Aujourd’hui, le rythme de vie effréné, la pression que nous subissons au quotidien dans notre vie professionnelle et parfois des situations personnelles compliquées peuvent être source de fatigue et de stress. Alors s’agit-il du nouveau « mal du siècle » ?
La fatigue est-elle un phénomène nouveau ?
Si vous pensiez que fatigue rime avec efforts physiques, les choses ont pratiquement changé aujourd’hui. La sensation de fatigue est ressentie en permanence, efforts physiques ou pas, dans nos sociétés modernes.
Aujourd’hui, quasiment personne n’échappe aux nouveaux enjeux modernes des nouvelles technologies de l’information et de la communication, des outils de contrôle et du développement des réseaux sociaux.
Aujourd’hui, ce développement fulgurant pousse encore plus la société à valoriser la productivité et condamne le temps. Mais cette course folle contre le temps et la productivité n’est pas sans conséquence. Fatigue, épuisement professionnel, surcharge mentale, burn-out, voilà des termes que nous entendons de plus en plus au quotidien. Mais est-ce réellement un phénomène nouveau ?
La fatigue n’est pas propre au XXIe siècle. Karl Marx expliquait dans Le Capital (1867) que le système capitaliste « vol[ant] le temps qui devrait être employé à respirer l’air libre et à jouir de la lumière du soleil » et exigeant de la part de chacun un effort maximal, n’accordant qu’un repos minimal « sans lequel l’organisme épuisé ne pourrait plus fonctionner ».
Plus tard, en 1878, Friedrich Nietzsche, philosophe, critique culturel et philologue allemand, annonçait aussi déjà :
« Par manque de repos, notre civilisation court à une nouvelle barbarie. En aucun temps les gens actifs, c’est-à-dire les gens sans repos, n’ont été plus estimés. »
Il parlait déjà de la course à la performance et à la productivité et du rejet du repos avec l’évolution des valeurs, chez une société qui ne comprenait plus l’importance de la lenteur, de la contemplation et du repos.
Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ?
Selon une enquête de 2019, près de 1 salarié sur 5 sont en risque d’épuisement, sans parler des effets de la pandémie. Même si la fatigue au travail n’est pas un phénomène nouveau, elle atteint des ampleurs inquiétantes actuellement. Certes, il est difficile de quantifier le degré de pénibilité si l’on devait établir une comparaison historique, mais nous sommes sûrs d’une chose : la fatigue envahit la société sous toutes ses formes, dans nos manières de nous décrire, dans nos discours.
Lorsqu’on parle de fatigue, épuisement professionnel, surcharge mentale, burn-out, dépression, ces notions n’ont pas de connotations négatives comme autrefois dans une certaine mesure. Elles donnent l’image d’une société vulnérable, en recherche constante de revendication de besoins (repos, sommeil, et liberté tout simplement).
Un nouveau « mal du siècle » ?
Selon une étude menée par la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) les syndromes dépressifs ont connu une hausse de 2,5 points en 2020 au cours du confinement dû à la pandémie. 72 % des médecins généralistes ont constaté une augmentation des consultations qui y sont liées.
Qu’il s’agisse de fatigue ou de dépression, plusieurs éléments communs transparaissent, à savoir le manque d’énergie et d’intérêt pour quoi que ce soit, une opinion de soi très négative, des troubles du sommeil, un renfermement sur soi. Toujours selon la DREES, les adultes ne sont pas les seuls concernés. Les enfants de moins de 17 ans le sont également.
La fatigue n’est donc plus uniquement physique, elle tend de plus en plus à être psychologique. Si nous nous réveillons tous les matins avec cette sensation de fatigue permanente, il est vital de se remettre en question. Les personnes qui en souffrent peuvent en effet ressentir un profond sentiment de tristesse qui altère leur humeur et leur font perdre toute confiance et estime de soi. Un traitement médicamenteux peut être appliqué pour résorber la maladie. Un accompagnement psychologique est également recommandé, d’autant plus que la dépression s’accompagne généralement de pensées suicidaires.
