Anne Hidalgo a été prise d’un coup de chaud: se croyant dans un film américain de série B, elle accorde un entretien au journal Le Monde où elle répète plusieurs fois l’interjection américaine “F….”. Visiblement, le maire de Paris n’a pas d’autre argument à opposer à ceux qui critiquent les Jeux Olympiques. A moins que ce soit la m…..qu’elle a mangé en plongeant dans la Seine qui lui ressorte par les narines. En tout cas, le plancher du degré zéro de la politique est percé, Anne Hidalgo creuse, creuse…..
Madame Hidalgo a attrapé un gros coup de chaud en accordant un entretien au journal Le Monde.
Premier temps, les chevilles qui enflent. Le Maire parle de soi à la troisième personne:
« Il y a à la fois de l’admiration pour cette ville incroyable, que pas grand monde ne comprend, et en même temps l’orchestration d’une détestation de Paris. Pourquoi ? Parce que Paris, c’est la ville de toutes les libertés, la ville refuge des LGBTQI +, la ville où on vit ensemble, une ville où il y a une femme maire, de gauche, en plus d’origine étrangère et binationale, en plus féministe et écologiste. »
Deuxième temps: des chevilles, c’est monté à la tête!
« Fuck aux réacs, fuck à cette extrême droite, fuck à tous ceux qui voudraient nous enfermer dans la guerre de tous contre tous ! »
L’aveu
Troisième temps, Anne Hidalgo finit par avouer que le réel ne l’intéresse pas; elle est purement dans la communication:
« Tous les populistes, d’extrême droite, libéraux ou d’extrême gauche, entrent par la même porte : abîmer, détruire une image et appuyer sur le petit fait ou le fait réel, qui fait qu’on va amplifier le message négatif qui va tourner, tourner, tourner. »
Vous avez bien lu! Le problème, ce sont les faits qu’utilisent les populistes. Ils brisent le consensus des images fabriquées par le pouvoir.
Plonger dans la Seine n’a pas réussi à Madame le Maire
Il y avait eu Sarkozy et son “Casse-toi, pov’c…!”. Macron et sa volonté d’ “emm. les non-vaccinés”. Madame Hidalgo fait encore plus fort: elle parle américain, elle!
Elle est même bilingue depuis qu’elle a plongé dans la Seine. Toutes les cochonneries qu’elle a avalées dans ce fleuve non nettoyé ressortent sous forme d’une interjection monosyllabique, et en anglais, en plus.
Il n’est pas certain, cependant, qu’on ait touché le fond: entre “Le Monde” qui publie un truc pareil, les autres médias qui s’extasient, l’abaissement de notre pays par ceux qui sont censés le représenter continue selon une ligne de plus grande pente.
Pas un mot sur la présence réelle d’Escherichia coli en nombre dans l’eau de Seine alors que même le WSJ en parle le 30/07/2024 et du coût d’assainissement de 1,5 milliards. Le report du tri-athlon et les malaises des athlètes sont sans relation avec la prolifération d’E. coli, pas plus que les innondations en amont de la Seine bienvenues pour éviter la montées des eaux. Il s’agit bien du déni de réalité qui est devenu la règle d’or des responsables inefficaces mais jamais coupables. Où est donc passé l’esprit cartésien rationnel qui a fait la force des français pendant 3,5 siècles?
Dire qu’on avait pensé toucher le fond lors du quinquennat Hollande!…
J’étais comme vous. Je croyais qu’il n’était pas possible de faire pire que Hollande. Mais si ! avec nos sinistres politichiens, il est toujours possible de faire pire. Et si nous pensons avoir toucher le fond avec Macron, ne nous illusionnons pas : quel que soit son successeur, mâle, femelle ou hybride, le pire est encore devant nous.
Le maire de Paris a désormais deux bouches à merde.