Le caractère hallucinatoire du virus est évident. Une modeste épidémie surexploitée médiatiquement sert à happer nos libertés restantes, nos vies et nos ressources. Mais il ne faut pas s’en étonner, dans un monde où le populo passe dix heures par jour le nez dans le smartphone ou le tronc planté devant la télé. L’opération virus est le couronnement de la crasse stupidité des occidentaux et du caractère hallucinatoire de leur civilisation.
Il est évident que nous vivons sous hypnose : abrutissement médiatique/pédagogique, journaux, actus en bandeaux, « tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire ». Mais cette hypnose est ancienne et explique aussi bien l’ère d’un Cromwell que celle d’un Robespierre ou d’un Luther-Calvin. L’occident est malade depuis plus longtemps que la télé… Ô Gutenberg…
Je redécouvre des pages extraordinaires de Guénon en relisant « Orient et Occident ». Il y dénonce le caractère fictif de la notion de civilisation ; puis son caractère hallucinatoire à notre civilisation ; enfin son racisme et son intolérance permanentes (sus aux jaunes ou aux Musulmans, dont les pays – voyez le classement des pays par meurtre sur Wikipédia – sont les moins violents au monde). Problème : cette anti-civilisation dont les conservateurs se repaissent, est la fois destructrice et suicidaire. Exemple : on détruit des dizaines de pays ou des styles de vie pour se faire plus vite remplacer physiquement (puisque métaphysiquement nous sommes déjà zombies)…
Lucidité de René Guénon
Voyons Guénon :
« La vie des mots n’est pas indépendante de la vie des idées. Le mot de civilisation, dont nos ancêtres se passaient fort bien, peut-être parce qu’ils avaient la chose, s’est répandu au XIXe siècle sous l’influence d’idées nouvelles… Ainsi, ces deux idées de « civilisation » et de « progrès », qui sont fort étroitement associées, ne datent l’une et l’autre que de la seconde moitié du XVIIIe siècle, c’est-à-dire de l’époque qui, entre autres choses, vit naître aussi le matérialisme ; et elles furent surtout propagées et popularisées par les rêveurs socialistes du début du XIXe siècle ».
Guénon pense comme le Valéry de Regards que l’histoire est une science truquée servant des agendas :
« L’histoire vraie peut être dangereuse pour certains intérêts politiques ; et on est en droit de se demander si ce n’est pas pour cette raison que certaines méthodes, en ce domaine, sont imposées officiellement à l’exclusion de toutes les autres : consciemment ou non, on écarte a priori tout ce qui permettrait de voir clair en bien des choses, et c’est ainsi que se forme « l’opinion publique ».
Puis il fait le procès de nos grands mots (comme disait Céline : le latin, le latinisant en particulier est conifié par les mots), les mots à majuscule du monde moderne :
« …si l’on veut prendre les mêmes mots dans un sens absolu, ils ne correspondent plus à aucune réalité, et c’est justement alors qu’ils représentent ces idées nouvelles qui n’ont cours que moins de deux siècles, et dans le seul Occident. Certes, « le Progrès » et « la Civilisation », avec des majuscules, cela peut faire un excellent effet dans certaines phrases aussi creuses que déclamatoires, très propres à impressionner la foule pour qui la parole sert moins à exprimer la pensée qu’à suppléer à son absence ; à ce titre, cela joue un rôle des plus importants dans l’arsenal de formules dont les « dirigeants » contemporains se servent pour accomplir la singulière œuvre de suggestion collective sans laquelle la mentalité spécifiquement moderne ne saurait subsister bien longtemps ».
