La Banque mondiale crée un nouveau fonds pour la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPR). La Banque mondiale finance la prochaine pandémie. Le fonds d’intermédiation financière ou financial intermediary fund dit FIF, a obtenu l’approbation du Conseil des administrateurs de la Banque mondiale. Le FIF sera lancé cet automne et l’accent sera mis sur les pays à faible revenu et intermédiaire. Notons que la gestion du fonds sera assurée par la Banque mondiale et l’OMS (Organisation mondiale de la santé). "Plus d'un milliard de dollars d'engagements financiers ont déjà été annoncés" a annoncé la Banque mondiale.

Selon les données officielles, la pandémie du Covid-19 aurait fait près de 6.34 millions de décès dans le monde. Mais selon les experts de l’OMS, le nombre de décès réel serait encore plus élevé, selon elle, il y aurait 14.9 millions de décès non comptés entre 2020 et 2021. Alors que de nombreux pays espèrent un retour à la vie normale et que leurs dirigeants commencent à lever les mesures sanitaires mises en place pour maitriser la pandémie. Pour l’OMS et Bill Gates, l’émergence d’un virus encore plus virulent est à craindre. L’OMS prévoit le scénario du pire, dans son livre intitulé « How To Prevent The Next Pandemic », M. Gates craint un variant encore plus virulent, contagieux et mortel. En effet, Bill Gates a réitéré que la fabrication de sérum bloquant le virus avec une meilleure durabilité était urgente. Même refrain pour son homme de paille, M. Tedros, pour qui seule la vaccination équitable permettrait de maîtriser la pandémie, mais aussi prévenir les menaces futures. Comme nous l’avons évoqué dans nos lignes, fin 2021, l’OMS s’était réunie en session spéciale pour travailler sur la question d’un traité sur les pandémies, comme si l’OMS avait autorité sur les pouvoirs nationaux de santé publique. La peur, ce ne sont pas les scientifiques qui l’entretiennent mais bien des personnalités comme Bill Gates, ainsi que les gens qu’ils financent, en y incluant les médias qui alimentent la peur.
Naissance du FIF
La pandémie du Covid-19 a laissé des séquelles importantes sur le plan social et économique, sans oublier le coût humain. Pour la Banque mondiale et l’OMS, le renforcement de la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPR) devient une urgence. Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé jeudi 30 juin la création d’un nouveau fonds de financement nommé FIF ou Fonds d’intermédiation financière.
Ce fonds servira à financer les actions réalisées dans le cadre du PPR. Elles incluent notamment le renforcement des systèmes de santé, de la surveillance de la maladie, des capacités du personnel de santé, des systèmes de laboratoire.
Le FIF permettra l’optimisation de la réponse aux urgences sanitaires d’après le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. Ces actions seront à mettre en œuvre en cas de pandémie nationale, régionale ou mondiale. Le FIF fournira « un financement supplémentaire à long terme pour compléter le travail des institutions existantes en aidant les pays et les régions à revenu faible et intermédiaire à se préparer à la prochaine pandémie », selon le Chef de l’OMS.
Notons que la Banque mondiale et l’OMS vont collaborer étroitement pour atteindre cet objectif ambitieux de créer le FIF. L’OMS apportera son expertise technique. Leur objectif sera de combler les lacunes constatées lors de la gestion de la pandémie du Covid-19 au cours de ces deux dernières années.
L’approvisionnement du FIF
La Banque mondiale sera le principal bailleur du FIF. Notons qu’elle a fourni la majorité des financements pour la PPR et a permis la réalisation de plusieurs opérations de lutte contre la pandémie dans plus de 100 pays en développement. Des aides supplémentaires et à long terme leur seront accessibles dans le cadre de la préparation de la prochaine pandémie.
Sous l’impulsion des Etats-Unis, de l’Indonésie et de l’Italie qui ont assuré la présidence du G20, des engagements financiers d’un montant d’un milliard de dollars pour approvisionner le FIF ont déjà été annoncés. Ils incluent la participation des Etats-Unis, de l’Indonésie, du Royaume-Uni, de l’Union européenne, de Singapour, du Wellcome Trust et de la Fondation Gates.
Pour rappel, la Fondation Bill et Melinda Gates aurait déjà investi plus de 1.75 milliard de dollars dans l’achat de vaccin contre le Covid. Comme l’OMS qui prévoit le scénario du pire face à l’émergence d’un virus plus virulent et plus transmissible, ce vaccinôlatre table sur l’arrivée d’un nouveau variant du Covid-19 « encore plus contagieux et encore plus mortel ».
Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass a déclaré être heureux du soutien fourni par les actionnaires pour la mise en place de ce nouveau fonds de financement pour optimiser les capacités du PPR. Mais l’OMS aura également un rôle majeur à jouer. L’agence de santé des Nations-Unies va prendre en charge la direction technique des travaux.
Dans un futur proche, la Banque mondiale et l’OMS vont collaborer avec des donateurs et bien d’autres partenaires comme des banques multilatérales de développement et d’autres agences des Nations-Unies pour réussir la mise en place du FIF. Les contributions à fournir par les parties prenantes seront au centre des discussions. Le FIF sera lancé dès l’automne 2022.
Autre défi de Tedros d’ici la fin 2022, il a demandé aux dirigeants mondiaux de contribuer à l’atteinte de l’objectif de l’OMS qui vise à vacciner 70% de la population de chaque pays du monde.
L’OMS dénonce l’injustice de l’accès à la vaccination contre Covid dans les pays d’Afrique – où l’épidémie n’a quasiment jamais d’ailleurs décollée avant la vaccination.
Putain de complotisses, pas moyen de leur échapper. Leurs sales gueules d’escrocs me dégoûtent.
Les fonctions supports des actions de l’ONU deviennent des organismes et technostructures de pouvoir qui ambitionnent de dicter une conduite unique au monde entier, au nom des dieux de la technologies et des dieux de la finance internationale. L’assemblée de l’ONU n’a d’autre choix que suivre ou faire sécession.
Cette évolution sociétale est déjà décrite dans le livre d’Osée inclus dans la bible datant de plus de 3000 ans:
“Israël était une vigne luxuriante, qui portait beaucoup de fruit.
Mais plus ses fruits se multipliaient, plus Israël multipliait les autels ;
plus sa terre devenait belle, plus il embellissait les stèles des faux dieux.”
Auquel le sage d’age en age répond :
L’homme indien ne trouve pas sa joie dans l’argent, dans le pouvoir ou dans d’autres biens matériels, mais dans des dons qu’il reçoit chaque jour de la vie, la création, ses frères et ses sœurs, etc. Ce sont les dons providentiels de la vie.
L’un se dit « je ne vais pas avoir l’air trop conquérant et sourire parce que je lui ai mis une belle carotte » et l’autre se dit « je souris mais je sais que je me suis fait avoir »… Belle photo, on voit qu’ils sont heureux et respire la generosite…
Quelques remarques: les chiffres de l’OMS sont totalement farfelus mais il faut continuer à faire croire que c’était une pandémie de folie.
S’il y a eu des séquelles importantes sur le plan économique et humain, c’est tout simplement à cause des mesures débiles et nuisibles prises par un certain nombre de gouvernements. Mesures totalement inefficaces et qui ont fait plus de dégâts que le virus lui-même. Donc à cause de ces séquelles qu’on pend comme excuse, on crée un machin qui va nous coûter la peau du cul!!
Après le pacte finance-climat (dans cet ordre…), le pacte finance-pandémie.
Ils utilisent une petite partie de ce qu’ils soustraient aux populations pour lutter contre elles.