au minimum après la seconde dose pourront être communiquées dans les prochains mois et ils seront également transmis à la FDA.
Pour rappel, la dose de vaccin Pfizer/BioNTech administrée est variable selon la tranche d’âge. Ainsi pour les 12 ans et plus, la quantité est de 30 microgrammes, tandis que pour la population de 5 à 11 ans, elle n’est que de 10 microgrammes. Enfin, la dose est limitée à 3 microgrammes pour les plus jeunes.
La vaccination chez les enfants reste un choix hasardeux, à ce jour, aucune étude fiable n’a prouvé formellement l’innocuité de ces vaccins chez eux.
A ce sujet, Jean-Paul Hamon, médecin et président d’honneur de la Fédération française des médecins reconnaît que « pour les enfants, le rapport bénéfice-risque n’est pas en faveur du vaccin. Les enfants font très peu de formes graves et pour le moment, ce rapport est nettement en faveur de l’abstention, sauf pour les enfants qui seraient immunodéprimés ou qui auraient des facteurs de risques importants. Aux États-Unis, où il y a un fort taux d’obésité, il existe un intérêt à vacciner les enfants. En France, pour le moment, on n’en est pas là. »
Bonjour ,
Pourriez-vous confirmer ou infirmer que le but de la manœuvre, vacciner les -5ans, est de garantir à Pfizer une immunité totale pour les dégâts causés aux adultes ?
Il me semble avoir entendu un jusiste US aller dans ce sens .
Bien à vous . Thierryx
A priori, pour les USA, si un médicament est autorisé définitivement pour les enfants, effectivement alors les fabricants ne sont plus responsables des effets secondaires.
Cela date d’une loi des années 80, loi cherchant à inciter les fabricants à trouver des médicaments pour les enfants, alors qu’il y a des risques importants, les indemnités accordées en cas de problème sur des enfants étant très importantes aux USA.
Mais là, l’autorisation demandée est encore provisoire, donc cela ne marchera pas par cette astuce légale.
Ils vont donc probablement essayer de transformer cette autorisation provisoire pour les enfants en autorisation définitive le plus vite possible.
Cependant, les contrats doivent être les mêmes que pour les « vaccins » pour adultes, donc avec la clause permettant à Pfizer de se faire rembourser l’intégralité des dépenses liées à des recours.
Donc, à court terme, Pfizer est certainement protégé par la clause du contrat d’achat, puis serait protégé par la loi sur les médicaments pour les enfants.
La vie est belle pour ces truands, qui veulent vendre à prix d’or un « vaccin » inutile puisqu’il n’y a pas de risques avérés, sans faire les essais complets, tout en étant complètement irresponsables !
Cette phrase est juste odieuse : “pour les enfants, le rapport bénéfice-risque n’est pas en faveur du vaccin. » Il n’y a aucun bénéfice à inoculer un poison à qui que ce soit, et pire avec des enfants innocents, pour une maladie qui tue moins que la grippe, et encore moins, si les criminels en place n’avaient pas interdit les médicaments qui soignent. Il s’agit d’ASSASSINS, rien d’autre ! Ces assassins se sont hissés au pouvoir et ont les mains libres ! Al Capone doit en crever de jalousie, il a trouvé enfin ses maîtres !
Vu les dégâts possibles à cet âge, avant que les parents ne réalisent que leurs enfants sont devenus stériles, les responsables auront fui en Amérique latine, par exemple.
Comme le caractère urgent n’est pas démontré, la décision pourrait durer. La FDA est actuellement empêtrée dans les autorisations données massivement à des médications antalgiques chargées d’opioides avec leurs effets d’addiction de longue durée. La proteine spike est aussi un poison dont on ne peut plus se passer et dont la production interne doit être entretenue par les très coûteuses injections de doses cominaty (1,2,3,4,5?). Jusqu’à présent on ne donnait pas l’opium aux nourrissons quel qu’en soit le prétexte.
« Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons d’une telle demande. »
ah bon …parce que vous en êtes encore à ce stade là? pfffffffffffff….je préfère en rester là…..ça m’insupporte au plus au point.
Effectivement. Peut-être que l’article s’adresse aux mougeons qui n’arrivent pas à comprendre ? Et ceux-là, il faut leur parler précautionneusement…
Moi aussi !
Ursula VDL a déjà commandé près de 5 milliards de doses dont plus de 3 milliards à Pfizer.
(Des vaccins surs contre la covid pour les européens, EMA)
Il faudra bien en faire usage, coûte que coûte (100 milliards €)
Les produits Astra Zeneca et Johnson-Johnson & Jansen devront être recyclés à l’extérieur.
Outre l’argument de l’inefficacité du produit type Wuhan sur le variant Omicron,
outre le danger affaibli de ce dernier variant,
outre la très faible létalité de tous les variants chez les plus jeunes,
les scientifiques et experts corrompus et complices s’apprêtent à passer outre cette dernière barrière.
C’était écrit, c’était prévu dès le premier jour.
Le choix qui nous est imposé sera un abonnement à 1, 2 ou 3 injections par an et pour tous
Complètement malade le vétérinaire qui sert de page à Pfizer
Pfizer est un habitué de l’arrangement (sinon la falsification) des essais cliniques. Cela va de la mise sous le tapis des résultats désagréables à des cohortes de patients modifiées en cours d’essais en passant par des études de dizaines de milliers de pages qui sont lues en diagonale par les agences ou encore la dénomination minimisante de certains effets secondaires…
Ceux qui savent et les laissent continuer sont des criminels.
Nous vivons depuis deux ans la plus grande mascarade à échelle mondiale de tous les temps. Ce cirque a été tellement bien orchestré et planifié, qu’il met du temps à s’effondrer. Les enfants en bas âge maintenant… Comme ils doivent jouir de la situation, de là-haut, de leur piédestal intouchable de milliardaires protégés et corrompus. Les pédophiles dans les hautes sphères politiques ont toujours été protégés, pourquoi en serait-il autrement lorsque la pénétration doit se faire par une injection, pour leur bien évidemment. La cause est sanitaire, n’est-il pas ! J’ai hâte que cela se termine, si tant est que cela doive se terminer (et bien, si possible).
J’ai lu une fois un article comme quoi aucun milliardaire aux USA n’a jamais fini en prison. La seule exception ayant été B. Madoff (pyramide de Ponzi en 2008), et celui-là uniquement parce qu’il avait volé… d’autres milliardaires. Donc, pour ces criminels, s’ils arrivent à devenir milliardaire avant que le vent ne tourne, hop, sauvés !