Il a évoqué la suggestion comme Gustave Le Bon. Il va même parler d’hypnose, René Guénon :
« À cet égard, nous ne croyons pas qu’on ait jamais remarqué suffisamment l’analogie, pourtant frappante, que l’action de l’orateur, notamment, présente avec celle de l’hypnotiseur (et celle du dompteur est également du même ordre) ; nous signalons en passant ce sujet d’études à l’attention des psychologues. Sans doute, le pouvoir des mots s’est déjà exercé plus ou moins en d’autres temps que le nôtre ; mais ce dont on n’a pas d’exemple, c’est cette gigantesque hallucination collective par laquelle toute une partie de l’humanité en est arrivée à prendre les plus vaines chimères pour d’incontestables réalités ; et, parmi ces idoles de l’esprit moderne, celles que nous dénonçons présentement sont peut-être les plus pernicieuses de toutes ».
La science sert aussi à nous mettre sous hypnose
La science ne nous sauve en rien, bien au contraire. Autre nom à majuscule, elle sert aussi notre mise en hypnose :
« La civilisation occidentale moderne a, entre autres prétentions, celle d’être éminemment « scientifique » ; il serait bon de préciser un peu comment on entend ce mot, mais c’est ce qu’on ne fait pas d’ordinaire, car il est du nombre de ceux auxquels nos contemporains semblent attacher une sorte de pouvoir mystérieux, indépendamment de leur sens. La « Science », avec une majuscule, comme le « Progrès » et la « Civilisation », comme le « Droit », la « Justice » et la « Liberté », est encore une de ces entités qu’il faut mieux ne pas chercher à définir, et qui risquent de perdre tout leur prestige dès qu’on les examine d’un peu trop près ».
Le mot est une suggestion :
« Toutes les soi-disant « conquêtes » dont le monde moderne est si fier se réduisent ainsi à de grands mots derrière lesquels il n’y a rien ou pas grand-chose : suggestion collective, avons-nous dit, illusion qui, pour être partagée par tant d’individus et pour se maintenir comme elle le fait, ne saurait être spontanée ; peut-être essaierons-nous quelque jour d’éclaircir un peu ce côté de la question ».
Et le vocable reste imprécis, s’il est idolâtré :
« …nous constatons seulement que l’Occident actuel croit aux idées que nous venons de dire, si tant est que l’on puisse appeler cela des idées, de quelque façon que cette croyance lui soit venue. Ce ne sont pas vraiment des idées, car beaucoup de ceux qui prononcent ces mots avec le plus de conviction n’ont dans la pensée rien de bien net qui y corresponde ; au fond, il n’y a là, dans la plupart des cas, que l’expression, on pourrait même dire la personnification, d’aspirations sentimentales plus ou moins vagues. Ce sont de véritables idoles, les divinités d’une sorte de « religion laïque » qui n’est pas nettement définie, sans doute, et qui ne peut pas l’être, mais qui n’en a pas moins une existence très réelle : ce n’est pas de la religion au sens propre du mot, mais c’est ce qui prétend s’y substituer, et qui mériterait mieux d’être appelé « contre-religion ».
Permanente hystérie occidentale
L’hystérie occidentale, européenne ou américaine, est violente et permanente (en ce moment russophobie, Afghanistan, Syrie, Irak, Venezuela, Libye, etc.). Elle repose sur le sentimentalisme ou sur l’humanitarisme :
« De toutes les superstitions prêchées par ceux-là mêmes qui font profession de déclamer à tout propos contre la « superstition », celle de la « science » et de la « raison » est la seule qui ne semble pas, à première vue, reposer sur une base sentimentale ; mais il y a parfois un rationalisme qui n’est que du sentimentalisme déguisé, comme ne le prouve que trop la passion qu’y apportent ses partisans, la haine dont ils témoignent contre tout ce qui contrarie leurs tendances ou dépasse leur compréhension ».
Le mot haine est important ici, qui reflète cette instabilité ontologique, et qui au nom de l’humanisme justifie toutes les sanctions et toutes les violences guerrières. Guénon ajoute sur l’islamophobie :
« …ceux qui sont incapables de distinguer entre les différent domaines croiraient faussement à une concurrence sur le terrain religieux ; et il y a certainement, dans la masse occidentale (où nous comprenons la plupart des pseudo-intellectuels), beaucoup plus de haine à l’égard de tout ce qui est islamique qu’en ce qui concerne le reste de l’Orient ».
