La nouvelle épidémie de variole du singe apparue en mai 2022 en Europe en dehors de sa zone endémique habituelle (Afrique de l’Ouest et bassin du Congo) a surpris tous les spécialistes. L’explication de ce départ épidémique reste mystérieuse et controversée, les caractéristiques épidémiologiques et le tableau clinique sont inhabituels. Enfin, le virus est très mutagène contre 1 à 2 mutations par an habituellement pour le virus de la variole du singe. Gain de fonction, chimère de laboratoire comme pour le Sars-Cov 2 ? C’est ce que nous proposons d’investiguer dans un nouveau rapport mis en ligne ce jour sur le site du Courrier des Stratèges.
Ce nouveau rapport – à travers la récente apparition de la variole du singe – permet de questionner le rôle de l’ingénierie biologique en raison des premières caractéristiques épidémiologiques et du tableau clinique de cette nouvelle épidémie que l’OMS aurait par ailleurs déjà du caractériser de pandémie mondiale. Présente dans plus de 100 pays à cette date, elle affecte plus de 50 000 personnes dans le monde.
Le rapport révèle que l’industrie du vaccin a utilisé des plateformes à base variolique (variole animale) pour la production de vaccins contre Covid, c’est le cas pour les vaccins à adénovirus d’AstraZeneca et de Johnson et Johnson (Janssen). Ces injections expérimentales provoquent des effets indésirables inattendus, nous n’avons pas fini de les identifier et les explorer. Les injections peuvent-elles être à la source de l’apparition de nouvelles épidémies comme la variole du singe ? C’est ce que nous investiguons avec des arguments objectivement vérifiables mais également des hypothèses de travail qui pourront être confirmées ou infirmées dans les mois à venir.
L’industrie pharmaceutique est également impliquée dans le développement de pathogènes de synthèse dans le cadre de recherches présentées à l’opinion publique comme pacifiques. Ces recherches questionnent et l’explosion de nouvelles épidémies n’a rien de naturel et rien de hasardeux non plus.
La variole du singe est une maladie à vaccins… qui devrait profiter à l’industrie pharmaceutique qui continue de “se gaver” avec la vente des injections contre Covid programmées à l’automne. Si le dernier trimestre 2022 s’annonce difficile pour les citoyens, il devrait être très profitable pour d’autres.
… “que l’OMS aurait par ailleurs déjà du caractériser de pandémie mondiale.”
selon sa manière opportune de définir une pandémie en pleine épidémie de H1N1, avec anticipation de la date pour faire bonne mesure.
En caricaturant, on pourrait dire que la logique est inversée; ce n’est plus: une maladie est là, cherchons un vaccin, mais: nous avons un vaccin, faisons la promotion de la maladie!
L’auteur se dit médecin, mais il ne sait pas faire la différence entre un adénovirus et un virus de la variole… Toutes proportions gardées, c’est comme confondre une gazelle et un éléphant. JAMAIS un vaccin COVID ne provoquera la variole. Inventez tous les effets secondaire que vous voudrez, mais celui-là c’est juste pas possible.