Le conflit israélo-palestinien, qui s’est fortement intensifié le week-end dernier, pourrait s’aggraver et s’étendre à d’autres pays, car Israël ne laissera pas sans réponse les frappes massives du mouvement palestinien Hamas et du groupe chiite libanais Hezbollah, estiment les experts des principaux groupes de réflexion américains. Experts occidentaux sur les risques d’une expansion à grande échelle du conflit au Moyen-Orient.
Cet article initialement publié sur le site actualcomment.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le conflit entre Israël et le Hamas « ne fait que commencer » a déclaré Jonathan Panikoff – chercheur principal au Centre de géoéconomie de l’Atlantic Council*. « Les attaques contre Israël du week-end ne sont que le début du conflit. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déjà promis que l’ennemi « paierait un prix énorme » et il est peu probable qu’il soit intéressé à revenir sur cette promesse. Il ne s’agira pas d’un petit jeu de du tac au tac : le caractère sans précédent de l’attaque ne le permettra pas. « Des attaques surprises ont déjà eu lieu, mais le fait que l’attaque actuelle ait eu lieu cinquante ans et un jour après le déclenchement de la guerre du Kippour [1973] est une référence qui restera à jamais dans les livres d’histoire », déclare le chercheur.
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Les BRiCS étaient en train de remettre de l’ordre dans le moyen orient qui me parait être un furoncle soigneusement entretenu par les USA pour garder la main sur les pays producteurs de pétrole. L’idéal serait une vraie défaite des USA en Ukraine, un missile hypersonique coulerait le porte avions Ford. La Russie rétablirait la paix dans la région, il faudrait qu’elle donne des garanties de survie à Israël et (en rêvant un peu) débuterait la PAX RUSSIA qui sera toujours préférable à l’Apocalypse que nous promettent les USA.