Mardi dernier, le régulateur européen a annoncé qu’il donnera suite à la demande d’autorisation de Merck concernant son médicament anti-Covid d’ici quelques semaines. Connu sous le nom de molnupiravir, il portera le nom commercial Lagevrio. Pour rappel, le Ministre de la Santé Veran n'a pas attendu les autorisations de mise sur le marché pour passer commande de 50.000 doses. Le Département américain de la santé a quant à lui, pré-commandé pour plus d'un milliard de dollars du molnupiravir en cas d'obtention d'une AMM accélérée.
Verdict dans quelques semaines
Avec plusieurs phases d’essai, dans un communiqué de presse, Merck a fait part des résultats obtenus après la phase III, étape représentant la dernière ligne droite avant la commercialisation.
Le géant pharmaceutique Merck a transmis les résultats des études cliniques sur son médicament antiviral molnupiravir au régulateur européen. Il a demandé en même temps l’autorisation de mise sur le marché européen de la pilule qui sera commercialisé sous l’appellation Lagevrio.
Dans un communiqué, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré qu’elle va mener un examen accéléré des bénéfices et des risques du comprimé de Merck. Si les données transmises par le laboratoire pharmaceutique sont assez complètes et solides, elle pourrait donner son avis dans quelques semaines.
Le régulateur européen a aussi ajouté que si les avantages du Lagevrio sont plus importants que ses effets secondaires, il va recommander l’autorisation de mise sur le marché européen du produit à la Commission européenne.
Une approbation en cas d’urgence
Selon le géant pharmaceutique Merck, la pilule anti-Covid Lagevrio peut stopper la multiplication du coronavirus dans le corps. Le traitement est destiné aux personnes qui n’ont pas besoin d’oxygène supplémentaire et qui pourraient développer les formes graves du Covid-19.
En d’autres termes, ce médicament élaboré par Merck pourrait prévenir le risque d’hospitalisations et de décès des patients « à risque ». Tout ceci est affirmé en passant largement sous silence les effets secondaires du médicament, déjà connus.
Actuellement, l’Europe fait face à une nouvelle vague de contaminations. Le nombre de cas d’infection augmente considérablement. Vendredi dernier, le régulateur européen a approuvé l’utilisation du médicament antiviral de Merck en cas d’urgence. Cela signifie qu’on peut se servir de la pilule même si la Commission Européenne n’a pas encore donné son feu vert.
Un nouveau marché juteux pour les laboratoires pharmaceutiques
Il faut souligner que le régulateur européen a aussi entamé l’examen de la pilule anti-Covid Paxlovid de Pfizer.
Après les vaccins, avec un marché qui n’attend qu’à être conquis, les laboratoires pharmaceutiques se lancent désormais dans une course haletante sur les traitements pharmaceutiques anti-covid. Mais comme avec les vaccins, les entreprises pharamaceutiques , grandes gagnantes de la crise sanitaire, fait fi des effets secondaires et de la dangerosité de leurs médicaments.
Pour rappel, Merck a déjà obtenu un pré-achat de 1,7 million de doses d’antiviral au Département américain de la Santé qui s’est engagé à acheter pour 1,2 milliard de dollars du produit. Le prix d’une dose s’élèverait donc à 700 dollars soit environ 603 euros. La France elle, a fait une commande de 50.000 doses se chiffrant à environ 35 millions d’euros.
“Un examen accéléré” en d’autres termes, une probable autorisation dans la plus grande précipitation avec un doute sérieux de porosité entre les labos et les gouvernants.
Ils peuvent se la prendre en suppositoire leur gélule – les mutagènes cancérogènes, c’est sans moi.
Est-ce que ces nouvelles saloperies vont être obligatoires ?
Avec toute cette affaire, je ne crois plus les autorités, zéro, et dorénavant j’éviterai d’aller voir un médecin autant que faire se peut. Sinon Dieu sait quelles autres saloperies ils voudraient me prescrire, pour satisfaire les intérêts des labos.
Avis à tous les labos qui auraient une “daube ” dans leurs fonds de tiroirs l’europe achète ainsi que toute dette privee et publique. Tout ça sur l’air d’ Offenbach” on va s’en foutre, foutre, jusqu’à là”
Cerise sur le gâteau déjà très amer de ce “médicament” soupçonné d’être cancérigène :
=> Son efficacité contre les “formes graves” était annoncée par un communiqué de presse il y a quelques jours à 50% au moins, sans aucun document détaillé.
=> Le dossier officiel de demande d’autorisation indiquerait finalement que 30%…
Ceci explique pour les “gouvernants” en ont commandé en urgence dans un cadre flou d’utilisation expérimentale car, maintenant, même pas sûr qu’elle obtienne l’AMM, même conditionnelle.
Exactement comme la commande de 1 milliards € pour le Remdevisir trois jours avant que l’OMS n’indique qu’il ne servait à rien et était dangereux.