Et déjà sur la haine antichinoise :
« Ceux mêmes d’entre les Orientaux qui passent pour être le plus fermés à tout ce qui est étranger, les Chinois, par exemple, verraient sans répugnance des Européens venir individuellement s’établir chez eux pour y faire du commerce, s’ils ne savaient trop bien, pour en avoir fait la triste expérience, à quoi ils s’exposent en les laissant faire, et quels empiétements sont bientôt la conséquence de ce qui, au début, semblait le plus inoffensif. Les Chinois sont le peuple le plus profondément pacifique qui existe… »
Sur le péril jaune alors mis à la mode par Guillaume II :
« …rien ne saurait être plus ridicule que la chimérique terreur du « péril jaune », inventé jadis par Guillaume II, qui le symbolisa même dans un de ces tableaux à prétentions mystiques qu’il se plaisait à peindre pour occuper ses loisirs ; il faut toute l’ignorance de la plupart des Occidentaux, et leur incapacité à concevoir combien les autres hommes sont différents d’eux, pour en arriver à s’imaginer le peuple chinois se levant en armes pour marcher à la conquête de l’Europe… »
Guénon annonce même dans la deuxième partie de son livre le « grand remplacement » de la population occidentale ignoré par les hypnotisés et plastronné par les terrorisés :
« …les peuples européens, sans doute parce qu’ils sont formés d’éléments hétérogènes et ne constituent pas une race à proprement parler, sont ceux dont les caractères ethniques sont les moins stables et disparaissent le plus rapidement en se mêlant à d’autres races ; partout où il se produit de tels mélanges, c’est toujours l’Occidental qui est absorbé, bien loin de pouvoir absorber les autres ».
Concluons : notre bel et increvable occident est toujours aussi belliqueux, destructeur et autoritaire ; mais il est en même temps humanitaire, pleurnichard, écolo, mal dans sa peau, torturé, suicidaire, niant histoire, racines, polarité sexuelle… De ce point de vue on est bien dans une répugnante continuité de puissance hallucinée fonctionnant sous hypnose (relisez dans ce sens « La Galaxie Gutenberg » qui explique comment l’imprimerie nous aura altérés), et Guénon l’aura rappelé avec une sévère maîtrise…
Sources :
René Guénon, « Orient et occident », classiques.uqac.ca, pp.20-35
Paul Valéry : « Regards sur le monde actuel ». Valéry : « L’Histoire est le produit le plus dangereux que la chimie de l’intellect ait élaboré. Ses propriétés sont bien connues. Il fait rêver, il enivre les peuples, leur engendre de faux souvenirs, exagère leurs réflexes, entretient leurs vieilles plaies, les tourmente dans leur repos, les conduit au délire des grandeurs ou à celui de la persécution, et rend les nations amères, superbes, insupportables et vaines… L’Histoire justifie ce que l’on veut. Elle n’enseigne rigoureusement rien, car elle contient tout, et donne des exemples de tout ».
Nicolas Bonnal : « Si quelques résistants…Coronavirus et servitude volontaire » (Amazon.fr)
C’est bien connu, l’Occident est responsable de tous les maux de la terre. Pauvre Nicolas Bonnal qui nous fait une belle leçon de nihilisme anti-occidental. Les musulmans sont des anges, les communistes chinois sont merveilleux et j’en passe. Evidemment nous avons aussi nos défauts et nos dirigeants sont des crapules qui peuvent êtres dangereux pour notre propre civilisation et nos libertés. Mais cela ne doit pas être une excuse pour nous laisser écraser par tout ennemi extérieur qui est très souvent aussi un ennemi de la liberté, n’en déplaise à ce pauvre M. Bonnal qui croit vivre dans le monde des bisounours. C’est bien le discours d’un libertarien qui fait l’apologie du pacifisme qui n’a jamais existé dans l’histoire de l’humanité. Pour ma part je préfère le libéralisme classique qui est un peu plus réaliste.
