Le Great Reset fait couler beaucoup d’encre, et nourrit beaucoup l’imagination. Loin des préjugés complotistes, nous entamons ici une série d’explications sur son contenu, en revenant au livre écrit par Schwab et Malleret. Cette série se prolongera durant plus d’une dizaine de chapitres. Ne manquez pas nos épisodes quotidiens pour comprendre quels changements sont en préparation sur notre petite planète, à l’instigation des élites internationales.
En juillet 2020, c’est-à-dire quelques semaines seulement après que de nombreux pays industrialisés ont décidé de confiner leur population pour limiter ou juguler la propagation de COVID 19, Klaus Schwab, fondateur historique du Forum de Davos et Thierry Malleret, l’un de ses proches, ont publié un ouvrage de 282 pages intitulé The Great Reset. Ce livre n’est officiellement pas disponible en format numérique, même s’il est possible de le trouver sous ce format sans payer les 11€ nécessaires à son acquisition.
Ces petits détails soulignent que l’entreprise du Great Reset, que l’on pourrait traduire en français par le Grand Recommencement (mais que Davos traduit par le néologisme Réinitialisation), n’a rien de secret. Ce n’est pas un complot ourdi dans l’ombre pour changer la face du monde. C’est un projet public, transparent, assumé, largement décliné par l’ensemble du Forum Economique Mondial créé par Schwab, relayé de multiples manières par le site du Forum, nourri par de nombreuses contributions publiées sur le site lui-même. Le Great Reset sera par ailleurs au centre de la grande réunion annuelle de Davos qui se tient en janvier 2021.
On le voit, on est loin, très loin du complot. Ce point est important à souligner car quelques esprits soumis croient encore utile de crier au complotisme dès que l’on interroge le contenu de ce projet. Il est de bon ton d’insinuer, voire d’accuser frontalement tous ceux qui se demandent quelles sont les finalités de ce Great Reset de propager des rumeurs fantasmatiques sur la volonté qui animerait quelques grands de ce monde. Il suffit pourtant d’ouvrir les yeux et de lire l’impressionnante littérature publiée sur le sujet par ces grands eux-mêmes pour comprendre qu’ils ont décidé de prendre le destin en main et de l’orienter dans une direction conforme à leurs volontés et leurs intérêts.
L’objet de cet ouvrage est d’en décrire les grandes lignes et de les resituer dans leur sens global, en laissant chacun se forger sa propre opinion sur ce sujet.
Quinze secondes pour comprendre le Great Reset
Le Great Reset part d’une idée simple : la pandémie de coronavirus produit un tel choc sur le monde sur l’ensemble du monde (et pas seulement sur son économie) qu’elle donne l’occasion la plus inespérée d’accélérer des réformes ou des changements sous-jacents depuis de nombreuses années. Ces changements de fond concernent tous les domaines de la vie humaine : l’économie bien sûr, mais aussi le rôle de l’Etat, le bien-être personnel, les relations entre les gens, les technologies à leur disposition, jusqu’à l’écologie et la géopolitique.
En près de 300 pages, les deux auteurs exposent leurs vues et leurs visions sur ce que devrait être le monde de demain, et ils entreprennent de partager cette vision avec l’ensemble de l’élite mondiale.
Bien entendu, il s’agit de la vision produite par l’élite mondiale, qui engage les intentions et les intérêts de l’élite mondiale. C’est pour cette raison que la compréhension du Great Reset est importante : si elle est discutée par les élites, elle concerne tout le monde et devrait dans les années à venir modifier la vie de tous les humains. Elle propose en effet des changements radicaux dans l’organisation des sociétés, et d’abord des sociétés industrialisées, grâce à ce qu’on appelle le “soft power”, c’est-à-dire le pouvoir d’influence.
Ici, pas de vote, pas de campagne électorale, pas de délibération encadrée par des textes. On trouvera seulement des idées agitées dans des colloques, des réunions, des discussions entre happy few où seront invités quelques journalistes influents. Tout ce petit monde va propager ensuite les mots-clés qu’il a entendus durant ces moments. Les uns vont les répéter sous toutes les formes possibles dans des articles distillés quotidiennement dans la presse. Les autres vont les distiller dans des dîners en ville, dans des réunions syndicales ou dans des cénacles qui attendent la bonne parole.
C’est cela le pouvoir d’influence : il consiste non à imposer des normes, mais plutôt à percoler des idées comme on percole le café.
