La capitale nippone, Tokyo, fait actuellement face à une forte vague de pandémie suite à la propagation des sous-variants d’Omicron. En effet, elle a enregistré une forte hausse des cas d’infections au quotidien. Pourtant, le pays venait de rouvrir ses portes aux touristes. Ce changement radical de la situation pourrait obliger les autorités politiques et sanitaires à revoir les décisions prises.
Le 2 février 2022, le Japon avait enregistré un record de pandémie avec 21.562 nouveaux cas d’infection au quotidien. Pourtant, les autorités avaient décidé d’assouplir les restrictions et de rouvrir les portes du Japon aux touristes. Jeudi, la capitale nippone a enregistré 31.878 nouvelles contaminations au Covid-19. Le pays a enregistré plus de 200 000 nouveaux cas de Covid-19 pour la première fois samedi 23 juillet, battant le record quotidien pour la quatrième journée consécutive avec 200 954 infections au milieu d’une septième vague d’infections provoquée par le sous-variant Omicron BA.5.
Plus de 30.000 infections quotidiennes
Cette résurgence de la maladie à Tokyo survient bien avant le début des vacances d’été. C’est la période où les activités touristiques de la ville prospèrent. Ce revirement de la situation pourrait obliger les autorités à modifier les décisions prises, dans le but de contenir l’épidémie. Pourtant, la plupart des gens ont un peu baissé la garde et les autorités sanitaires ont décidé d’adopter des mesures plus souples.
Il faut dire que de nombreux pays du monde font actuellement face au sous variant Omicron B. Mais la plupart des cas sont relativement bénins, rapporte Chris Beyer, épidémiologiste à l’Université Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. L’apparition de ces sous-lignages d’Omicron très infectieux a engendré la hausse du taux d’infection.
Pas d’état d’urgence ni de restrictions sanitaires malgré la remontée des cas
Selon le Gouverneur Yuriko Koike, le niveau d’alerte du système médical à Tokyo atteint le niveau le plus élevé d’après l’évaluation faite par un groupe d’experts chargé d’élaborer une réponse à la pandémie dans la ville. Le taux d’occupation des hôpitaux a beaucoup augmenté. En effet, il a plus que doublé comparé au début du mois. Cela dit, le taux de mortalité n’a pas flambé puisque les décès liés au Covid-19 sont rares.
Face à la flambée des cas, le Gouverneur recommande trois mots-clés “vaccinations, aération et masques de protection » aux habitants de Tokyo pour prévenir les infections.
Selon l’analyste des actions du secteur médical chez Mizuho Securities Co, Shinya Tsuzuki, les experts du gouvernement pensent que le pic sera atteint cette semaine. Par ailleurs, le nombre de personnes atteintes de la forme grave du Covid-19 reste faible.
Les responsables du gouvernement japonais ont d’ailleurs affirmé qu’ils n’instaureront pas d’état d’urgence ni de restrictions strictes, qui pourraient pénaliser l’activité commerciale et touristique de Tokyo. En revanche, ils vont suivre de près l’évolution de la situation, notamment le nombre des cas graves et de décès.
Selon les experts, le retard d’administration des rappels chez les jeunes résidents peut favoriser la propagation des virus dans les écoles et les lieux publics. Les données du Bureau de la protection sociale de la santé publique du Japon ont révélé que plus de 60% des habitants de Tokyo ont déjà reçu une troisième injection. A noter que depuis le samedi 23 juillet, le personnel médical et le personnel soignant des personnes âgées à Tokyo ont commencé à recevoir la quatrième dose de l’injection anti-Covid-19.
Au Japon, cette quatrième dose est avant tout recommandée aux personnes âgées de 60 ans et plus et à celles âgées de 18 à 59 ans présentant des pathologies préexistantes.
L’injection génique expérimentale ne protège pas. Bien au contraire elle permet le développement d’anticorps facilitants qui favorisent la maladie.
On ne s’attardera pas sur la pléthore d’effets secondaires graves et de décès provoqués par ces injections.
Même les vrais vaccins à virus atténués produits en Chine et en Inde sont inefficaces et tout aussi dangereux du fait de la présence de la protéine de surface Spike. On se reportera avec profit à ce sujet à l’exposé d’Hélène Banoune (Docteur en pharmacie et diplômée de biologie) dans une des vidéos du Conseil scientifique indépendant (sur la plate-forme Crowdbunker)
Merci de confirmer ce qui se dit beaucoup. En 2 mots: le vaxxin attire le Covid.
Ces “cas d’infection” sont -ils des tests positifs ou s’agit-il de malades exigeant un traitement ou une hospitalisation ? Que lle taux d’occupation des lits à l’hôpital ait doublé depuis le début du mois n’est pas une information fiable dès lors que rien n’est dit de la politique du Japon en matière de santé publique. Si on y pratique la même stratègie de réduction des lits qu’en Europe, l’information sur la saturation des hôpitaux se relativise. S’il s’agit de nous “pondre” les mêmes articles de propagande alarmiste que Le Monde & Co, alors ce n’est pas la peine !
Je suis très surpris par cet article de promotion de la fausse vaccination.
Moi pas du tout quand on connaît l’auteur qui l’a signé.
….à se demander pour qui il (ou elle) roule! …Laleina est à la fois un prénom masculin et féminin…cqfd. 🙂
Le Japon est tombé dans la même dérive que les gouvernements occidentaux, avec des mesures inefficaces et une vaccination qui ne donne aucun résultat. JE rappellerai qu’au mois de mars 2020, le Japon avait très bien su gérer l’épidémie en soignant les malades avec la chloroquine. Mais depuis 2021, subitement le Japon a préféré le vaccin et nous voyons des résultats déplorables. Pour maîtriser cette épidémie il faut soigner les malades. Aussi, est-ce que le gouvernement japonais est devenu aussi incompétent pu corrompu que les nôtres?
Tous ces “cas” sont-ils des malades ou seulement des tests positifs (inappropriés et non normalisés)?
Les tests créent l’épidémie, qui entraîne des injections supplémentaires, qui facilitent les contaminations…
@ Huger : tu as la réponse dans ta question! 🙂
Nous assistons au génocide des japonais par eux même, que voulez vous dire à ça sinon que l’année 22 est l’arcane du Fou.
Normal. Les pays les plus vaccinés sont aussi les plus infectés.
Les chiffres sont sans appel.
Des flambées de cas ne sont pas une épidémie. C’est ce qu’on tente de nous faire croire en france depuis deux ans et demi. Sans ces tests et ces vaccins qui favorisent l’infection il n’y aurait même plus d’épidémie. De plus les nouveaux variants sont de plus en plus bénins pour les non vaccinés mais curieusement les vaccinés eux y sont plus sensibles…..A rapprocher du discours officiel mensonger qui stipule que le vaccin vous protège et qu’il évite les cas graves !. Ce qui est grave c’est le niveau de mensonge de nos politiques et médias. Quand on regarde les statistiques officiellles en grande bretagne, on s’aperçoit que 90 % des décédés covid dans ce pays sont des vaccinés trois doses…..