Tout à fait d’accord avec le propos de Jean Louis D.
A Jean-Louis,
Manichéen
Bonjour, j’ai pas bien compris le lien avec Cromwell, Robespierre, Luther et Calvin avec le sujet.
Pouvez vous m’expliquer s’il vous plaît ? Merci.
Bonne continuation.
La France n’est plus libre avec des prélèvements tout confondus à plus 62 % de la valeur travail produite par chaque Français.
Cette situation, ce modèle macroniste arrange bien dans l’immédiat les quelques milliardaires français ou oligarques Où est le libéralisme classique ? la réalité soyez un peu plus réaliste tout est son contraire de tout pour tout déconstruire ce que les générations précédentes ont construit…reference charles Gave ou Laurent Izard la France à la découpe… et bien d’autres
La fessée va être tres douloureuse pour les Français et les européens avec une production de violence sans précédent C’est le modèle mondialiste dénoncé par Rand Paul senateur américain
Intéressant de citer René Guénon – auteur incontournable pour comprendre notre époque – mais
incompréhensible si l’on n’a pas lu “La Crise du monde moderne” ou “Le Règne de la Quantité”.
Guénon ne critique pas l’Occident, mais le monde moderne occidental, qui a commencé au XVIe siècle. Il est plein d’éloges pour le Moyen Age chrétien occidental, civilisation authentiquement traditionnelle.
Nous sommes peu de choses. Je remercie Nicolas Bonnal de cet éclairage saisissant sur les techniques de propagande progressiste, éventées depuis un siècle au moins par de grandes plumes mordantes comme Monsieur Bonnal lui même. C’est tout à fait bienvenu et jubilatoire en ce début de 21e siècle si déclamatoire. Restons simples. Et prudents.
Je rapproche ce propos du dernier Grand Entretien 2e partie, de Pierre Yves Rougeyron sur Vimeo. Lien en description de la 1e partie sur youTube. ???????? https://youtu.be/Egm-aptI5GY
Mais qui sont les vivants ?
Qui seront les survivants ?
Historiquement, la razzia comprend l’incendie des bibliothèques !
Les bibliomanes qui repaissent de pages pour chercher un sens qu’ils ne trouveront jamais dans leur névrose nombriliste – car je suis le seul, le dernier des Mohicans à comprendre et je mourrai emmuré comme les recluses dans l’enclos de mes livres. Tel le maladif Alain Finkielkraut – ici des phénomènes non moins inquiétants – qui devient fou à force d’essayer de secouer en vain l’apathie de ses contemporains… Ou le contemplatif amoureux de la nature qui préfèrera le papier à son état originel et sait lire dans les feuilles, les arbres, les oiseaux et les nuages ?
A choisir, je préfère être un vivant de deuxième catégorie, primitif certes, mais bien vivant bien qu’exterminé par la modernité, quand le premier se pensera unique mais finira silicosé par la microscopique poussière archiviste.
Qui pourrait raisonnablement m’affirmer que le bibliomane est plus intelligent que le chasseur cueilleur ?
Ce dernier perpétue son biotope quand le premier se tue car il a oublié que sous le macadam il y a de la terre. Et puis la terre le salit… Aller dans une ferme ? Les aliments proviennent des fermes ? Pouah, quelle horreur, « bignous, bourrées, etc. » ! Mais qui est sale in fine ? Le philosophe aux chemises amidonnées ou l’agriculteur aux bottes pleines de merde ?
