On se souvient qu’Ursula von der Leyen a commandé, dans une opacité qui justifie plusieurs procédures judiciaires, des milliards de doses de vaccins Pfizer contre le COVID. Pour l’instant, et dans un déni qui ruine toute crédibilité de l’Europe comme structure démocratique libérale, la Présidente de la Commission a refusé de faire la lumière sur ses échanges avec Albert Bourla, patron de Pfizer, en dehors des procédures arrêtées par le Conseil. Reste que la brièveté de la pandémie laisse sur le carreau plusieurs milliards de doses, et que différents pays comme la Pologne ou la Hongrie contestent l’obligation d’acquitter des commandes imposées par la Commission. Face aux résistances, Pfizer annonce poursuivre la Pologne… et la Hongrie devrait suivre. Jusqu’au bout, le contribuable européen sera le dindon de la farce dont on ignore encore quels bénéfices personnels Ursula von der Leyen a tirés.
On dira ce qu’on voudra, mais il y a un mystère, pour ne pas dire une bizarrerie, face au silence qu’Ursula von der Leyen maintient malgré les procédures judiciaires dont elle est l’objet, sur les conditions de son “deal” avec Albert Bourla, le patron de Pfizer. Son obstination à ne pas publier les SMS qu’elle a échangés avec ce partenaire entreprenant donne le sentiment qu’elle a quelque chose à cacher sur cette commande de plus de 50 milliards €, passée dans des conditions épinglées par la Cour des Comptes de l’Union.
Dans cette affaire, Bourla ne lâche rien. Alors que la Pologne et la Hongrie avaient refusé de payer les vaccins imposés par la Présidente de la Commission, le laboratoire installé aux Etats-Unis a décidé de les poursuivre judiciairement pour récupérer son dû. En l’espèce, Pfizer demande 1,2 milliard€ au nouveau gouvernement Tusk en Pologne, correspondant à des doses que le précédent gouvernement polonais refusait de payer pour cause de force majeure.
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Bourla peut bien essayer de faire condamner des pays comme la Pologne et la Hongrie… Ce n’est pas pour cela qu’il gagnera. Les frais d’avocats sont certes élevés, mais rien au regard des enjeux. A moins qu’il n’y ait une astuce quelque part, Bourla joue un jeu dangereux. Tout dépend de la juridiction compétente et des clauses négociées…. Espérons que cela lui revienne comme un boomerang en pleine….
Il y a un mystère et de heureux hasards. Vous pourriez aussi parler du mari d’Ursula promu à la direction d’une société US de biogenetique sans qualification avérée fin 2021 (c’est à dire peu après les contrats sur les vaccins…). Pour compléter le tableau, parlons de la vente à Nestlé d’une filiale de Pfizer et orchestrée par Macron quand il était chez Rotchild. Mystère mystère…
Et l’EMA se défausse, histoire de laisser les gouvernements (imbéciles…) assumer
https://www.profession-gendarme.com/aveux-de-lema-l-agence-lache-les-gouvernements/
Il y a un point dans les contrats qui permet de faire payer les labos: s’il y a eu fraude de leur part. Une piste serait de prouver que tous les lots ne sont pas identiques (certains labos l’ont montré et les stats du VAERS vont dans ce sens)
Il est rassurant pour le contribuable européen de voir des chefs de gouvernement refuser de payer des vaccins que leur état n’a ni commandés ni utilisés. Cela montre déjà qu’il n’ont pas de conflit personnel d’intérêt dans ces affaires.
La formidable Virginie Joron nous a dit que Eudravigilance dénombrait 12000 décès liés à la vaccination anti Covid ( en réalité 40000 et certainement beaucoup plus) et il faudrait payer le poison ? Nous exigeons des éclaircissements sur les négociations Bourla avec la Hyène et des réparations de Pfizer. Je conseille avec bienveillance à monsieur Bourla de s’installer en Israël, les ressortissants ne sont pas extradés.