Quelques mots sur Schwab
Certains pourraient être sceptiques sur l’efficacité de cette méthode qui ne repose pas sur le pouvoir contraignant des Etats, mais qui s’appuie sur ce que le marxiste Gramsci appelait la domination culturelle. Elle consiste à dompter les esprits sans recourir à la force de la loi, mais en cherchant à persuader, à obtenir le consentement des esprits.
Dans ce domaine, le Forum de Davos inventé par Klaus Schwab constitue une sorte de modèle abouti qu’il n’est pas inutile de décrire.
Parlons de Klaus Schwab d’abord. Finalement, on sait assez peu de choses personnelles du bonhomme qui a créé Davos, si ce n’est qu’il est né en Allemagne en 1938. Il a fait ses études en Suisse, et à Harvard après la guerre. Il obtient un doctorat d’économie à Fribourg, un doctorat de génie mécanique à Zurich. Il suit les cours d’administration publique d’Harvard.
On le retrouve enseignant à l’université de Genève de 1972 à 2003. Sa spécialité sont les affaires politiques. Dès 1971, il crée le forum européen du management, qui devient, en 1987, le World Economic Forum, plus couramment appelé le Forum de Davos. Progressivement, ce rassemblement annuel a mué en think tank permanent qui prétend diffuser une image novatrice et philanthrophique du capitalisme. Il est, en quelque sorte, la grand-messe de l’élite mondiale, où les prêtres du profit prononcent des homélies pour l’ensemble de l’année.
Pour certains, Davos est l’assemblée annuelle du néo-libéralisme. C’est en réalité assez inexact, car Klaus Schwab présente une particularité qu’il tient peut-être de son éducation reçue dans l’Allemagne nazie : il n’a pas d’aversion pour les régimes autoritaires, et il n’idéalise pas la démocratie. En 2018, il a par exemple reçu la médaille de l’amitié de la République Chinoise. Cette petite récompense saluait la réception à Davos, en 2016, de Xi Jinping, qui était venu faire l’éloge du multilatéralisme devant le Gotha du capitalisme. Elle valut à Schwab une remarque acerbe de George Soros, qui rappela fort utilement (Soros n’est pas toujours dans l’erreur !) que la Chine était le principal danger pour la démocratie dans le monde.
Ce rapide survol amène à se poser une question : Schwab serait-il un adepte de cette vision historiquement typée où une élite conduit le monde sans vraiment se préoccuper de démocratie et de liberté ?
Quelques mots sur Thierry Malleret
Aux côtés de Klaus Schwab dans la rédaction du Great Reset, on trouve Thierry Malleret, un Français qui a obtenu un doctorat d’économie à Oxford. Le personnage est lui aussi très discret sur sa vie et appartient à cette nébuleuse d’influenceurs qui cultivent leur carnet d’adresses comme un jardin secret.
Avant d’entamer une vie d’influenceur, Malleret fut conseiller de Michel Rocard à Matignon. Cette circonstance est intéressante parce qu’elle montre les liens pour ainsi dire organiques qui existent entre la deuxième gauche française (celle qui a refusé le marxisme) et le multilatéralisme mondialiste. Dans de nombreux parcours personnels, on s’aperçoit qu’il n’y a souvent qu’un pas entre la sphère publique et l’intérêt privé, et surtout entre le sens (parfois très relatif ou très personnel) de l’intérêt général et le fantasme d’un monde où les décisions sont prises en petit comité, par quelques experts mandatés par leur pays pour conduire les affaires de la planète par-dessus les processus démocratiques.
C’est un peu la particularité de Davos : on y trouve plus de “sociaux-démocrates” convaincus que le capital et l’Etat doivent collaborer, que de libéraux partisans d’un laissez-faire manchestérien. On pourrait même dire sans risque que le libéralisme est allergique à cette régulation du marché qu’adorent les think tanks composés d’autant de fonctionnaires (notamment des “économistes” qui enseignent la vie de l’entreprise sans y avoir jamais mis les pieds) que de chefs d’entreprise.
Après son passage à Matignon, Malleret a vécu la vie de tous les influenceurs : passage en banque d’investissement, participation à de nombreux think tanks, création du Monthly Barometer, qui lui permet de diffuser ses idées à travers l’élite mondiale. On retiendra que ce parcours l’a conduit à Londres, mais aussi à Moscou. On rentre ici dans les couches épaisses de l’influence globalisée : elle touche à tout, pose finalement assez peu d’interdits géopolitiques, et concerne autant Joe Biden, Bill Gates ou Emmanuel Macron que Vladimir Poutine ou Xi Jinping.