La rupture est bien réelle et le ravin s’élargit comme jamais en notre époque entre le rat des villes et le rat des champs. Le rat des villes finira en tablettes de nourriture nous affirme Richard Fleischer, il y en aurait 6 millions à Paris (des vrais) ! Paris valait bien une messe, ce n’est plus le cas. Les maglopoles croulent sous la pollution de leur bêtise issue des Lumières – de l’électricité qui n’éclaire plus la conscience des hommes. La ville, ses illusions, ses tragédies, ses lampes aveuglantes qui empêchent regarder les étoiles, ses vanités, sont un mouroir. Les campagnes n’ont jamais été des cibles d’ogives nucléaires… On n’atomise pas une vache ou des poules, un champ de blé, ils te nourrissent. Poutine protège son grenier à blé en guerroyant les USA en Ukraine, pas fou celui qui sait que les mégalopoles ne nourrissent personne : « Pas touche les Ricains à mon congelo, z’avez le Middle West pour vos McDos ! » C’est dit.
De quoi se nourrissent les bibliomanes citadins en temps de guerre ? La bibliomanie est un trouble obsessionnel compulsif qui consiste à accumuler des livres jusqu’à en altérer ses relations sociales et sa santé, une passion qui se transforme en addiction. Supprimons les liens avec la campagne, qu’ils crèvent ces bouseux ! Qu’est-ce qu’on mange ce midi aux Deux Magots ? Mais Monsieur, vous venez de signer le décret du Mur des Fermiers Généraux !
Par pitié, non, pas Finki ???? ???? tout mais pas lui.
« …les peuples européens, sans doute parce qu’ils sont formés d’éléments hétérogènes et ne constituent pas une race à proprement parler, sont ceux dont les caractères ethniques sont les moins stables et disparaissent le plus rapidement en se mêlant à d’autres races ; partout où il se produit de tels mélanges, c’est toujours l’Occidental qui est absorbé, bien loin de pouvoir absorber les autres ». ”
Mr Bonnal croit voir le Grand Remplacement dans cette citation de René Guénon alors qu’elle n’exprime, certes à la manière de l’époque, une chose assez enfantine à observer : le caractère récessif des gènes des Européens avec ceux des Asiatiques et des Africains.
Explication :
Lorsqu’on fait des bébés, pourquoi les gènes chinois et africains sont-ils plus forts que les gènes blancs (c’est-à-dire que le bébé a l’air plus chinois ou africain que blanc) ?
Parce que les “gènes blancs” n’existent pas dans ce contexte. Un grand nombre des traits physiques principalement associés aux Caucasiens sont (du point de vue de l’évolution) des mutations récentes portées par des gènes récessifs.
Par exemple, il n’existe pas de gène dominant pour des yeux “plus bleus” ou des cheveux “plus blonds”. Vous obtenez des yeux bleus en n’ayant pas de mélanine dans votre stroma. C’est la même chose pour la couleur de la peau – la peau blanche/blanche est définie par le fait de ne pas avoir (autant) de mélanine, et non par le fait d’avoir un gène de “couleur blanche”.
Un exemple est le phénotype de l’humoriste Dieudonné né d’un père noir et d’une mère Bretonne.
Quand au virus, j’invite Mr Bonnal à lire la très abondante littérature sur la fausseté de la théorie microbienne de la maladie, comme par exemple le livre collectif Virus Mania.
Extrait d’Aajonus Vonderplanitz :
” Notre corps est composé de 90 à 99 % de bactéries.1 Il y a 100 fois plus d’ADN bactérien dans notre corps que d’ADN humain. Par conséquent, nous sommes en fait 99 % bactériens et 1 % humains. On enseigne à tous les microbiologistes, et on les programme pendant leurs études universitaires, à croire que certaines bactéries sont malveillantes et dangereuses. Ils ne voient pas que les cellules qui sont mangées par certaines bactéries sont déjà mourantes ou mortes. Les professeurs montrent du doigt ces bactéries et disent : “elles mangent des cellules ; voilà votre preuve que certaines bactéries sont nuisibles.” On enseigne à tout le monde cette biochimie incorrecte qui est un mythe. On ne donne pas aux étudiants la possibilité de les étudier avec un esprit ouvert. S’ils le faisaient, ils finiraient par découvrir que ces soi-disant mauvaises bactéries ne sont que des nettoyeuses, consommant des cellules gravement endommagées, mourantes ou mortes.
