Derrière les rideaux de fumée dressés par le cartel de la presse subventionnée, la France connaît des mutations en profondeur, en ce moment même. La tournée d’Emmanuel Macron en Afrique lui donne l’occasion d’évoquer la fin de la Françafrique. La Président fossoie sans état d’âme les privilèges donnés par 150 ans de colonisation, sans avoir de plan manifeste comme le Commonwealth peut en constituer un. Le débat sur les retraites au Sénat fossoie les régimes antérieurs à 1941, lorsque Vichy a créé le régime général des travailleurs salariés. Notre stratégie européenne conduit à la fin d’EDF et à notre alignement aveugle sur la logique atlantiste. Bref, fidèle au travail entrepris lorsqu’il était secrétaire général de l’Elysée, Emmanuel Macron tourne la page de la France gaullienne, au profit d’une dilution dans un nébuleux ensemble européen où nous n’existerons plus.
Elle avait de la gueule la Françafrique, tout de même, du temps du général De Gaulle. Elle ne ressemblait pas exactement à ce gloubi-boulga contemporaine, avec des associations bidons qui sont autant de fromages filés aux copains de Macron qui ne sont que le faux nez d’une immense médiocrité qui a pris le pouvoir pour rabougrir un pays millénaire. On l’a beaucoup entendu, le leit-motiv de l’énarque moyen selon lequel « tout ça coûte trop cher », selon lequel « l’Afrique ne sert à rien » et selon lequel « l’avenir de la France, c’est l’Europe ». Macron est en train de le décliner, dans une crispation soudaine, jamais discutée devant les Assemblées, qui nous affaiblira durablement et nous fera perdre notre siège au Conseil Permanent de l’ONU
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Quel article magistral en point d’étape cristallin qui ouvre le chemin de la Marche vers la libération des pesanteurs qui étouffent l’exceptionnel potentiel de France !
Merci Éric Verhaeghe & Édouard Husson : « A vous deux, vous faites bien la paire » aurait dit ma grand »mère, cette Résistante du fin fond de la Corrèze – qui cachait dans sa cave d’abord les réfractaires puis, sans aucune distinction, tous les maquisards pourchassés- qui m’a recueilli et éduqué.
Dans votre « combat » et avec cette œuvre de cheminement pour la vérité, je me permets de vous soumettre l’intérêt de publier, en la forme qui vous plaira, cet article
https://fr.irefeurope.org/featured/article/indemnites-indues-des-membres-du-conseil-constitutionnel-le-respect-la-lumiere-et-la-verite/
Le Courrier des stratèges est un bijou, avec le blog H 16, dans le paysage dévasté de l’information
Je vous transmets sur le mail 2 vidéos que vous n’ignorez sûrement pas mais qui « méritent », dans le contexte, un éclairage propre sous le label de « notre » publication Le Courrier des stratèges…Notre, car je reste dans l’attente des infos pour souscrire ma participation…
Encore merci
Ne comptez pas sur moi pour vouer un culte à Jacques Foccart !
Étrange hommage Gaullien de la part de M. Veraeghe qui fustige l’État en général…
Un exemple de plus du lâchage Public après le Général et de la privatisation des intérêts dans nos anciennes « colonies ».
Le peuple français n’y a rien gagné mais en revanche il subit au quotidien l’immigration qui en découle au profit des mêmes qui exploitent ici ceux qui fuient la pauvreté dans leurs pays « libérés ».
Le seul intérêt que nous pouvions en retirer était les ressources du sous-sol, mais les Anglo-saxons veillaient au grain depuis le XIXe (lire Conrad Killian)
L’histoire du pétrole en France remonte à la fin du XVIIIe siècle, avec le puits de Pechelbronn, exploité depuis 1745.
Depuis la fin du XIXe siècle, au moins deux générations de scientifiques, de technocrates, de politiciens, d’industriels se sont en partie liés aux affaires pétrolières, dont le monopole des grandes compagnies telles la Standard Oil ou la Royal Dutch Company, était déjà extrêmement réputé au début du XXe siècle.
Dans les années 1920, de nombreuses puissances européennes, notamment françaises, anglaises et italiennes, avaient créé des entreprises, pour la plupart d’initiative publique (mais pas forcément sous contrôle de l’Etat),
alors que les tout-puissants intérêts privés américains et anglo-hollandais entamaient leur cycle de domination mondiale dans le domaine pétrolier jusque dans les années 1970.
Néanmoins, la lutte pour le pétrole dans les années 1920 et jusqu’à l’après-guerre, se joue principalement au Moyen-Orient.
Avant-guerre, les britanniques dominaient largement en Irak et en Perse, tandis que les américains de la Standard Oil of California s’implantaient en mai 1933 en Arabie Séoudite, qui allait devenir pour longtemps leur partenaire indispensable en matière d’approvisionnement.
Enfin… l’Etat gaullien n’avait pas grand chose à voir avec la machine bureaucratique impuissante d’aujourd’hui.
Précisément ! cela n’a plus rien à voir avec le « régime » actuel qui a désossé la Constitution de 58 et bradé nos fleurons à l’ogre américain…
D’où mon post sur l’inutilité d’un « changement » vers une énième république, alors qu’il suffit de RESTAURER celle de De Gaulle !
François Asselineau @UPR_Asselineau 12h
Mozart de la finance
Beethoven des sanctions
Wagner des éborgneurs
Vivaldi de l’inflation
Schubert des délocalisations
Chopin du papillomavirus,
USHUAIA: Macron se déguise ce soir en Nicolas Hulot de la forêt gabonaise.
