La Cour suprême entendra en mars des arguments concernant la légitimité des demandes du gouvernement aux géants des médias sociaux pour modérer la désinformation sur le Covid-19. La question sur la violation des droits des utilisateurs garantis par le premier amendement sera sans doute au cœur de ce procès. La première plainte a été déposée par le procureur général du Missouri, Eric Schmitt. Mais une série de plaignants a suivi son exemple plus tard. Les réseaux sociaux ont commencé leur vie comme une promesse de liberté, ils sont aujourd’hui des outils politiques au service des intérêts dominants de la caste.
En mars, la Cour suprême va entendre des arguments concernant le rôle du gouvernement fédéral dans la communication ou la censure d’informations sur la santé publique durant la pandémie. Cette action en justice, initiée par le procureur général du Missouri, soulève des questions cruciales sur les droits des utilisateurs et le rôle du gouvernement dans la communication en période de pandémie. En effet, il n’a échappé à personne qu’en pleine crise Covid, les réseaux sociaux ont réprimé les utilisateurs qui ne partageaient pas informations provenant de source gouvernementale.
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La liberté d’expression et des médias libres sont la base de la démocratie. C’est le sens du 1er et formidable amendement de la constitution américaine et ils ont une justice qui fonctionne encore. Nous attendons avec impatience l’élection de Trump et son plan pour remettre sur pieds l’Amérique que nous avons aimé celle d’avant 1991. Chez nous ce n’est pas l’opposition qui se charge du boulot mais la bonne vieille jacquerie médiévale. La gendarmerie a essayé de bloquer les tracteurs sur une autoroute, les paysans ont démonté les barrières de sécurité, traversé les fossés et roulé sur les routes secondaires. Ce sont des Hommes et des Femmes courageux et d’honneur.