Autrement dit, l’influence de Davos se projette par-delà les frontières de l’ancien monde, par-delà les distinctions entre capitalisme, communisme, socialisme, et autres noms en “isme” qui permettent de cliver à bon compte les opinions publiques. Elle touche toute la planète, ou, en tout cas, toutes les élites de la planète, quelle que soit leur couleur politique. Exception faite de ce que les acteurs de la diplomatie américaine appellent les “rogue states”, au rang desquels l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie tiennent les rôles principaux. Et pour parvenir à cette globalité, Davos s’appuie sur des hommes de l’ombre, des “influenceurs” comme Thierry Malleret qui ont l’habitude de traîner leurs guêtres dans les allées du pouvoir, quel qu’en soit le détenteur.
En quoi Davos a un impact sur la vie des gens
Sur le fond, il faut se poser la question de l’impact réel de ce soft power exercé par le World Economic Forum. Après tout, le Great Reset pourrait n’être qu’un livre parmi d’autres, un livre qui ne compte pas plus que les autres, et qui ne changera pas plus la face du monde qu’un ouvrage publié par une youtubeuse ou un chanteur des années 70.
Se pose ici la question de l’influence réelle d’un Forum controversé.
Certains soutiennent que cette influence est par nature limitée, quoique Klaus Schwab tente de faire croire le contraire (notamment pour augmenter les profits qu’il en tire). On trouvera un partisan de cette thèse dans la personne par exemple de Jean-Christophe Graz, professeur à Lausanne, qui a décortiqué l’influence réelle de Davos dans un article publié en 2003 dans la revue A contrario1. Pour être franc, l’analyse de l’intéressé nous a paru plutôt verbeuse et manquant un peu de tranchant.
Inversement, le pouvoir caché de Davos nourrit de nombreux fantasmes complotistes, qui manifestent tous leur incompréhension de ce qu’est le soft power. Dans cet univers de l’ombre, certains imaginent qu’il existerait une sorte de gouvernement en coulisses qui arbitrerait des décisions qui s’imposeraient uniformément dans la vraie vie, comme si une hiérarchie cachée dominait le monde et ses institutions.
Ces divergences d’interprétation s’expliquent par la nature liquide, informelle, du soft power. Personne ne peut en mesurer exactement l’étendue ni l’effet réel. Autant une loi votée par un Parlement élu en bonne et due forme est mesurable immédiatement : elle est promulguée, et tout le monde obéit, ou est supposé obéir. Autant une ligne générale dégagée par un soft power est imprécise, parfois invisible, et son application se révèle très variable et difficile à mesurer.
On peut présumer que le Great Reset n’échappera pas à cette ambiguïté et à cette incertitude. Il n’aura pas l’efficacité claire et contraignante d’une loi qui serait adoptée par un gouvernement. Mais s’il comptait pour du beurre, il n’occuperait pas tant de gens sérieux répartis un peu partout sur la planète. Son résultat se situera donc “entre les deux” : il influencera incontestablement une partie importante de l’élite économique et politique mondiale. Il inspirera sans doute des réformes, notamment dans les institutions multilatérales, qui sont par nature les plus perméables aux influences des think tanks et autres relais d’opinion. Il décidera probablement un certain nombre d’entreprises à modifier leurs stratégies ou leurs projets.
Mais il est impossible de savoir avec quelle intensité cette influence s’exercera. Le pouvoir de Davos s’arrête là. D’autres souligneront surtout que c’est ici qu’il commence…
Le problème avec ce “soft power”, c’est qu’on redoute sa transformation en “hard power” contre ceux qui sont moins enthousiastes. Si demain, on ne souhaite pas la fusion de ses identités physique, numérique et biologique, est-ce qu’on aura le choix ?
Un grand mensonge car le complot existe. L’article ici ne détaillera rien avec des tournures vides de sens.
Exactement. La crise ’’sanitaire’’ n’est en réalité pas sanitaire mais politique. Voir le film ’’hold up’’, qui dévoile tous les mensonges d’état.