Les corporations qui contrôlent les médias et le gouvernement nous lavent constamment le cerveau avec des discours affirmant que les microbes causent des maladies. Les corporations fabriquent des produits chimiques dangereux pour nous et notre environnement mais nous disent que leur nouveau produit ou leur produit amélioré nous sauvera en quelque sorte de la maladie parce qu’il détruit des créatures microscopiques. Puisque notre corps est composé à 90-99% de bactéries, cela a autant de sens que 900+47=1.
Les personnes qui vivent davantage dans la nature et dans des fermes n’acceptent pas facilement une telle propagande, car elles voient des animaux en bonne santé lécher et manger les matières fécales de leurs congénères et prospérer. Les ouvriers agricoles voient-ils jamais les animaux se laver les sabots et le visage avant de manger ? Ont-ils jamais vu des animaux nettoyer leurs auges avant de manger ? Voient-ils des animaux en pleine santé au milieu d’une soi-disant contamination microbienne ? (…)
Les produits chimiques agricoles industriels, les additifs alimentaires et les procédés de transformation provoquent des empoisonnements alimentaires, point final. Les services de santé ont pour mission de protéger les gens de la contamination. Cependant, ils ont les mains liées par les grandes pharmacies, les grandes entreprises alimentaires et les grandes industries qui sont les véritables responsables de la création de maladies. Alors, qui les personnes à qui l’on confie notre santé peuvent-elles blâmer pour les maladies ? Ils blâment la Nature et les grandes erreurs de la Création, les microbes ! Ils veulent nous faire croire que, bien que l’homme ait vécu au moins 4 millions d’années parmi les microbes et qu’il soit composé à 90-99 % de microbes, ce sont les microbes qui nous donnent des maladies et nous tuent. “
Je ne suis pas un spécialiste mais il me semble que la folie antibiotique l’élevage a fait autant de dégâts que la folie vaxxinale chez l’humain ces 2 dernières années. Les 2 sont d’origine américaine. Comme le poulet lavé à l’eau de javel ou les pommes qui brillent comme des miroirs.
Bonne analyse sur le « monde occidental », (dont la finitude est contenue dans l’adjectif) et pas que…
Puisque N. Bonnal nous parle ici des mots il me semble dommage qu’il n’ai pas ne serait ce qu’évoqué ce qu’on appel parfois la “dimension performative du langage” = “quand dire c’ est faire”; exemple “je vous déclare unis par les liens du mariage) pour reprendre la vieille antienne d’Austin qui a quand aussi côtoyé N. Chomsky). Parce, justement à propos des mots, une des dimensions de la situation actuelle de ce que l’on nomme Occident me semble être la perte de cette dimension du langage d’où, notamment, la communication ou la propagande qui font de plus en plus office d’information et cette difficulté de plus en plus grande à sortit de cette « l’illusion descriptiviste » du langage et de ses mots qu’aiment tant aussi bien les locuteurs “bavards” que les auditeurs “bavards”.
Bonjour Genkis Khan, un asiatique sous influence du bouddhisme, et Tamerlan, musulman, sont 2 exemples du pacifisme de ces religions. Et la lecture du coran, et de la prétendue vie de Mahomet, en est l’archétype.
Les blancs ou les sud américains n’ont rien de plus à se reprocher que les autres sociétés.
Partout les humains sont identiques, et les sociétés qu’ils fabriquent aussi, à part une fine couche superficielle qui n’est qu’un habit, et qui n’a aucune influence.
Un peu de sérieux. René Guénon est prisonnier dans une gnose anti-chrétienne. Il est pro-islam. C’est un gars paumé. M. Bonnal, en citant Guénon, nous montre ses limites dans le discernement, il est hypnotisé.