• À propos
  • Rester Libre !
  • Abonnements
mercredi, février 8, 2023
  • Connexion
  • S'inscrire
Aucun résultat
Voir tous les résultats
NEWSLETTER
Le Courrier des Stratèges
  • Accueil
  • Dossiers téléchargeables
  • Charte de l’information
  • Charte des commentaires
  • Accueil
  • Dossiers téléchargeables
  • Charte de l’information
  • Charte des commentaires
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Le Courrier des Stratèges
Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Charte de l’information
  • Charte des commentaires
PUBLICITÉ
Accueil La confidentielle des stratèges

Le prélèvement à la source ne génère que 5% de baisse d’effectifs

courrier-strategesparcourrier-strateges
4 septembre 2019
dans La confidentielle des stratèges
Temps de lecture : 2 minutes
A A
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
PUBLICITÉ

Gérald Darmanin a rendu public l’impact du prélèvement à la source sur les effectifs de la collecte d’impôts: il atteindra à peine 5%. Ce chiffre dérisoire souligne le malaise de la gestion publique. Alors que l’État se décharge largement de ses missions sur les entreprises et les collectivités, les effectifs ne baissent pas. Il est temps que le pouvoir exécutif renouvelle les managers publics et fasse entrer l’État dans une logique de performance.

Gérald Darmanin a annoncé que Bercy ne supprimerait même pas 6.000 emplois publics après la mise en place du prélèvement à la source, dont la logique essentielle consiste à faire collecter l’impôt par les entreprises.

“Pour les exercices 2020 à 2022, le ministère de l’Action et des Comptes publics connaîtra ainsi une baisse totale de ses effectifs d’environ 5.800 emplois sur les trois années. Au total, sur la durée du quinquennat, le ministère réalisera donc une baisse de 10.000 emplois environ”. (communiqué de presse de Bercy)

Pour mémoire, la DGFIP compte aujourd’hui environ 110.000 agents, auxquels il faut ajouter 10.000 douaniers eux aussi en charge de la collecte de l’impôt.

Autrement dit, les services de Bercy ne réduiront leurs effectifs de collecte que de 5% d’ici à la fin du quinquennat, ce qui paraît extrêmement modique au regard des transferts de charges opérés par les services. La numérisation de l’impôt sur le revenu et la mise en place du prélèvement à la source contribuent en effet à une forte diminution des charges à assumer. Mais, une fois de plus, le gouvernement profond résiste au changement et à la modestie que l’endettement de l’État devrait imposer aux services.

On rappellera que, au 31 juillet 2019, le déficit public est passé à près de 110 milliards € (30 de plus que l’année précédente). Ce mauvais chiffre en dit long sur le chemin que la France devra parcourir pour revenir dans une situation saine. Les taux bas de la BCE, il est vrai, donnent l’illusion (éphémère, on s’en rendra vite compte) que l’endettement n’est plus un problème.

 

Étiquettes : prélèvement à la source
PUBLICITÉ
Article précédent

SNCF: Macron tarde à choisir à choisir le successeur de Pépy

Article suivant

Absentéisme en entreprise: le naufrage de la pénibilité à la française

courrier-strateges

courrier-strateges

Article suivant

Absentéisme en entreprise: le naufrage de la pénibilité à la française

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

PUBLICITÉ

Articles recommandés

Après une défaite en Syrie, une guerre américaine en Iran?

il y a 4 ans

Assurance-chômage : l’Etat encore et toujours dans l’injonction paradoxale « néo-libérale »

il y a 2 ans

Articles populaires

  • Discrètement, les banques centrales préparent l’explosion de l’euro

    Discrètement, les banques centrales préparent l’explosion de l’euro

    0 partages
    Partage 0 Tweeter 0
  • L’Occident en passe de reconnaître sa défaite en Ukraine

    0 partages
    Partage 0 Tweeter 0
  • Cette hyper-inflation qui se prépare pour le mois de mars

    0 partages
    Partage 0 Tweeter 0
  • Béatrice Bourges : « la Manif pour tous était une opposition contrôlée »

    0 partages
    Partage 0 Tweeter 0
  • Brigitte Macron: de « First Lady » à Marie-Antoinette?

    0 partages
    Partage 0 Tweeter 0
PUBLICITÉ
Facebook Twitter Youtube Telegram RSS

Boutique

  • Abonnements
  • Faire un don

Besoin d’aide ?

  • Foire aux questions
  • Nous contacter

Informations

  • À propos
  • Charte de l’information
  • Charte des commentaires

© 2023 Le Courrier des Stratèges

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • À propos
  • Rester Libre !
  • Abonnements
  • Connexion
  • S'inscrire
  • Panier

© 2023 Le Courrier des Stratèges

Bienvenue !

Accédez à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Créer un compte

Remplissez le formulaire ci-dessous pour vous inscrire

Tous les champs sont requis. Se connecter

Mot de passe oublié

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse électronique pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler votre abonnement ?