Merci de cet articles… Deux commentaires :
1/ Je trouve intéressant ce que vous nous apprenez de la relation entre M. Schwab et la Chine. Il me semble en effet que 2020-2030 risque d’être la China Way of life. Longtemps on a prétendu en Occident, qu’avec le capitalisme, la Chine adopterait la démocratie. 2020 nous montre que c’est l’inverse qui a finalement lieu : la Chine nous impose son modèle, nos démocraties deviennent des socialismes où la liberté individuelle disparait (selon le désormais adage covidien “On s’était habitué à être une société d’individus libres. Mais nous sommes une nation de citoyens solidaires”) et le capitalisme est celui que l’État autorise (cf les commerces fermés pour des prétextes fallacieux). Il y a un attrait de nos “élites” pour les plus puissants et c’est bientôt (ou, déjà) la Chine. Nos politiques se font désormais cooptés par la French China Fondation (créée notamment par Arnaud Ventura, cofondateur de PlanetFinance avec Jacques Attali) et non plus (ou plus seulement) la French American Fondation : Edouard Philippe est de la 1ere promo de 2014…
2/ Bien sûr, le soft power n’est pas une chaine de commandement verticale… Cependant, probablement par la promotion qu’ils en attendent pour l’avenir (ou par peur de manœuvres de déstabilisation, l’armée et le renseignement militaire n’étant jamais loin, Bildeberg est sécurisé par l’OTAN par exemple), l’unanimisme des gouvernements du monde entier à confiner les populations en mars dernier (alors que le confinement n’est pas une solution d’épidémiologiste et n’a aucun précédent historique) est tout de même impressionnant et fait se poser des questions sur ce qu’est ce “soft power”… Quand le Great Reset justifiera la création de nouvelles instances internationales (probablement au printemps 2021) type Conseil mondial ou “gouvernement mondial”, le soft power deviendra alors le hard power qu’évoque MW…
Sauf si TRUMP reste au pouvoir. Ce sera un test. N’oublions pas qu”‘ils” ont tout fait pour le destituer, le déstabiliser, le dénigrer; médias et démocrates. Souhaitons lui de la santé et du courage vigilant pour espérer un monde meilleur. Comme ils essaient de déstabiliser les pays de l’Est qui veulent conserver leur souveraineté. ce groupement financier mondial s’arroge des droits suprémacistes pour projeter un ordre mondial, ébauché par la fabrique de la peur en pressurisant les population sur la morbidité. Vaste stratagème machiavélien, ce virus n’est que le Nième à syndrome grippal. ASSEZ.
Dompter les esprits ? Vous vous rendez compte de ce que vous dîtes ?
Sans avoir recours à la loi? A voir…
Oui exactement
Etant donné que les médias et la classe politique se font quasi-unanimement le relais de ce “soft power”, sans proposer de recul critique ni de point de vue divergent, ce que j’en retiens c’est que dans l’expression “soft power”, le mot important est “power”. On est très heureux que ce pouvoir ne s’impose pas par la violence et les goulags, mais ça reste un pouvoir, auquel collaborent les élites politiques occidentales, et contre lequel l’électeur lambda ne peut strictement rien faire, à part manifester plus ou moins agressivement dans les rues quand ça commence à porter trop atteinte à ses moyens de vivre.
Bref, cette introduction pondérée, si elle se veut rassurante, ne l’est pas franchement.
Au contraire, nous savons maintenant que ces élites n’ont pas besoin de comploter dans l’ombre pour faire avancer leurs projets pour le monde, pour le monde, rien que ça! et qu’au contraire la volonté d’une petite élite, d’une poignée d’individus, de mener le monde à leur guise est officielle. Un totalitarisme orwellien, et de plus en de plus huxleyen, est assumé publiquement et en toute décontraction sans que cela ne pose aucun problème d’éthique.
Si en face de ces élites de Davos il existait des lobbies libéraux disposant d’un pouvoir d’influence au moins égal, de véritables contre-pouvoirs, je m’épargnerais de rédiger ce commentaire, mais en face, ce sont des lobbies de droite conservatrice, qui veulent opposer à ce dirigisme une autre forme de dirigisme. Il n’y a pas de projet, pas de place pour l’homme libre, c’est un cauchemard pour tout libéral qui se respecte, et ce n’est, encore une fois, vraiment pas rassurant.
Merci pour votre commentaire très lucide
Comme vous dites pas très rassurant.
Attali prophetisant ! avait déjà prévenu bien avant le Covid.
Il n’existe pas d’exemple, à ma connaissance, d’un groupe de pouvoir qui n’ai de cesse de grossir et d’étendre son pouvoir . Le soft power ne pourra pas se cantonner à ça et se transformera en hard power car il est sans possibilité de contrôle et ne peut que tenter de devenir sans limite . Confier son avenir à des psychopathes qui vous chantent “aies confianssse” me semble au minimun hasardeux …
Pour moi , nous ne sommes plus libre de choisir depuis le dexieme confinement j’ai l’impression d’être en dictature ,je ne me ferait pas vacciner contre le covid19 serait je libre de choisir j’espère ?
