L’« opération spéciale » a radicalement changé le format de la coopération entre les entreprises russes et les entreprises occidentales. La focalisation des sanctions européennes et américaines sur les points les plus sensibles du marché russe était prévue. On s’attendait également à des stratagèmes pour contourner les restrictions liées aux sanctions.

Cet article initialement publié sur le site ritmeurasia.org n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
La microélectronique est devenue l’un des postes les plus sensibles à la pression des sanctions. Les États-Unis ont mis en place un embargo sur la fourniture de composants, mais aussi d’équipements de haute technologie pour la production de ces biens à la Russie et à la Biélorussie. La raison en est l’opération spéciale. Ainsi, l’objectif déclaré est de priver le complexe militaro-industriel russe de la possibilité de produire des armes modernes sur une base de composants occidentaux.
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