Dans la plus grande des discrétions, les banques centrales (et la planète financière plus généralement) ont préparé tout au long de l’année 2022 le cataclysme économique qui pourrait très bien survenir en 2023. Annoncé de longue date (et même depuis la crise grecque des années 2010), ce grand krach est difficile à prédire. Mais des signes avant-coureurs se multiplient, qui indiquent que la sphère financière le “sent bien” et a prévu quelques airbags pour amortir le premier choc. Une chose est sûre désormais : l’Europe sera mise à rude épreuve en 2023, avec des divergences budgétaires difficiles à soutenir en situation de choc énergétique “asymétrique” et, de l’aveu même du FMI, la zone euro sera la moins prospère du monde dans les mois à venir. En France même, les signaux inquiétants sont consciencieusement documentés par l’INSEE. Une crise majeure de l’euro est de plus en plus plausible.
Même si l’or a été démonétisé depuis la fin des accords de Bretton Woods en 1971, il reste la valeur refuge par excellence. De quoi les banques centrales cherchent-elles donc à se prémunir?
Le krach qui vient
Les ingrédients d’une crise sont souvent cités depuis le début de la guerre en Ukraine: la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation liée à la guerre et aux sanctions économiques mises en place par le monde occidental contre la Russie, survient après deux ans de confinement dans la plupart des pays industrialisés – et même trois dans le cas de la Chine.
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On a tant de fois annoncé la fin de l’Euro … Charles Gave fait ça depuis 20 ans.
Cette prédiction se heurte toujours aux deux mêmes obstacles :
1) Les anti-Euro sous-estiment à chaque fois que les apparatchiks mondialiste sont prêts vraiment à tout pour sauver leur monstre monétaire.
2) Les psychopathes savent mettre leurs erreurs à profit pour renforcer leur pouvoir et faire avancer leur programme.
Pour le coup vous vous méprenez! Ils n’en n’ont que faire de l’Euro puisque ces mondialistes satanistes sont en train de mettre en place un euro numérique, justement pour dissimuler toutes les erreurs commises en connaissance de cause pour endetter le peuple et qui mène à la bulle la plus explosive qui arrive. La guerre, la plan démie, tout a été orchestré pour en arriver là! Une monnaie numérique c’est du vent, et s’ils arrivent à mettre en place un passeport numérique (vaccination-carbone, banque…) ils pourront vous supprimer l’accès à vos comptes comme ils veulent d’un simple clic! Pendant que tout le monde était absorbé par une manipulation de masse en 2020, l’UE a signé un accord avec VISA, afin de pouvoir bloquer toute carte dont le détenteur pourrait avoir fait par exemple des achats trop “carbonés'”…Ainsi vous arrivez en caisse et votre carte ne marche plus ! Et la monnaie numérique c’est aussi le contrôle total sur vos transactions ( pourboirs, cadeaux pour vos enfants, petits-enfants…) J’avais aussi noté que dans un texte il était aussi spécifié de rendre l’euro numérique avec date de péremption…Obligeant les européens à dépenser ! Ce plan est diabolique comme ceux qui le portent et ceux qui sont corrompus pour le soutenir! Vous évoquez notre ami Charles Gave, mais vous oubliez notre fameux Pierre JOVANOVIC qui annonce la krash à venir, son livre “la vengeance de la planche à billets” vous explique parfaitement pourquoi ça va péter ! Et puis j’ai aussi mon ami Olivier Delamarche…Tous nous ont prévenus depuis ces dernières années, mais comme d’habitude les gens n’écoutent pas. L’un d’eux m’avait même dit en 2021 que je devrais investir en plus de l’or dans des monnaies étrangères et pourquoi pas aussi dans le rouble … Cet article est très en phase avec la réalité ne vous y trompez pas
Bonjour Besancon,
J’ai appréciais votre commentaire.
“”en 2020, l’UE a signé un accord avec VISA, afin de pouvoir bloquer toute carte dont le détenteur pourrait avoir fait par exemple des achats trop « carbonés’ ”
J’aimerai avoir les sources SVP
Visa mastercard /ONU
* https://www.marianne.net/societe/derniere-invention-ecolo-une-carte-de-credit-qui-se-bloque-en-cas-de-decouvert-de-c02
*
* https://www.visa.fr/visa-everywhere/blog/bdp/2022/05/05/notre-objectif-est-1651740733847.html
@beaune
merci pour vos réponses
Je suis entièrement d’accord avec vous
Très longtemps que je le diffuse autour de moi mais malheureusement sans bcp de succès !!
