BFM et ses journalistes médiocres comme Raphaël Grably ont donné beaucoup de leçon de vérité et de notes de complotisme à la terre entière, à croire que ce Coca-Cola de l’information était détenteur de l’intelligence humaine, avec de pathétiques airs sûrs de soi et dominateurs. On découvre aujourd’hui que l’un des journalistes de la chaîne est suspendu incognito depuis plusieurs semaines pendant qu’une enquête interne est chargée d’établir si oui ou non il a diffusé des images ou des informations douteuses, potentiellement influencées par une puissance étrangère. Visiblement, les donneurs de leçons ne sont pas ceux qui les mettent le mieux en pratique.
L’affaire qui secoue BFM est emblématique de la profonde hypocrisie dont le cartel des médias subventionnés est le spécialiste : donner des leçons de morale à la terre entière, et surtout aux concurrents non capitalisés et financièrement indépendants qui pratiquent une vraie information, mais bien entendu ne se sentir nullement obligé d’appliquer ces mêmes leçons de déontologie. Combien de mensonges ou de publireportages passent sur BFM, inspirés ou manipulés par les puissances d’argent, que les petits pisse-copies zélés employés par la chaîne font passer pour une véritable information ?
L’affaire M’Barki, puissant révélateur de la désinformation sur BFM TV
Donc, on apprend que Rachid M’Barki ne présente plus le journal de la nuit sur BFM après que des informations visiblement non validées y ont été diffusées… L’affaire a été révélée par Politico aujourd’hui. Il serait reproché au journaliste, par ailleurs réputé proche du Maroc, d’avoir vanté le rapprochement hispano-marocain depuis la reconnaissance de l’annexion du Sahara Occidental, sujet qui empoisonne les relations entre le Maroc et l’Algérie, sur lequel la France demeure neutre.
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