Le vaccin contre le Covid-19 de Novavax, baptisé Nuvaxovid, a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) des régulateurs européen et taïwanais. En Europe, l’EMA a opté pour l’extension d’indication de ce produit chez les adolescents de 12 à 17 ans. Notons qu’il est déjà accessible aux personnes âgées de 18 ans et plus. A Taïwan, l’EUA pour le Nuvaxovid concerne uniquement les adultes.
Si le vaccin Nuvaxovid est autorisé dans l’Union européenne chez les adultes (âgés de 18 ans et plus) depuis le 20 décembre 2021. Face à l’essor des sous-variants BA.4 et BA.5 , les campagnes de rappel de vaccin contre le Covid-19 devraient reprendre en automne. Les médias subventionnés commencent peu à peu à lever une nouvelle peur : la résurgence du virus à l’automne. Le recours à la vaccination massive est de nouveau lancé. Il ne concerne plus les adultes, mais on s’apprête à vacciner aussi bien nos adolescents et nos enfants, sans savoir réellement les bénéfices collectifs qu’on en retirera. Pour rappel, Novavax est une entreprise américaine qui a reçu des financements de la fondation Gates sur plusieurs projets incluant le Sars-cov 2 et elle est financée par la fondation internationale Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) qui a aussi financé les vaccins COVID de Moderna et d’AstraZeneca.
Une nouvelle option de vaccin pour les ados en Europe
Pour rappel, le 20 décembre 2021, suite au feu vert de l’EMA, le vaccin Nuvaxovid pour les personnes âgées de 18 ans et plus avait reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle dans l’Union européenne.
Dans un communiqué du 23 juin 2022, l’EMA a annoncé l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du Nuvaxovid de la firme américaine Novavax. En effet, le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA (Agence des médicaments européenne) a recommandé l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 développé par Novavax chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans.
Cette décision a été prise après une étude réalisée sur 2200 enfants âgés de 12 à 17 ans conformément au plan d’investigation pédiatrique (PIP) et avec l’approbation du comité pédiatrique de l’EMA (PDCO). Selon les données recueillies, le vaccin Novaxovid déclenche une forte réponse immunitaire chez les adolescents avec un taux d’efficacité d’environ 80%. Il est à noter que les essais cliniques ont été réalisés au moment où le virus Delta était le variant dominant.
En ce qui concerne les effets secondaires, ils sont similaires à ceux observés chez les adultes. On cite entre autres la rougeur et le gonflement au niveau du point d’injection, les douleurs musculaires et articulaires, les nausées, la fièvre, la fatigue et les maux de tête.
Le CHMP a considéré que les bénéfices de Nuvaxovid chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans l’emportent sur ses risques.
Autorisation de la FDA de Taiwan pour son utilisation chez les adultes
Si le vaccin de Novavax est déjà approuvé en Australie, en Inde, en Europe et dans plusieurs pays. A Taïwan, la même date, le Food and Drug Administration de Taiwan a donné une autorisation d’utilisation d’urgence du Novaxovid chez les adultes âgés de 18 ans et plus.
La décision a été prise en fonction des données issues des deux essais cliniques de phase III réalisés auprès de 30.000 sujets adultes aux États-Unis et au Mexique ainsi qu’une étude menée auprès de 15.000 adultes au Royaume-Uni. Elles ont mis en évidence la sûreté du vaccin. Les effets indésirables sévères ou graves seraient rares.
Notons qu’un accord de fourniture du vaccin a été établi entre Novavax et Taïwan. Ce sera donc la première livraison de Nuvaxovid à un pays participant au COVAX. Selon Stanley Erck, PDG de Novavax, cette autorisation par le régulateur taïwanais met en avant « les efforts continus au niveau mondial pour assurer l’accès à des options vaccinales diversifiées ».
Mode d’usage du vaccin Novavax
Indiqué en primo-vaccination, le Nuvaxovid est recommandé à ceux qui ne souhaitent pas recevoir un vaccin ARNmessager. Ce vaccin est à base de protéines recombinantes et il a été élaboré à partir de la souche initiale du SRAS-CoV-2. Le vaccin est composé par une version de la protéine Spike du coronavirus et un adjuvant Matrix-M à base de saponine de Novavax.
Le système immunitaire des personnes vaccinées sera donc capable d’identifier le virus responsable du Covid-19. Il pourra alors enclencher un mécanisme de défense naturelle assuré par les anticorps neutralisants et les cellules T.
Le Nuvaxovid offrirait une protection efficace contre le Covid-19. Il faut souligner que c’est un vaccin à deux doses administrées à trois semaines d’intervalle. Le produit est à injecter dans le muscle de la partie supérieure du bras. Selon l’EMA, le vaccin fera encore l’objet d’une surveillance rigoureuse afin d’assurer sa sécurité et son efficacité.
Nous l’avons évoqué dans nos colonnes, il faut jouer la prudence. Si le Matrix-M n’a pas de conséquences sur la santé à moyen et long terme, avec ce vaccin, la protéine Spike n’est pas synthétisée par les cellules, elle est directement inoculée avec le sérum et nous savons qu’elle est toxique.
Malgré ces nombreuses autorisations, on s’aperçoit que les autorités de santé sont incapables de justifier cette obsession vaccinale de grande ampleur alors que la protection donnée par le vaccin est moindre que prévu.
On sait que la vaccination ne protège pas du virus et reste impuissante face aux nouveaux variants. On peut être infecté et infecter les autres même en étant vacciné. Statistiquement, les chiffres de l’INSEE montrent même que la campagne de vaccination s’est accompagnée d’une hausse de la mortalité.
Avec le Nuvaxovid, le patient reçoit une dose de protéines Spike, qui vont se concentrer dans les zones habituelles, et notamment les organes génitaux, et qui vont susciter une réaction immunitaire. La seule différence avec les vaccins à ARN messager et à adénovirus est que ces derniers forcent l’organisme à produire de la protéine Spike, sans aucun contrôle ni sur la durée ni sur la quantité alors que pour le Nuvaxovid la quantité est limitée et connue. Il n’empêche que Spike aura eu le loisir d’effectuer son lot habituel de dégâts dans l’organisme.
En revanche du côté de Valneva, qui propose un vaccin à virus atténué, toujours pas d’autorisation en vue, et les deux gros clients, UE et Royaume uni, viennent d’annuler leurs commandes, mettant en péril la société… Ce serait intéressant d’avoir l’avis d’un scientifiques (par exemple Laurent Aventin) sur les déboires de Valneva.
Pour ma part j’ai bien l’impression que le principal défaut du vaccin de Valneva est qu’il ne cause pas suffisamment de dommages à long terme dans l’organisme !
Et pendant ce remps-là, le laboratoire VALNEVA ne parvient pas à obtenir la moindre autorisation alors que son vaccin est plus efficace et moins dangereux. Où vont donc se nicher les intérêts (…) de certains hauts-fonctionnaires et de ministres voire, du Président de la République ? Mais en fait, quels sont-ils ? Ils doivent-être vachement plus intéressants à l’étranger qu’en France !
Est-ce l’hypothèse d’une réponse ne serait pas qu’il est plus facile de verser des pots de vin dans des paradis fiscaux depuis l’étranger que depuis la France ?