Approuvée par le Conseil de direction du Fonds de lutte contre les pandémies, la première série de financements conçus pour aider les pays en développement à mieux se préparer aux futures pandémies a été lancée.
Au mois de février, le Conseil de direction du Fonds de lutte contre les pandémies a approuvé une enveloppe d’un montant de 300 millions de dollars en faveur de sa première série de financements. Ces ressources permettront d’aider les pays en développement à mieux se préparer et faire face aux futures pandémies.
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Cet argent a été arraché à qui ?
et pour quelles poches à la fin?
Pour mieux se préparer ou pour qu’ils participent volontiers à la prochaine festivité pandémique en suivant les consignes de l’OMS?
L’Afrique, en grande majorité rétive à la définition de Colonie de l’Empire US, s’est parfaitement dépatouillée de la (pseudo) pandémie d’un curieux virus échappé d’un labo, sans recourir à la vaxx contrainte obligatoire inutile dangereuse létale ! des fumeux pharma-labos de cet Empire.
Pas de milliards de $ à flamber chez Bourla Bancel KillBill, mais juste un peu de quinine et d’artemisia annua en décoction ou en infusion … avant de se coucher.
Quant aux Colonies orientales de l’Empire qui se sont essayées à la médecine de l’Oncle Sam, peu y reviendront : l’Inde le Pakistan … même le Japon qui s’est souvenu (in extremis !) que l’ivermectine (japonaise !) n’était ni menteuse ni assassine comme l’ont été Pfizer-BioNtech Moderna-KillBill AstraZeneca Jenssens …
Et pour la cerise du gâteau : notre EMpalé national s’était empressé d’offrir aux Africains toutes les doses d’AstraZeneca déclarées “poisons” par l’OMS …
Alors, décider d’une aide financière à devoir apporter à quiconque – même aux Français ou à l’UE – lors de la prochaine (pseudo) pandémie, c’est déjà savoir que de beaux salopards se sont déjà inscrits comme heureux bénéficiaires de la manne céleste opportunément détournée. Et c’est facile à comprendre : s’il fallait craindre une deuxième puis une troisième (pseudo) pandémie, ce serait comme remplir un carnet de bal … où prétendent danser les hypocrites !