Ce n’est certes que la scène du spectacle démocratique – et non celle du profitage connivent – que quitte Marlène Schiappa. Malgré tout, sa lettre d’adieu a de quoi arracher des larmes même aux contribuables les plus endurcis.
Notamment, parce qu’elle n’y mentionne naturellement aucune intention de leur restituer les sommes gérées avec un certain « manque de rigueur » (Gala) pour le compte du Fonds Marianne.
Car, loin de se laisser abattre, Marlène montre dans cette lettre qu’elle positive. Elle est très fière de son bilan : entre l’entretien de l’hystérie entourant les fameuses « violences domestiques » et le soutien aux « familles monoparentales » (comprendre : l’Etat se substituant aux maris), la Schiappa aura probablement contribué à l’extinction des Blancs dans des proportions comparables à tel ou tel sérum magique « sûr et efficace ».
Et, si la relative immunité des cultures extra-européennes au poison culturel féministe n’y suffisait, la lettre précise bien à quel point elle est aussi fière d’avoir profité de ses six ans aux affaires pour créer un maximum de français de papier, au service de la transition démographique qu’appelle de ses vœux son gourou Macron (et que les complotistes nomment aussi grand remplacement).
« Quelle artiste pantoufle en moi ! »
On aurait d’ailleurs tort de se faire trop de soucis pour Marlène. Il est question, pour elle, d’un recyclage chez Publicis – organisme jadis chargé du contrôle oligarchique de la presse via la canalisation des recettes publicitaires, aujourd’hui rendu partiellement inutile par la censure de style à la fois neuf et très ancien de ces Fakt-tchékistes qu’elle a d’ailleurs contribué à financer. Autant dire que le niveau de compétence requis pour ces fonctions doit désormais être plus ou moins celui de Marlène – femme dont l’intelligence pratique n’a d’égale que la beauté intérieure.
Voilà une forme d’exil, somme toute, supportable : son salaire (ou du moins : la partie émergée d’icelui) va a priori augmenter – mais les feux de la rampe manqueront certainement à cette « technocrate » davosienne, qui, à défaut de fonctions gouvernementales, ne pourra plus compter que sur son physique généreux pour attirer les faveurs de la presse pornographique.
Reste, bien sûr la littérature, violon d’Ingres de Marlène « bouffe ma chatte » Schiappa. Faut-il s’attendre à un roman à trois mains avec Michel Houellebecq ? Gala nous l’apprendra en temps voulu.
Excellent !
Bof ! Compte tenu du niveau de QI de la donzelle, on aurait pu s’attendre à pire.
Excellent, merci pour cet article ô combien jubilatoire ! Merci pour ce moment d’humour grinçant !
Son passage dans les plus hautes sphères de la politique nous aura au moins laisser le mot schiappater, qui veut dire “détourner des biens publics” !
“celles qui m’ ont soutenues”
ministre et même capable d’ écrire correctement !!!…