Selon nos informations, la Chine aurait bloqué les exportations de masques vers l’Occident, en représailles aux déclarations de Donald Trump et des gouvernements occidentaux. Cette décision, encore officieuse, n’a pas fuité dans la presse et aurait été levée aujourd’hui. Elle a provisoirement retardé les livraisons de masques et autres appareils médicaux. Le bras de fer commence.
Selon nos informations, les plates-formes logistiques ont été bloquées en Chine entre vendredi et lundi, et les commandes de masques ne pouvaient être expédiées en Europe et aux États-Unis par une décision unilatérale non publiée du gouvernement chinois. En représailles aux propos de Donald Trump et des gouvernements européens (France et Grande-Bretagne en particulier) sur l’origine du virus, la Chine aurait donc décidé de montrer sa puissance en rappelant à l’Occident toute sa dépendance vis-à-vis de la production chinoise.
La Chine pourrait ruiner les stratégies de déconfinement
Alors que l’Occident entame les réflexions sur son déconfinement, et prépare politiquement des plans de retour à la normale, le grain de sable chinois pourrait se révéler redoutable pour leur mise en oeuvre. Sans un équipement massif en masques, les pays d’Europe et les États-Unis ne pourraient en effet déconfiner sans exposer leur population à une redoutable seconde vague d’épidémie.
Nul ne sait comment pourrait se dérouler une deuxième vague “aiguisée” par une pénurie de masques. La Chine le sait, et utilise visiblement de façon maximale les armes dont elle dispose pour faire plier les Occidentaux.
Royaume-Uni : la fin de la vaccination Covid pour les femmes enceintes
Le Comité mixte britannique pour la vaccination et l’immunisation (JCVI) a annoncé la suspension des vaccins Covid gratuits pour les femmes enceintes à compter du printemps 2025. Une décision qui soulève de « vives inquiétudes » chez les experts de la santé britanniques. Pourtant, à ce jour, les autorités sanitaires n’ont jamais pris le soin d’expliquer en détail ni d’argumenter le “bénéfice-risque” du vaccin sur les femmes enceintes. Au contraire, des études antérieures ont confirmé la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes. En 2025, le Royaume-Uni prévoit de retirer les vaccins Covid gratuits pour les femmes enceintes dans le cadre de son programme national. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires ont continué leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. Les femmes enceintes bientôt exclues des bénéficiaires Le Royaume-Uni a pris la décision de ne plus proposer des vaccins contre le Covid-19 gratuits aux femmes enceintes à compter du printemps 2025. Cette recommandation a été annoncée par le JCVI mercredi dernier. Notons que cette nouvelle mesure a été prise en tenant compte des résultats d’une enquête. Ils ont révélé qu’on n’a enregistré aucun décès lié au Covid-19 chez les femmes enceintes au cours des 18 derniers mois. Selon les résultats de l’enquête, les effets des vaccins contre le Covid-19 pour les femmes enceintes et les nourrissons restent également inconnus. Relance du narratif de la protection par les injections COVID Cette décision est fortement critiquée par les experts de la santé, selon eux, les femmes enceintes font partie des personnes vulnérables. Le fait d’être atteint de Covid grave pendant la grossesse pourrait générer une fausse couche, une mortinatalité ou bien un accouchement prématuré. Sans surprise, ces experts entretiennent le même narratif de la protection des injections. Selon ces derniers, à l’approche de la saison froide, le risque de maladies respiratoires est élevé, ils « recommandent fortement » à toutes les femmes enceintes de se faire vacciner et de recevoir la dernière injection de rappel, ajoutant que les vaccins sont sans danger pendant la grossesse et l’allaitement. Selon eux, des études auraient révélé que la plupart des nourrissons atteints du Covid-19 hospitalisés et qui sont décédés sont nés de mères non vaccinées. Comme les Américaines, les britanniques sont de plus en plus rétifs à recevoir une nouvelle injection anti-covid. La fatigue liée aux rappels en est la cause. De plus, une étude The Lancet a même fait état de la présence de l’ARN des vaccins Covid dans le lait maternel humain. Nous l’avons évoqué, le Dr Pierre Peterson a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté (environ 2000%) depuis la mise à disposition des vaccins Covid.