???? Plus aucun chef d’État ne fait attention à ce pitre.
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????
A toutes fins utiles permettez-moi de rappeler ici, que le premier des complotistes fut incontestablement le général De Gaulle lui-même, pour lequel, pendant les dix ans où il régna sur la France, il n’y eût pas d’épidémie de grippe. Pourtant, je peux en témoigner, il y eut chaque année une grippe, telle celle de l’hiver 1962/1963 (que Wikipedia ne reconnaît que comme un « froid en Europe ») fit 50 000 morts en France en l’espace de trois mois, dont personne à l’époque, n’a jamais entendu parler !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hiver_1962-1963_en_Europe#:~:text=L'hiver%201962%2D1963%20en,repartira%20que%20le%207%20mars%20.
C’est pourtant vrai que la France de CDG a sombré corps et biens. Les historiens diront ce qui s’est passé, pour moi l’excès de facilité a ramolli les hommes. La féminisation sûrement aussi, ça manque de grosses bites dirait Papacito. Quand on voit l’hystérique Cruella von der la hyène mener le pays des Francs par le bout du nez… tin bordel, qu’est-ce qui s’est passé? Même les pédés n’ont plus aucune tenue.
En même temps taper sur maqueron est facile, trop, le petit bourgeois socialo voilà le coupable. Que des inutiles de père en fils /filles. Les surdoués sortent du moule diplômés, bombardés conseillers des cabinets. Conseiller ça veut dire que tu entres au country club avec les autres crabes. Tu sais rien faire. Le jeu? En croquer un max sans rien comprendre à rien. Vogue la galère. Les requins autour se régalent, tout s’écroule à l’intérieur. Pas grave. Un seul truc compte: que le petit bourgeois socialo qui fait l’opinion te trouve briyant dans la presse des copains. Ça la briyance ✨ on ne nous l’enlèvera pas. Jamais.
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La critique est facile, mais l’art est difficile. Qui et que proposent E. Verhaeghe et E. Husson. Ils ont ostracisé MLP et le RN et ont un penchant pour LR et quelques uns de ses déserteurs, vieux chevaux de retour agrippés à leurs prébendes ou soumis au pouvoir et à la doxa amblante. La France se meurt doucement, avec quelques soubresauts de quelques révoltés. Ainsi finit une civilisation et un pays millénaire. Et cela s’est enclenché après la 1ere guerre mondiale.
Monsieur Husson a dit du mal de Jordan mais rien contre MLP, elle reste dans la course. Merci.
En effet ! à trop faire la fine bouche, on risque de se retrouver comme le héron de la fable…
Je ne pense pas qu’ils ont ostracisé M.LP et le R.N, ils sont déçus, comme beaucoup de souverainistes, par le VIRAGE de la dédiabolisation qui est allé beaucoup trop loin pour complaire au pouvoir, et garder les subsides des députés européens.
Le hic est que le R.N comme le F.N (en son temps) ne veulent pas du pouvoir, ils se contentent de rester confortablement dans l’opposition.(d’où l’abandon du Frexit, de la remise en question de l’euro et le départ de Philippot, sujets qui fâchaient trop)
C’est pourtant vrai que la France de CDG a sombré corps et biens. Les historiens diront ce qui s’est passé, pour moi l’excès de facilité a ramolli les hommes. La féminisation sûrement aussi, ça manque de grosses bites dirait Papacito. Quand on voit l’hystérique Cruella von der la hyène mener le pays des Francs par le bout du nez… tin bordel, qu’est-ce qui s’est passé? Même les pédés n’ont plus aucune tenue.
En même temps taper sur maqueron est facile, trop, le petit bourgeois socialo voilà le coupable. Des inutiles de père en fils /filles. Les surdoués sortent du moule diplômés, bombardés conseillers des cabinets. Conseiller ça veut dire que tu entres au country club avec les autres crabes. Tu sais rien faire. Le jeu? En croquer un max sans rien comprendre à rien. Vogue la galère. Les requins autour se régalent, tout s’écroule à l’intérieur. Pas grave. Un seul truc compte: que le petit bourgeois socialo qui fait l’opinion te trouve briyant dans la presse des copains. Ça, la briyance ✨ on ne nous l’enlèvera pas. LVMH notre vaisseau amiral.
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L’état comme le capitalisme n’est ni bon ni mauvais, il est ce qu’on en fait.
On peut dénigrer à juste titre Macron mis en place par la nébuleuse mondialiste comme les dictateurs du tiers-monde, mais le reste n’est pas mal non plus entre des peuples ignares et j’m’en foutistes en bêtise et futilité, chacun ne voyant pas plus loin que le bout de son nez que ce soit de manière concrète ou abstraite et qui se font balader depuis le temps sans se poser de question et des fonctionnaires de toutes hiérarchies qui ne diffèrent nullement du petit fonctionnaire nazi du siècle dernier qui n’était pas forcément un psychopathe sanguinaire assoiffé de sang, un couteau entre les dents mais un bon père de famille, persuadé d’être dans le camp du bien, ne cherchant que l’honorabilité et une carrière bien vue et bien remplie et quand certains n’ignoraient pas l’incommensurable connerie comme celles actuelles, c’était, peu importe, ma carrière, mes privilèges, intérêts et ma p’tite gueule d’abord et après moi, le déluge. Et ce fut un déluge de feu.
J’ose espérer que l’histoire ne radotera pas comme elle le fait de coutume.
Apres trogneux, il nous aura jusqu’au trognon….