Mercredi, la Commission européenne avait annoncé un "avenant à l'accord initial" qui permettra aux Etats membres d'acheter 1,25 million de doses du vaccin, bien loin des 60 millions de doses prévues dans le contrat initial. Cette baisse de volume des commandes de l'injection anti-Covid, VLA2001, par les Etats membres de l’Union européenne a entraîné la chute des actions de la société pharmaceutique française Valneva. Selon les experts, la perte est estimée à 15%.

Si la Commission européenne avait conclu avec Valneva un accord d’achat pouvant aller jusqu’à 60 millions de doses de vaccin d’ici à 2023. Mercredi 20 juillet, la Commission européenne a annoncé l’annulation de la quasi-totalité de sa commande de vaccin anti-Covid Valneva. Cette nouvelle déconvenue risque fort d’anéantir la valeur du produit. En Bourse, le titre de la biotech nantaise baisse de 9%, à 9,58 euros.
Plus que 1,25 million de doses
Suite à une révision du contrat d’achat, la Commission européenne n’achètera plus que 1,25 doses du vaccin anti-Covid-19 VLA2001 de Valneva. Pourtant, au départ, elle prévoyait de commander 27 millions de doses en 2022 et 33 millions de doses supplémentaires en 2023, soit 60 millions de doses sur une période de deux ans.
C’est une décision provoquée par le retard d’obtention de l’autorisation de mise sur le marché de l’EMA. La Commission européenne avait même prévu de rompre son contrat de fourniture de VLA2001.
Si Valneva avait déjà obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour son vaccin inactivé par la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) du Royaume-Uni le 14 avril, ainsi qu’une autorisation pour une utilisation d’urgence accordée par la NHRA du Royaume de Bahreïn. L’Agence européenne des médicaments (EMA) n’avait accordé une autorisation de mise sur le marché au vaccin anti-Covid-19 de la biotech franco-autrichienne Valneva pour une utilisation chez les personnes âgées de 18 à 50 ans, que le 24 juin dernier.
Valneva est la première société française à obtenir l’approbation de son vaccin contre le Covid-19. Mais à cause du retard, les pays membres ont décidé d’opter pour d’autres vaccins.
Cette baisse des commandes a plongé le cours de l’ action de Valneva, elle vient d’enregistrer une nouvelle perte de 15%.
La réponse de Valneva
Dans un communiqué, le directeur général de Valneva, Thomas Lingelbach, regrette cette réduction des commandes, qui selon lui ne reflète pas l’opinion des citoyens européens concernant le vaccin VAL2001. Il faut rappeler que c’est le premier vaccin à virus inactivé d’Europe, une solution vaccinale plus traditionnelle, comme celle déjà utilisée dans la fabrication des vaccins contre la grippe et la polio.
Lingelbach estime donc que le vaccin de Valneva constitue un meilleur alternatif aux injections anti-Covid à ARNm, mais également à ceux d’AstraZeneca et Johnson & Johnson, à vecteur viral, ou celui de Novavax, à protéine recombinante.
A noter que dans l’hypothèse où la Commission européenne décidait de résilier son contrat avec Valneva, la biotech ne sera pas obligée de rembourser les importants acomptes reçus. La société précise qu’en fonction des décisions qui seront prises, les prévisions pour 2022, à savoir un chiffre d’affaires situé entre 430 et 590 millions d’euros (contre 21,8 millions en 2021), seront toutefois, révisées.

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Bonjour,
On ne sait jamais, mais si il s’avérait que ce vaccin Valneva ne provoquait d’effets secondaires graves, la politique mortifère de nos dirigeants corrompus serait encore plus évidente.
Il me semble qu’une pharmacienne du CSI avait analysé les bénéfices/risques de toutes les injections.
Sa conclusion était claire et sans appel : elles ne fonctionnent pas contre le coronavirus et présentent des risques élevés d’effets secondaires, même celle de Valneva.
Combien de fois faut-il répéter que le VAXX n’est pas une solution viable, la seule étant le traitement précoce des malades ?
Y aurait-il des objectifs poursuivis par la Commission Européenne auxquels ce vaccin ne satisferait pas?