Ad Astra : Musk dessine l’école du futur
Elon Musk , père de dix enfants, est avant tout un génie créatif au succès phénoménal dans ses entreprises high-tech. Elitiste, Elon Musk ajoute une corde à son arc en lançant une école Montessori privée, « Ad Astra », (« Vers les étoiles » en latin), dans le comté de Bastrop au Texas, ou il réside désormais. Pour Elon Musk, le modèle scolaire traditionnel a montré ses limites, les élèves peinent à apprendre parce qu’ils ne saisissent pas pleinement le sens de ce qui leur est enseigné. Avec l’ouverture d’« Ad Astra », Elon Musk repousse une fois de plus les frontières de l’innovation, en mêlant exploration, apprentissage et pratique, qui pourrait redéfinir l’approche de l’enseignement aux jeunes enfants. Une visite sur le site internet de l’école, laisse une impression déconcertante : l’univers qui y est présenté semble tout droit sorti de l’espace. C’est l’école du futur dont rêve le fantasque, Elon Musk. L’homme le plus riche du monde a fondé deux écoles privées, principalement réservées à ses enfants et à ceux des cadres de SpaceX. Ces établissements, nommés Ad Astra restent extrêmement confidentiels, avec seulement quelques dizaines d’élèves. Pour stimuler la curiosité et l’épanouissement des élèves, Elon Musk propose de révolutionner le modèle éducatif en abandonnant le système traditionnel « à la chaîne » ou « fordisme », où les élèves passent d’une année à l’autre en suivant un programme uniforme. À la place, il prône une école plus engageante, adaptée aux intérêts et aux aptitudes de chacun, permettant aux élèves de progresser à leur propre rythme dans chaque matière. Un autre pilier de sa vision éducative est de privilégier l’apprentissage par la résolution de problèmes plutôt que l’étude isolée des outils. Il illustre cette idée par un exemple pratique : au lieu d’apprendre l’usage des tournevis ou des clés à molette en théorie, les élèves commenceraient par démonter un moteur. Ainsi, les outils prennent tout leur sens dans leur utilisation concrète, rendant l’apprentissage plus pertinent et motivant. La vision de l’école selon Musk L’école maternelle « Ad Astra » (latin pour « vers les étoiles »), construite sur une propriété proche des installations de Musk dans le comté de Bastrop, a obtenu son permis initial pour ouvrir ses portes. Ce projet marque une nouvelle étape dans la vision éducative de Musk, avec un accent sur les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STIM). Conçue pour accueillir initialement 24 élèves âgés de 3 à 6 ans, l’école se distingue par une pédagogie axée sur l’exploration et l’apprentissage pratique. Les enfants y découvriront le dessin, la fabrication de collages, la géographie et même des tâches du quotidien, comme balayer ou résoudre des conflits. L’approche pédagogique : entre Montessori et innovation Inspirée des méthodes Montessori, « Ad Astra » propose un programme alliant périodes de travail et de jeu, mettant en avant l’apprentissage auto-dirigé et le développement de l’autonomie. Les enfants apprendront à interagir avec leur environnement grâce à des activités pratiques, telles que la manipulation de globes et cartes, la construction de mots ou encore l’apprentissage des bonnes manières. À l’extérieur, un terrain de jeux équipé de tricycles et d’un terrain de basket offrira aux élèves des moments de détente et de socialisation. L’école s’inspire également des travaux de psychologues comme Alfred Adler, visant à former des membres responsables et ingénieux de la société. Un projet ambitieux et une vision élargie Le projet « Ad Astra » ne s’arrête pas à cette école maternelle. Financé par la Fondation Musk, il prévoit d’évoluer vers une école primaire et secondaire accueillant jusqu’à 54 élèves, avec