À partir du moment où un projet de transformation radicale de la société humaine se prépare en catimini par quelques personnages se présumant être une élite, et sans que les gens du peuple aient un quelconque mot à dire, il ne peut s’agir de ”soft power”. Surtout lorsque l’organisateur signifie que ”cela ne se fera pas sans heurts”. La seule chose qui soit ”soft” dans cette histoire, est la formulation de cette phrase annonciatrice des terribles tribulations qui attendent le commun des mortels.
Effectivement.
Ils décident, ils ordonnent, et le peuple n’a pas son mot à dire.
Contraindre. Forcer. Et ils demandent qu’on exécute, sous peine de sanctions.
Tu parles d’une grande réinitialisation ! L’oligarchie se prépare un avenir où elle conforte et garantit la position dominante que lui confère sa fortune.
Autrement dit, pour eux, rien ne change, si ce ne sont les outils mis à leur disposition pour mieux asservir, contrôler et museler les gens des peuples. Lesquels, une fois encore, devront assumer la totalité des bouleversements que ce ”Great Reset” annonce.
Ce qu’ils ne savent pas c’est que quand on aura plus besoin d’eux, eux aussi passeront à la trappe. Cela en a toujours été ainsi dans l’histoire.
Le principe est toujours le même:
“Quand tu arrives au sommet, la première chose que tu fais c’est de retirer l’échelle.
Bah oui c’est pas un complot c’est un super lobbying, rien à voir… Tout le monde connais le forum de Davos et tout sorte de rendez vous qui reunisse les grands influenceur de ce monde ainsi que les tenants et les aboutissants de ce qui est dit la-baz, c’est d’ailleurs ce que me confier mon boulanger pas plus tard que hier. Les gens complotiste ne font vraiment pas d’effort…
Article que je trouve des plus interessant mais dont la fin ne me satisfait pas; il m étonnerai beaucoup que l’influence de Davos sur la vie réelle soit ” entre les deux” ou alors le terme Great Reset est a proscrire ; c est soit On soit Off c est ca que les gens comprendront avec ce terme en corrélation avec l’ informatique , les mathematiques ou autres algorithmes qui ont déjà commencé a regir la vie des gens,ne soyez pas dupe…
Vous rêvez d’un monde carré sur une planète ronde.
Sincèrement, je ne saisi pas trop votre metaphore mais j’ espere qu’elle n’est pas denigrante voire méchante a mon égard 🙂
Ah je viens de comprendre peut etre que je ne sais pas arrondir les angles?.. il me semble que mathématiquement la surface d’ un carré est assez proche de celle du rond dans lequel il s inscrit laissant sur chacun de ses côté un peu de surface je vous l accorde.. a mon avis ce ne sont pas ces arrondis qu’on y trouvera les futurs boulversements a venir, au contraire!
Je pense que imaginer qu’une solution qui n’est pas binaire n’est pas satisfaisante ne peut pas être une bonne méthode.
En fait ils prennent des décisions sans vote, et sans concerter le peuple une fois de plus…. nous n’avons plus aucune liberté… et nous dans tout ça ? Une fois de plus nous sommes obligés d’accepter sans broncher…. c’est odieux, toute cette machination, encore une manœuvre pour nous dire ’’accepte et tais toi’’. Ils nous forcent à rester enfermés avec une autorisation de sortie, pour une épidémie qui ne tue pas plus qu’une grippe saisonnière, et demain nous serons obligés de faire tout ce qu’ils nous demandent, obéir à tout, c’est honteux.
Nouvel ordre mondial
Dompter les esprits ? Vous vous rendez compte de ce que vous dîtes ?
Sans avoir recours à la loi? A voir…
On est mal
Remplacez le terme’’grand reset’’par nouvel ordre mondial ’’, remplacez ’’confinement ’’ par enferment, ’’masque’’ par muselière, ’’crise sanitaire ’’ par crise politique, regardez les chiffres de l’INSEE, les vrais sur le nombre total de morts toutes causes aconfondues sur 3 ans, et vous aurez tout compris, pas besoin de faire de grands discours ni d’avoir fait polytechnique….je suis une citoyenne qui n’a pas un grand parcours d’études et j’ai compris depuis un certain temps….