A compter du 1er novembre, les employés d’American Express Co ne seront plus soumis à l’exigence de vaccin Covid-19. Selon une note interne, cette nouvelle mesure concerne les bureaux aux États-Unis, au Canada, en Australie, et de la Nouvelle-Zélande.
American Express ne demandera plus à ce que ses employés soient vaccinés pour accéder à ses bureaux. « Le temps est venu pour nous de changer notre propre politique », a écrit le PDG d’American Express Steve Squeri dans une note envoyée aux employés. Depuis l’annonce de Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS, le 14 septembre dernier à Genève que la fin de la pandémie est « en vue », les États-Unis semblent commencer à choisir peu à peu la voie de la raison. Dans l’émission 60 minutes sur CBS du 18 septembre, le président Joe Biden a déclaré que la pandémie du Covid-19 est désormais « terminée » aux États-Unis. A cet effet, les CDC assouplissent de plus en plus les directives relatives aux restrictions Covid-19. Comme dans nombreux pays, la situation sanitaire s’est nettement améliorée aux États-Unis.
Vers un assouplissement ou une suppression des protocoles
American Express, a décidé de supprimer certaines restrictions de lutte contre le Covid, à savoir les exigences relatives au vaccin COVID-19 dans ses bureaux. La société de cartes de crédit basée à New York a été l’une des rares entreprises financières à opter pour le travail à distance à la suite de la pandémie.
American Express a mis au point le modèle de travail, Amex Flex, où les employés peuvent travailler au bureau, à domicile ou adopter une approche hybride qui combine les deux. A noter que 40% de ses employés ont opté pour le télétravail.
Dernièrement dans une note interne, le PDG d’American Express Steve Squeri a annoncé la suppression des exigences relatives au vaccin Covid-19. Ainsi, les employés des bureaux d’AmEx aux États-Unis, en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande ne seront plus obligés de se faire vacciner ou de faire des rappels pour pouvoir aller au bureau. Cette nouvelle mesure entrera en vigueur le 1er novembre prochain.
Vers un retour à la normale
Avec le recul de la pandémie, les entreprises commencent à révéler leur désir de revenir à la normale. Avant AmEx, Goldman Sachs Group a aussi annoncé la fin des exigences en matière de vaccins contre le Covid-19 pour ses bureaux aux États-Unis. Il y a un an, comme le géant du café Starbucks, Goldman Sachs Group exigeait que ses employés américains soient entièrement vaccinés contre le COVID-19 ou subissaient des tests hebdomadaires, pour pouvoir accéder au bureau.
Notons que l’American Express continue à prendre quelques mesures en vue d’éviter la propagation du virus.
Dans le mémo, l’entreprise encourage toujours ses employés américains à se faire vacciner. M. Squeri a déclaré que la vaccination et la mise à jour des rappels constituent la « meilleure défense contre les maladies graves ». La société offrait même des jours de congé payés supplémentaires aux employés qui se font vacciner.
Steve Squeri a également annoncé que les employés qui présentent un test de dépistage positif au Covid seront tenus de déposer un formulaire de santé et de rester confinés chez eux. Néanmoins, une autorisation émanant du bureau médical d’AmEx est nécessaire pour pouvoir retourner au bureau.
Alors que les Américains commencent à arriver au bout de “l’état d’urgence” sanitaire, à l’inverse, en Europe, les pouvoirs publics continuent d’agiter le spectre d’une nouvelle vague à l’approche de l’hiver.
Le mythe de la contagion virale
https://docplayer.fr/209195171-Le-mythe-de-la-contagion.html
Le sujet mériterait d’être exploré. D’une part parce que personne n’a pu isoler (au sens commun) un virus, d’autre part parce que nombre de pays ou de communautés qui avaient en réalité peu de victimes lors de l’épidémie du printemps 2020, ont vu leur nombre exploser à la suite des tests PCR et des injections.
Parfois, tels les trains, une pandémie sur sa fin en cache une autre. Que vont donc maintenant nous proposer les adeptes de la dépopulation mondiale ?
Certaines grosses entreprises se croient tout permis et imposent aux salariés ce que bon leur semble. Et comme par hasard, elles sont proches La majorité des entreprises aux USA ne le demandaient pas. D’ailleurs est-ce légal? Biden a essayé de l’imposer aux entreprises de plus de 500 salariés et cela a été rejété par la cour suprême.
« Et comme par hasard, elles sont proches du pouvoir politique. »