une possible expansion pour répondre aux besoins de la communauté locale. À long terme, une université pourrait également voir le jour. L’initiative s’inscrit dans la continuité d’efforts passés, tels que l’école « Discovery Preschool » près du campus SpaceX, et reflète la vision unique de Musk pour l’éducation. Cependant, des défis administratifs ont marqué les débuts du projet, notamment des retards dans les inspections et des erreurs dans les documents officiels. Le milliardaire libertarien semble avoir tout planifié, y compris l’ouverture d’une université au Texas, qu’il envisage comme un lieu dédié à « l’éducation au plus haut niveau ». Selon lui, un diplôme universitaire est devenu inutile, se résumant à apprendre à « travailler dur pour rendre à temps des devoirs ennuyeux » et à « socialiser avec des gens de son âge ». Il souligne que toute la connaissance est désormais accessible gratuitement en ligne. Pour appuyer son point de vue, il cite souvent l’exemple de figures emblématiques comme Bill Gates, Steve Jobs et Larry Ellison, qui ont tous abandonné leurs études supérieures pour se concentrer sur leurs ambitions
L’élection de Trump a révélé que l’Etat profond ne contrôlait plus l’opinion publique, par Alexandre N
L’occasion est beaucoup trop belle et rare pour la laisser passer : comment ne pas se réjouir de l’élection de Trump quand on est encore sain d’esprit dans un monde où il en reste peu ? Mais ceci étant dit, la vraie raison n’est pas vraiment celle qu’on imagine. À l’extérieur, il jouera bien sûr les fier-à-bras en menaçant d’abord mais en plus fort la Russie, tout en agitant sa pauvre armée si wokisée qu’elle en perd tous ses soldats qui savent combattre ( HORRESCO REFERENS ). Bref, je ne vois pas vraiment une révolution dans la politique étrangère américaine. Retour des double-jeux : une équipe familière Sur la question du Moyen-Orient, on le sait déjà totalement bloqué : il ne pourra donc faire qu’aggraver la situation de ceux qu’il prétend défendre tant il est clair qu’il n’est pas libre des jeux de l’Etat profond sur cette question aussi explosive. Pour l’aider autour de lui aussi, probablement les types à double-jeux qui l’entouraient déjà dans son mandat précédent. Dans un tel pays que le sien – c’est à dire une démocratie « exceptionnelle » tempérée par l’assassinat des présidents , il n’est en effet pas question de changer une équipe qui gagne, et donc Poutine ( HORRESCO REFERENS[i] ) a dit un jour[ii] : Certes, mais cela se limiterait-il aux États-Unis ? Le véritable effet Trump Le véritable « effet Trump » se situe en fait bien ailleurs qu’autour de sa simple personne et en bien plus intéressant . Le premier effet est qu’il gagne des élections malgré la montagne de tromperies organisées sous ses pieds par un blob omni-puissant, relayé par sa structure émergée qu’est le parti démocrate – soit la « gauche », cette bien pensance inoxydable qui pourrit tout, ainsi que par les 400 agences gouvernementales. Comment expliquer cela ? Forcément, dans l’équipe du candidat Trump il n’y avait pas que des manchots, et tout aussi forcément n’ont-ils eu qu’à trouver les bonnes contre-mesures aux immondes manipulations [iii] qui ont présidé à l’élection de 2020, année de l’érection à la célébrité ultime de son désormais futur prédécesseur. Première conclusion d’évidence : le blob malgré le fait qu’il a, entre autres, la CIA et le FBI dans sa poche, n’est pas aussi puissant qu’il y paraît – ce qu’en fait, mais ne le répétez pas, on savait déjà. Le “Blob” (appelé aussi Deep State) s’est tiré une balle dans le pied Donc Trump a d’abord vaincu le blob au travers de son élection, mais en est-il vraiment responsable ? Pas vraiment en fait car c’est le blob lui-même qui dans son infinie