La résistance judiciaire au reconfinement n’en finit pas de s’organiser. L’avocat montpelliérain Jean-Charles Teissèdre a déposé un référé devant le tribunal administratif de Paris pour forcer l’ANSM à accorder une autorisation temporaire d’utilisation de l’ivermectine, au nom de l’association Victimes coronavirus France. L’audience est fixée à la fin de semaine, elle sera un premier test sur la capacité de l’institution judiciaire à modifier les décisions ubuesques prises par les autorités sanitaires.
La résistance judiciaire au reconfinement continue et passera une première étape importante le 6 novembre, avec une première audience au tribunal administratif de Paris. Elle permettra à l’association Victimes Coronavirus de plaider un référé destiné à pousser l’ANSM à accorder une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) pour l’ivermectine.
L’avocat de l’association nous a accordé une interview expliquant sa démarche. Dans la pratique, il invoque, comme maître Fabrice Di Vizio que nous avons longuement interviewé, l’inégalité de traitement entre Gilead qui a obtenu une ATU pour le Remdesivir, sans efficacité prouvée du médicament, et les autres laboratoires qui se sont tous vus opposer un refus par l’ANSM, alors que les molécules présentées sont certes moins coûteuses que le Remdesivir, mais ont de meilleures chances d’efficacité.
Nous ne manquerons de vous tenir informés de la suite des événements.
Rappelons que notre “position” générale est que, depuis plusieurs mois, le gouvernement déploie une stratégie essentiellement tournée vers la curation avec une seule molécule (le remdesivir) en attendant un vaccin qui enrichirait l’institut Pasteur, en neutralisant d’ici là toute solution alternative.
Ça c’est la première partie. Derrière tout ça il y a le désir de nous embarquer dans une reconstruction du monde dont les saints patrons seraient Gates, Fauci, Schwarz etc..
Le but c’est de remodeler le monde en Green et pour ça tous les moyens sont bons