La récente contamination d’un humain par la grippe aviaire, transmise par une vache laitière au Texas, soulève des questions préoccupantes quant à l’évolution du virus H5N1. Cette annonce, survenue après plusieurs signalements de contamination de vaches laitières dans divers États américains, suscite des inquiétudes quant à la propagation potentielle de cette maladie à travers différentes espèces animales et jusqu’à l’homme. De nouveau, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) tire la sonnette d’alarme face à l’émergence de ce virus. Selon l’OMS, cela devrait susciter une vigilance accrue, soulignant l’importance de la surveillance mondiale et du partage de séquences pour mieux comprendre et contrôler la situation. Visiblement, les autorités sanitaires ont besoin d’un nouveau variant pour élargir au plus vite élargir ses prérogatives à « l’échelle mondiale » avec l’approche « une seule santé », une ébauche de traité sur les pandémies, et la réforme du Règlement sanitaire international (RSI).
Le virus H5N1 a été détecté chez des chèvres dans le Minnesota le 20 mars dernier. Le 25 mars, il a infecté des vaches dans deux exploitations laitières au Texas et au Kansas. En seulement une semaine, de nouveaux cas ont été détectés dans le Michigan à l’Idaho et dans le Nouveau-Mexique. Le lundi 1er avril, les autorités américaines ont annoncé qu’une vache laitière infectée par la grippe aviaire a contaminé un humain. C’est le premier cas de transmission d’un bovin à l’homme et voici les réponses aux questions qui pourraient se poser à ce sujet.
Les symptômes et le mode de propagation du virus
Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains, le patient infecté présente des symptômes relativement légers, comprenant une rougeur oculaire compatible avec une conjonctivite. Cela dit, le patient a été placé en quarantaine. Apparemment, il a été contaminé après une exposition à des bovins infectés par le virus.
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Dans la perspective que toute guerre est une guerre contre les peuples, et vu qu’il n’y a pas les moyens, ni humains, ni techniques, d’une guerre militaire de grande ampleur, la guerre bactériologique est une possibilité à considérer.
Peu après l’épisode avorté de la variole du singe, des éléments de communication mondiale dont des formations de préparation comme l’event 201 d’oct 2019 laissaient entendre que la prochaine pandémie serait soit H5N1, soit un entérovirus. Alors quelle surprise !
Et comme par hasard, H5N1 est un virus modifié par l’homme par gain de fonction.
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/dossier-special-fallait-il-manipuler-le-virus-h5n1_22899
La négociation du RSI et Traité Pandémie de l’OMS est en difficulté (retrait de plusieurs pays, refus des labos de céder les brevets,…) et hop, on active la peur programmée à l’avance avec le joker le moins dangereux des deux car il n’y a plus d’argent pour le grand jeu façon covid.
Malgré tous leurs efforts, ils vont avoir beaucoup de mal à être crédibles.
Dans le documentaire “Malaria business” l’ancien directeur de l’OMS, le colombien German Velasquez, explique que l’OMS est passé depuis une vingtaine d’années dans le privé !
Autrefois la devise était “guérir les maladies” et maintenant elle est “traiter les maladies”
En clair, plus aucun médicament n’a vocation à guérir définitivement, mais à soulager, à entretenir le plus longtemps possible pour gonfler le jackpot pour Big Pharma !
C’est une logique d’entreprise, très très loin d’Hippocrate
On nous refait le coup du virus mortel auquel je ne crois pas du tout…Ou bien, ce seront les injectés qui tomberont malades.