arrogance s’est bien tiré une balle dans le pied. Le blob, comme on fait semblant de ne pas le savoir, est cette cabale particulière qui dirige de fait l’Amérique tout comme il aspire à le faire pour le reste de la planète mais sans qu’on sache que c’est vraiment lui qui dirige. À chacun ses pudeurs. Le phénomène n’est en fait pas vraiment nouveau dans l’histoire sauf que dans le cas américain il a pris une dimension totalement hors normes et pour dire le vrai, insupportable. C’est bien sûr le blob qui commandite les guerres actuelles ( et les autres aussi ), en se contentant de distribuer les dollars pour que d’autres fassent le reste. Mais le blob, c’est aussi une sorte de religion et comme tels, il a besoin d’hérétique pour asseoir son vrai pouvoir et Trump est un de ceux là et même le plus important. Le pourquoi nous échappe puisque Trump est lui-même du blob , tout comme le blob – qu’on appelait alors establishment – déjà a trumpisé Roosevelt en son temps. Le blob diabolise donc l’homme Trump en 2016 quand celui-ci – contre toute attente – « vole » l’élection présidentielle au gang Clinton – un des gangs du blob – en humiliant au passage Hillary, une sorte de réincarnation de Mahaut d’Artois[iv] .Or Trump n’y est pour rien : Hillary qui gagne en voix, perd cependant en nombre de grands électeurs suite à un croche-patte du gang adverse, celui d’Obama. Le Blob a perdu le contrôle de l’opinion américaine et c’est une très bonne nouvelle Mais contre toute attente, Trump résiste à 8 années d’une diabolisation d’une férocité si abusive que la majorité de l’opinion américaine en tombe alors dans son escarcelle – ce que vient bien de confirmer sans contestation possible son élection. Mais que s’est-il vraiment passé ? Simple : le pouvoir du blob ne repose QUE sur le contrôle absolu sur l’opinion qu’il croit détenir au moyen de tous les médias, que d’une part il possède sans partage, et qui de l’autre parviennent à exercer une censure effectivement si absolue en apparence que plus une voix discordante ne dépasse sauf à ses risques et périls. Avec l’opération covid, ces médias qu’on dit désormais mainstream atteignent cette perfection de fossoyeurs absolus de la liberté d’expression comme de penser. Fort d’une telle certitude jusqu’à la veille du scrutin et grâce aussi à l’habile neutralisation, qu’ils ignorent, de tous les truquages qu’il avaient prévus, le blob et ses démocrates chutent littéralement de leur piédestal et avec fracas inégalable dès lors que rapidement tombent les résultats sans aucun appel possible. Ô rage, ô désespoir, le micro n’avait pas donc d’oreille ! La déroute est Kolossale, le mythe du blob est en grande partie tombé : non il ne contrôle pas l’opinion, c’est l’opinion qui ne l’écoute plus et c’est en cela que tout a changé et que l’effet Trump est du plus haut intérêt. Certes le blob va se revancher, mais pour cela il ne lui reste plus que la seule voie par deux fois déjà empruntée pendant la campagne et qui a échoué. La seule alors d’y échapper est que la CIA a tenté – et échoué -d’assassiner Castro 638 fois. Alors peut-être y en a-t-il à l’épreuve des balles ? Ceci étant dit, il n’est pas de meilleure voie que celle-ci pour déclencher la guerre civile aux USA, alors avis aux têtes-brûlées. Le plus important n’est cependant pas ce qu’il se passe aux Etats-Unis; il est dans les répercussions internationales où ils sont pour le coup suffisamment haïs pour qu’on ne s’en réjouisse pas – sauf en Europe bien sûr, où l’avilissement américanolâtre est encore plus insondable. L’effet Trump a déjà fait tomber le gouvernement de Herr Scholz En tout état de cause, l’élection de Trump a déjà fait un mort en Europe. Ce mort est le gouvernement allemand de Herr Scholz car il n’est plus capable