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Les données provisoires publiées par l’Insee le vendredi 29 octobre dernier ont annoncé une hausse de 2,6 % des prix à la consommation en un an. Pourtant, selon Michel-Edouard Leclerc, on peut s’attendre à une inflation beaucoup plus forte, et ce, dès ce mois de novembre.
Dans la matinale de CNews, l’homme d’affaires alerte sur la hausse des coûts des produits alimentaires comme les pâtes, le café, les huiles et le cacao dans toutes les enseignes. Le lendemain sur France TV Info, le PDG de Carrefour, Alexandre Bompard a parlé d’un risque d’inflation sur les produits alimentaires en 2022.
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© 2023 Le Courrier des Stratèges
Comme pour la pandémie, mieux vaut une inflation qui dure qu’une inflation qui flambe. Tout dépend de la hausse des taux d’intérêt, rémunération du capital, qui s’additionne au taux d’inflation par l’augmentation des rémunérations du travail.
La presse à billets a toujours mené au pire, on peut donc penser sans trop se tromper que l’hyper-inflation a déjà passé le pas de la porte :/
Je constate déjà que lorsque je fais les courses, à vue de nez les prix ont augmenté de + 20% ces derniers mois. Comme je n’ai rien calculé, j’ai demandé à d’autres dans mon entourage, qui ont l’air tous d’accord. Alors ça va être terrible lorsque ce que dit Leclerc va se réaliser…
j’ai un peu de peine à penser qu’un commerçant soit inquiet de la hausse des prix…
Évidemment qu’il l’est ! Hausse des prix n’est pas hausse des marges, et le pouvoir d’achat de ses clients n’est pas extensible.