Selon une nouvelle étude qui sera présentée au Congrès européen de microbiologie clinique et des maladies infectieuses (ECCMID) à Copenhague, Danemark, du 15 au 18 avril, le port de masques dans un grand hôpital de Londres pendant la vague Omicron aurait eu peu d’impact sur la transmission du Covid-19.
Au début de la crise sanitaire, pour réduire les risques d’attraper ou de propager le virus, de nombreux gouvernements avaient imposé le port du masque. A cette époque, des études ont révélé que les masques étaient efficaces pour limiter la transmission des infections comme la grippe ou le Covid. Dans nombreux pays, les personnes qui ne respectaient pas l’obligation de porter un masque risquaient une amende. Pourtant selon une étude britannique, les masques faciaux ont eu peu d’effet dans la prévention de l’infection au COVID-19. Des chercheurs de l’hôpital St George, dans le sud-ouest de Londres, ont également révélé que l’obligation de porter des masques dans les hôpitaux pourrait avoir eu peu d’impact sur la transmission du COVID-19 pendant la vague Omicron.
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Je vous signale que l’utilisation du masque a été remise en question depuis le début du theatrocovid.
Des études avaient déjà démontré la non efficacité.
Les gens pas trop anesthésiés par le discours de peur ont compris dès l’été 2020, quand les masques ont été rendus obligatoires alors qu’il est connu que les virus ne circulent pas en été.
Au vu du constat, petits chefs et élus locaux compris, la quasi-totalité de la population était anesthésiée…
On leur doit toute la suite…
« Ceux qui sont pour l’obligation du port du masque sous-estiment grandement le fait le masquage est un prélude à la vaccination, qui est elle-même un prélude à l’identification numérique puis au traçage humain qui s’ensuivra naturellement avant de nous conduire en très peu de temps à l’ère transhumaniste, introduite par l’analyse en temps réel de tous nos gestes, actes, déplacements et rencontres, par des programmes qui sont ma spécialité. Or, cette perspective est, à mes yeux, bien plus grave que n’importe quelle bombe atomique ou guerre mondiale. » (Philippe Guillemant)
Il aurait suffi de dire « non »…
Dans son livre «Le grand virage de l’humanité» Philippe Guillemant est optimiste: en 2020 l’humanité a refusé l’avenir transhumaniste. Mais le combat n’est pas fini…