de supporter la déchéance économique organisée par lui, ses verts et ceux qui ont détruit sciemment son NS II. Or l’histoire enseigne que quand l’Allemagne va mal l faut s’en inquiéter mais on en est qu’au début. Il en est aussi – mais ce sont des mauvais esprits – qui disent que l’élection aurait fait aussi un imbécile en Europe : la France où l’élection de Trump comme le nuage de Tchernobyl en son temps a manifestement longé les frontières pour éviter d’y entrer. Les mêmes suggèrent de plus que les mânes désormais orphelines du futur ex-président y soient accueillies pour y être adorées comme il se doit, et par exemple sous la pyramide du Louvre où l’ex-dieu de la gauche française n’a pas condescendu à se faire momifier. Il y aurait là bas parait-il des foules d’adorateurs impatients. Il est cependant encore trop tôt pour « sentir » pleinement les répercussions qui ne manqueront pas d’être redoutables, et il ne fait nulle doute qu’elles se signaleront en Ukraine, au Moyen-Orient, à Taïwan et dans beaucoup d’autres endroits où le blob trônant en majesté sur ses médias fossoyeurs de la liberté de pensée ainsi que pas mal d’agences et autres organisations malsaines distillent encore leur chaos. Dis plus clairement et du point de vue stratégique et même géopolitique, le brouillard de la guerre soudain s’est levé, et par conséquent c’est le soleil d’Austerlitz qui va apparaître, mais pour qui au fait ? Si pour l’instant rien ne paraît avoir changé, tout va bien changer dès lors que l’assourdissante voix propagandiste de mainstream ne sera plus audible. Et quelle claque enfin pour sa clique de « folliculaires m….»[v] comme les appelait Lénine et dont peut-être il faut songer à accélérer le remplacement par l’IA. [i] On doit frémir en prononçant ce mot [ii] En 2017 à un journaliste français qui donc n’était pas vraiment en capacité de comprendre [iii] En fait, une demi-armée d’avocats y a pourvu [iv] Voir « Les rois maudits » de M. Druon [v] Devinez quoi
Allègements de cotisations : quand la caste adore smicardiser la France
Dans l’ordre des injonctions paradoxales (ce qu’on peut appeler les larmes de crocodile) et mythologiques de la caste, la question de la smicardisation de la France tient une place éminente. Et c’est bien vrai que, de coups de pouce en revalorisations, le SMIC a fini par rattraper la plupart des salaires français jusqu’à produire un sentiment de déclassement très répandu. Dans les faits, 40% des Français gagnent moins de 2.000€ nets par mois. Pratiquement 2 Français sur 3 gagnent moins de 2.500€ par mois nets. La caste adore faire croire que cet écrasement des Français par le bas lui fait horreur. Pourtant, caste de droite comme caste de gauche s’entendent pour continuer cette douloureuse torsion qui déprime le pays. La preuve : les amendements portés par le Sénat à la réforme des allègements de charge proposée par le gouvernement. Vous trouverez plus d’infographie sur Statista Réglons d’abord un problème de sémantique. C’est par abus de langage qu’on parle d’allègement de charges… l’expression précise, s’agissant de la réforme proposée par le gouvernement en loi de financement de la sécurité sociale est “allègement de cotisations patronales”. C’est une invention très française, qui date des années 90 et de “l’incompressibilité” du chômage de masse. Dans les faits, au fur et à mesure que les gouvernements ont empilé les nouvelles “protections” et les nouveaux “droits” depuis Giscard, et surtout sous Mitterrand, le poids des cotisations sociales est devenu écrasant. Il explique sans doute le décrochage progressif du salaire moyen en France par rapport aux autres pays industrialisés, et ce sentiment diffus d’une réduction du salariat à l’esclavage. Personne n’a jamais osé dire aux