En droit ça ne marchera pas. Le contrat passé avec l’Afrique du Sud prévoyait explicitement que fabricant ne s’engageait pas sur un taux de succès (forcément puisque les essais de phase 4 n’étaient toujours pas terminés !). J’imagine que pour l’UE c’est pareil…
En outre l’UE a garanti à Pfizer l’exonération de toute responsabilité quant aux effets secondaires. D’autres pays ne l’ont pas fait, par exemple l’Australie. Et en ce moment il se tient en Australie un procès fleuve contre Pfizer, chose impossible en Union européenne.
Donc au mieux vous pouvez vous retourner contre le gouvernement, et dans certains pays le gouvernement a déjà commencé à payer des dommages et intérêts aux victimes, mais contre Pfizer, dons l’UE on ne peut pas agir avec ces leviers-là (efficacité du vaccin, effets secondaires).
Sauf s’il y a fraude. Or, il y a fraude, le contenu des fioles ne correspond pas à celui d’un vaccin
https://twitter.com/KairosPresse/status/1727401581354856844
Von der Lhyene ET so son mari tout aussi corrompu.
De ce que j’ai cru comprendre par mes lectures il résulte que les états avaient la possibilité d’ajuster leurs commandes au besoin, et que donc le chiffre stratosphérique de 4.6 milliards de doses (dix doses par habitant) initialement prévu ne serait jamais atteint. Ouf !
En ce qui concerne la Pologne et la Hongrie, s’agit-il de doses reçues mais non utilisées, ou de doses non reçues ?
La Suède et l’Espagne, entre autres, ont jeté plusieurs millions de doses sans demander de réduction de prix…
Et la France essaie de s’en débarrasser en nous les injectant….
Les injections sont sûres et efficaces. Notre géographe ministre de la santé vient de le répéter.
En plus le cobaye injecté ne paie pas. Que du bonheur, mieux que Black Friday. En plus un masque papier bleu est offert.
Avant le charlatanisme médical ne s’opérait sporadiquement qu’au niveau local et affectait seulement crédules et naifs. Actuellement c’est au niveau des états voire du monde qu’il sévit. C’est vraiment le moment plus que jamais de s’inquiéter fortement de qui nous gouverne.
Payer et jeter plutôt que de risquer les essais thérapeutiques lorsque le sorcier trop gourmand oublie la médecine dont il se réclame? C’est une solution pour rester en bonne santé.
Chercher des poux dans la tête du petit “malin” de La finance ,qui se mêle d’une recherche avec de faux chercheurs et des expérimentations de bricoleurs (ressemblant à la mafia ou à la charrette du charlatan qui va soigner dans le farwest et qui s’enfuit tout de suite ), permet si l’on est bon juriste et organisé avec d’autres qui n’aiment pas se faire empoisonner ,une meilleure solution
Ici il est devenu assez riche pour acheter les décideurs.La seule solution est le procès où les victimes vont se réunir pour attaquer.
Nous avons de petites fripouilles malodorantes de très haut vol .
A moins que dans les événements qui se précisent , ils sont les grands nettoyeurs d’humanité pour se faire de la place et tiennent à gagner beaucoup avant qu’il ne reste plus grand monde avec leurs essais peu regardants. Les blattes font aussi de très efficaces nettoyages à leur niveau.
Et l’extraterritorialité du droit américain…Pfizer est ( au moins pour partie) une société américaine. L’état américain doit probablement être derrière Bourla.
Plus de 4 milliards de doses commandées, 768 millions injectées. Où sont les stocks et que sont-ils devenus ? Mon petit doigt me dit qu’ils seront vendus aux Africains une fois périmés.
Vous pouvez exiger tout ce que vous voulez : un contrat a été signé, et il est donc valide en droit. Si vous cherchez les responsable, ce sont les abstentionnistes de 2017 d’un côté et les dindons de la farce qui votent encore pour un parti de l’assemblée nationale de type LFI/RN/NUPES, quand Asselineau a largement expliqué les mécanismes de l’UE, l’esclavagisme subit aux américains, et le fait que l’UE est une machine à tout perdre : son fric, sa liberté, sa démocratie (c’est déjà fait puisqu’en 2022 les urnes ont été privatisées à coup de parrainages truqués), sa santé, ses autres services publics – etc. L’UE, c’est la mort, c’est la guerre, c’est les larmes et les cris. Et c’est ça qu’on nous impose depuis 31 ans, soit une génération de perdue déjà.