Les résultats d’une enquête épidémiologique publiée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont révélé que le variant JN.1 dominant aux États-Unis n’engendrait pas des symptômes graves. Il semble bien moins dangereux que ses prédécesseurs. Selon les CDC, il est très contagieux, car les cas d’infection ont fortement augmenté ces derniers mois. Mais l’OMS l’a qualifié de préoccupant alors qu’à ce jour, sa dangerosité n’a pas encore été prouvée. Cependant, le climat de peur propre à justifier les contraintes d’ordre sanitaire, comme la vaccination, n’en finit pas.
Le variant JN.1 a été détecté en septembre 2023, c’est un dérivé du BA.2.86. Comme le variant HV.1, un descendant de l’EG.5., il était qualifié de variants inquiétants, car particulièrement contagieux. Cependant, les premières données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains, le variant JN.1 ne provoque pas de maladie plus grave que les variants précédents. Bien qu’il représente 85.7% de tous les cas COVID aux États-Unis, les données préliminaires ne montrent pas d’aggravation des symptômes chez les patients infectés par ce variant.
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Peur des virus, peur du CO2, peur des russes le NOM nous prend pour des imbeciles, par contre ma seule crainte est l’installation d’une oligarchie totalitaire, mais si vous dîtes cela vous êtes accusés d’être un complotiste d’extrême-droite.