salariés le vrai prix à payer pour cette conquête permanente de nouveaux droits et de nouvelles protections : elle provoque le chômage de longue durée en excluant progressivement les salariés les moins productifs et les moins qualifiés. Le renchérissement colossal du coût du travail a rendu les employeurs exigeants : ils en veulent pour leur argent, et ne se hasardent plus à recruter des salariés fragiles ou “risqués” qui pourraient leur coûter plus cher qu’ils ne rapportent. Sur ce point, les allègements de cotisations ont constitué un rafistolage à la va comme je te pousse : concentrés historiquement sous 1,6 SMIC, ils visaient à rendre un peu de compétitivité aux salariés les moins qualifiés, soumis à la concurrence directe des travailleurs chinois, roumains, bulgares, marocains. Un nudge social destructeur Selon l’art consommé de la France pour sédimenter dans la roche des dispositifs de plus en plus compliqués, ces allègements conçus dès les années 90 se sont progressivement étoffés et étendus à des catégories de revenus plus élevés. Pour une raison simple : l’allègement de cotisations est un nudge, un “coup de pouce” qui incite à tasser les salaires vers le bas. Donc, pour éviter la smicardisation, comme on dit, il a fallu redonner de l’oxygène aux grilles salariales en proposant quelques allègements au-dessus de 1,6 SMIC. Insistons sur un point : cette politique a procédé par à-coups, selon un pilotage à vue, des arbitrages au cas par cas, qui sont le malheur de notre pays. Car, comme l’a constaté le rapport Bozio commandé par Elisabeth Borne du temps où elle était à Matignon, les différents allègements en arrivent à coûter 80 milliards à la Sécurité Sociale, sans que personne ne pilote vraiment ce dispositif, ni sans que personne ne le comprenne dans sa globalité. Chaque gouvernement, au gré des aggravations du chômage ou au gré des éclaircies, a porté sa pierre à un édifice de plus en plus foisonnant et de moins en moins clair. 80 milliards de cotisations en moins… pour inciter à recruter, désormais jusqu’à 3 SMIC, même si l’essentiel des allègements continue à se concentrer sur le plafond de 1,6 SMIC, ce terrible couperet de la “smicardisation” qui dissuade les patrons français d’augmenter les salaires, et qui constitue donc une trappe à frustration pour au moins 50% de nos salariés. Au fond, le mal français est contenu dans ce chiffre. D’un côté, on promet la lune sans oser dire aux gens que la lune a un coût. Quand la réalité rattrape les démagogues, au lieu de changer des règles intenables, ils préfèrent inventer des “incitations”, c’est-à-dire des contournements partiels des règles qu’ils ont eux-mêmes mises en place. Un jour, le système devient si compliqué que plus personne ne le comprend. Et surtout, il produit ses effets pervers : le système ne fonctionne plus selon son intention initiale. Il n’existe plus que par et pour ses contournements. En France, on ne recrute plus un salarié au niveau qu’il mérite, mais bien au niveau qui permet de baisser son coût. Durablement, l’allègement de cotisations pervertit les règles du recrutement et pénalise les salariés tout en faisant mine de leur donner de nouveaux droits… La caste adore smicardiser les Français Ces effets pervers du nudge social sont parfaitement connus. Si l’on annonce à un employeur qu’il paiera le plein pot des cotisations au-dessus de 2.000€ de salaires, mais qu’il bénéficie de facilités sous 2.000€, il choisit naturellement, sans se poser de questions, en quelque sorte, de recruter sous 2.000€. Il aura fallu attendre plus de 30 ans de pratique d’allègements pour qu’un gouvernement se décide à remettre les choses à plat et à redonner un peu de cohérence à l’ensemble. En l’espèce, c’est la démarche qu’Elisabeth Borne a