Que peut faire le pékin moyen? Même conscient? Sécession?
Excactement, couplé avec le revenu universel, un permis à point pour survivre, ou non… Celui qui contrôle la monnaie d’un pays contrôle ses lois. #Frexit !
Deprimant
En esperant que vous avez tort
Soit. Mais c’est la toute première fois depuis plus de vingt ans qu’on a un tel taux d’inflation, et le fait est que notre pouvoir d’achat est mangé par la flambée des prix de fournitures vitales: l’alimentation et l’énergie. Quant à l’épargne, il est clair qu’elle fond, et ça aussi ça faisait longtemps que ce n’était pas arrivé; en France, depuis la brillante démonstration par l’Union de la gôôche qu’on ne peut pas dépenser plus sans produire plus de richesses. N’oublions pas que, à l’époque, l’inflation était à deux chiffres ce qui a annulé en moins d’un an l’augmentation du SMIC de 10%.
Aujourd’hui, vous pourriez placer l’enchanteur Merlin* en personne à la tête du pays qu’il ne pourrait rien faire pour enrayer ce dévissage de l’économie et, au-delà, de la société. Seule consolation, de mon point de vue: si ça peut casser l’importation massive de produits jetables, peut-être que l’addiction à la consommation à outrance va se calmer un peu?
*du brittonique mor, mawr, meur (grand) + den, dyn** en gallois (homme). Le Grand Charles avait-il compris que sa satanée constitution de la V° faciliterait la prise de contrôle de son pays par les USA abhorrés?
**le d et le l peuvent se substituer l’un à l’autre: les états du Dakota du sud et du nord doivent leur nom au peuple des Lakotas.
100% d’accord avec vous. De Charles Gave à l’euro. Vous avez tout dit
Charles Gave a dit ça mais avait-il tort ?
L’Euro est toujours là certes mais avez-vous vu sa chute par rapport à l’USD ou au CHF depuis 2007 ?
Alors oui il s’est trompé car l’Euro est toujours là mais non il avait raison car le maintenir en vie a été au prix de l’inconséquence totale
Et nous sommes les heureux dindons qui avons en poche ces Euros
Donc vous pouvez rire des ces analyses n’empêche que si j’avais entendu parler de ce grand Monsieur bien plutôt cela m’aurait rendu moins con bien plus vite et j’aurais protégé mon patrimoine bien mieux
Il n’est jamais trop tard pour bien faire et maintenant que je l’écoute depuis 2020 je ne m’en porte que mieux
Hausse des taux ( la dixième) au Royaume Uni, ils reflètent bien la réalité car obligés de défendre leur monnaie…
Dormez tranquille braves gens, la macronie et les frères s’occupent de tout ! Enfin surtout de ruiner les peuples !
La question, évidemment, n’est pas de savoir si l’euro disparaîtra, mais quand.
Après, que sera la zone euro.
Qu’adviendra-t-il de l’UE.
Ça???
La croissance de quoi, du PIB? On nous rebat les oreilles avec un indicateur facile à manipuler par les socialo d’argent qui dirigent la France. Le PIB socialo est constitué de 3 ingrédients: administration, bétonisation, consommation /taxation. Rien d’autre. tout le reste a été outsourcé comme on dit en américain des affaires. La matière première du PIB socialo? L’immigration de masse. Dès que le PIB fait mine de baisser les socialo ouvrent les vannes en grand et ça repart, forcément.
L’euro c’est autre chose. Comme le dollar américain, l’euro est la monnaie des Allemands mais notre problème. Allemands au sens large, germaniques Bataves et Scandinaves compris.
Si — ou plutôt quand — les Allemands ne verront plus d’intérêt à l’euro, l’euro s’arrêtera. Net. D’où il vient que l’indicateur à surveiller est celui de l’utilité de l’euro pour les boches. L’euro a servi à laminer toute concurrence à l’industrie allemande. Ça c’est fait, quoi d’autre en attendre? Dans un monde de pénurie pas grand chose. Un retour au Reichmark permettra de se relancer vers le haut, en larguant les boulets du Club Med.
.
vu le mix énergétique allemand et vu l’état inqualifiable des relations avec la Russie , ça va être difficile pour la rfa de se relancer !… Leur économie est déjà en récession en fait
comment faire pour acheter de l’or en roubles ou autres?merci
Je vous conseille plutôt d’acheter en Suisse (Geiger ou bien Philoro à Zürich (parler anglais), Gold avenue à Genève).