L’étroite corrélation entre la fatigue, le stress et la dépression
Le stress fait également partie de ces maux qui touchent fortement et profondément la société. Nous utilisons énormément le terme « stress », englobant ainsi la pression que nous ressentons face à un défi, ou à une situation qui nous est peu habituelle. Elle est provoquée par la combinaison de plusieurs mécanismes. Dans le cadre du stress au travail, le mécanisme qui entre en action est d’ordre physiologique. En temps normal, le stress provoque une réaction en trois phases sur notre organisme :
- La première est celle qui nous met en alerte et accélère notre rythme cardiaque. Elle permet de réagir dans certaines situations (fuir quand il le faut par exemple) ;
- La deuxième est celle de la résistance : elle ne dure que peu de temps ;
- La dernière est la phase d’épuisement.
Tant que nous suivons le processus normal, le stress ne présente pas de danger pour nous. C’est au contraire un outil pour nous motiver. Il devient négatif lorsque nous n’arrivons pas à faire retomber la pression après les différentes phases. Nous nous retrouvons dans une situation de détresse physique et morale qui finit par dégénérer.
Il existe une étroite corrélation entre la fatigue, le stress et la dépression. Laisser l’un ou l’autre perdurer finit toujours par impacter sur notre santé physique et notre santé mentale.
La fatigue peut être intense et se manifester de différentes manières. Elle peut être le signe de la dépression et du stress, mais ce n’est bien évidemment pas une fatalité ! La meilleure des solutions est de savoir se remettre en question au bon moment, et de se faire accompagner à tout moment. Parallèlement, il faudra mettre progressivement en place de bonnes habitudes avec une alimentation équilibrée et saine et un sommeil de qualité notamment afin d’avoir une meilleure qualité de vie finalement.
Moi, c’est macron et sa clique, qui me stresse !!!
Citons également les ondes de toutes sortes que les humains développent pour leur communication et leur arme de guerre. Ces milliards d’ondes qui nous traversent au quotidien épuisent notre système nerveux et entravent notre capacité à nous recharger.
En vérité, dans mon expérience, le mal du siècle serait plutôt: (1) le manque de sommeil; (2) les transports; (3) supporter les collègues. Et rebelote le lendemain. Les travailleurs indépendants s’en tirent beaucoup mieux que les autres (pourvu que les affaires ronronnent bien évidemment).
j’ai travaillé longtemps dans des petites structures où la variété du travail me convenait parfaitement. Depuis un an je suis cadre dans une grande entreprise globale, le travail perd son sens et le stress augmente. Le salaire est nettement plus attractif mais au final la qualité de vie y perd énormément. Sachant que la plupart des travailleurs sont amenés à travailler de plus en plus dans des grandes structures, on ne sait pas vers quoi tout ça va nous mener.
S’il existe effectivement de nombreuses raisons au stress grandissant des populations (occidentales ?), il y en a une, qui agit pernicieusement depuis plusieurs décénies, et que tous les gouvernements du monde nous cachent.
il s’agit des chemtrails (traces ou épandages chimiques) qui sévissent de manière totalement décomplexée depuis la crise sanitaire.
Regardez le ciel, où que vous soyez. Toutes les 5 à 10mn, un avion passe et laisse des trainées plus ou moins importantes. Mais en fait, il déverse des tonnes de produits chimiques toxiques dans le ciel. (cherchez sur les sites non censurés, les projets HAARP. Il en existe des centaines… )
Ces substances (aluminium, barnyum…. se déposent lentement et détruisent doucement tout ce qu’il y a sur terre (flore, faune) et biensur notre santé en provoquant des maladies dégénératives, respiratoires, neurologiques, mais aussi provoquent la dépression, l’anxiété… et tant d’autres choses hélas)
C’est un véritable cri d’alarme car il s’agit d’un vrai génocide qui vient cette fois-çi, des airs.
Et tant que nous laissons faire, nous cautionnons……