Si vous tenez à la Russie : ouvrir un compte à la Sberbank, acheter votre marchandise chez eux et leur louer un coffre (ça commence environ 200 € par an, ils proposent cette prestation pour des clients étrangers aussi).
Bonjour,
Pour écouter Pierre Jovanovic Vidéo dES PALUCHES ET DES BOUQUINS
https://www.youtube.com/watch?v=sFBzMys-Sl4
Merci @YAKINIKOU
Petit éclairage sur l’histoire des banques centrales.
Le choix d’Oliver Cromwell (1599-1658) de développer l’Empire britannique en adossant la puissance des armes à celle des banques a créé un nouveau paradigme politique. Dire cela ne signifie pas que l’Angleterre porte l’acte de naissance de cet acteur géopolitique nouveau, anonyme, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ». Sa naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise.
Certains auteurs d’ouvrages sur les Templiers ouvrent certaines perspectives sur le rôle que les rivalités financières du capitalisme naissant ont pu jouer dans la destruction de l’Ordre du Temple au XIVème siècle. Les Templiers étaient, à certains égards, des sortes de rivaux des banquiers italiens qui, de ce fait, les voyaient d’un mauvais œil. En effet, en Palestine, déjà, les Templiers avaient eu affaire avec les intrigues des banquiers de Venise, de Gênes et de Pise. En effet, le pouvoir des Templiers contrebalançait celui de Rome, ils avaient avec eux des rois et des puissants. Les Templiers cherchaient à centraliser, dans le Temple de Londres, les annates (taxe « papale »). Ils auraient aussi centralisé les encaisses métalliques qui constituaient la richesse mobilière de la France. Ce furent les hauts barons anglais qui firent échouer ce projet.
Remarquons que c’est au XIVème siècle, également, que l’Église romaine cessa d’excomunier ceux de « ses enfants » qui pratiquaient l’« usure », c’est-à-dire le prêt à intérêt, dont on sait aujourd’hui les conséquences que la liberté ainsi accordée devait avoir sur l’évolution du monde Occidental.
Après l’Italie, l’acte de naissance de ces « puissances d’argent » est aussi à rechercher dans le premier État à avoir donné une réalité institutionnelle à ces banquiers, la Hollande, via la création en 1609, de la banque d’Amsterdam.
Si l’Angleterre de Cromwell n’est pas, stricto sensu, à l’origine du développement de ses « puissances d’argent », elle est néanmoins à l’origine du paradigme consistant à adosser les velléités impériales à la puissance financière naissante des banquiers ; ce phénomène a, mécaniquement, généré l’avènement d’un nouveau modèle de référence dans lequel la puissance politique et militaire est intimement liée au développement de la banque. Dans les étapes ultérieures, les banquiers se sont internationalisés dans le même temps qu’ils ont commencé à se centraliser par l’instauration du système des banques centrales. Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole sur le crédit des gouvernements, et son but est de convertir ce monopole en un monopole exclusif sur tout : la politique, la culture, l’économie, la religion etc.
Ces institutions sont nées sous le signe de l’imposture : présentées comme des banques d’État, elles disposaient à ce titre de la garantie de l’État (c’est-à-dire des contribuables de l’État) alors que ses capitaux restaient dans des mains privées. L’appropriation par des intérêts privés est le vice initial du concept de banques centrales. C’est ainsi que la banque d’Angleterre (1694), la Banque de France (1800), la Réserve Fédérale américaine (FED, 1913), la Banque des Règlements Internationaux (BRI, 1930), le Système Européen de Banques Centrales (dit SEBC, décidé par le traité de Maastricht en 1992 et entré en vigueur en 1999) reflètent, toutes, un désengagement des instances politique de l’État dans la gestion centralisée des masses monétaires en circulation.
Ces banques centrales sont aujourd’hui l’élément pivot, fondamental, du système monétaire mondial. En prenant le contrôle des monnaies, ces « puissances d’argent » ont pris le contrôle des économies puisqu’elles étaient en mesure de décider, en toute autonomie et de façon discrétionnaire, de l’affectation des ressources monétaires.
Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
NB : la BRI en Suisse (Banque des Règlements Internationaux), qui est sous contrôle le britannique de la « City », supervise toutes les banques de réserve du monde entier y compris la Banque centrale de la fédération de Russie et la Banque populaire de Chine.
Faire disparaître cette « pieuvre » qu’est la BRI, ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète qui y sont liés, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien.
Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html