suivie, et que Barnier a entrepris de casser méthodiquement. Ce n’est pas que nous portions Elisabeth Borne dans notre coeur, mais enfin, elle a eu le courage de s’attaquer à un problème en chargeant des mathématiciens d’étudier la question avec une vraie intelligence. Dans cet esprit, le rapport Bozio proposait de désamorcer les grenades de la smicardisation, en lissant les effets de seuil qui tirent tout le monde vers le bas. Il n’avait pas compris, le petit Bozio, le caractère sensible, voire explosif, de son idée. Et il n’avait pas compris que la demande officielle de lutter contre la smicardisation voulait en réalité dire qu’il ne fallait surtout pas résoudre le problème. Tel est le mode de fonctionnement de la caste : je méprise le peuple, je me plais à l’écraser, mais pour sauver les apparences et pouvoir agir en toute impunité, je professe des valeurs généreuses à rebours de mes convictions profondes et de mes actes. Le débat sur la loi de financement de la sécurité sociale l’a montré. Tout ce que la France compte de pharisiens s’en est donné à coeur joie. La France Insoumise, qui a besoin de smicards frustrés et en colère pour avoir des élus, a fait “sauter” le dispositif en parfaite intelligence avec la droite qui méprise ouvertement les pauvres. Sous le couvert de ne pas ruiner la sécurité sociale, la droite sénatoriale vient de supprimer les allègements au-dessus de 2 SMIC. C’est pire encore que la proposition Barnier qui visait à réduire ces allègements de 4 milliards au-dessus de 1,6 SMIC. Constatez bien que le mépris social, l’appétence pour la smicardisation n’est pas un réflexe spécifiquement de droite. C’est un réflexe de bourgeois, et le bourgeois peut être de gauche comme de droite. Selon qu’il est de gauche ou de droite, il justifie son goût pour la smicardisation avec des mots différents. Mais, si l’emballage change, le produit reste le même. Il faudra pourtant bien, tôt ou tard, nous enlever du pied, aussi douloureux cela soit-il, les épines de la souffrance sociale minutieusement plantées par la caste depuis plus de 30 ans.
Elon Musk prêt à rencontrer Alex Soros après ses critiques sur la victoire de Trump
Ce n’est pas la première « altercation »entre Musk et l’emprire Soros. L’année dernière, Elon Musk, accusait le père, George Soros, fondateur de l’« Open Society Foundation » de vouloir « la destruction de la civilisation occidentale… Soros me rappelle Magnéto ». En référence au« super-vilain » des X-Men, pour lui, Soros « déteste l’humanité ». Farouchement opposé au retour de Trump, Alexander Soros, fils du milliardaire George Soros et président des Open Society Foundations, âgé de 39 ans, a affirmé que Donald Trump ne disposait pas d’un « mandat puissant » pour gouverner, vu sa faible victoire. Musk, répondant à ce message, a écrit : « Je serais curieux de mieux comprendre vos objectifs. » Elon Musk, futur ministre de l’Efficacité gouvernementale de l’administration Trump, s’est dit prêt à le rencontrer. L’année dernière, Musk a promis de poursuivre le « philanthrope » de l’Open Society pour avoir organisé la censure dans les médias occidentaux, et il l’a aussi accusé de « haine de l’humanité et de saper les fondements de la civilisation ». Ce dernier avait répondu : «lorsqu’ils veulent blâmer quelqu’un, je suis l’homme de la situation», certains médias mainstream ont vite dénoncé des sous-entendus antisémites. En effet, comme George Soros, le personnage de Magnéto est également un survivant de l’Holocauste. Le milliardaire d’origine hongroise a aussi été accusé par certains partisans de Donald Trump d’avoir « sélectionné et financé » le juge responsable de son inculpation . Musk veut rencontrer Alex Soros Alex Soros, âgé de 39 ans, a réagi à une discussion politique sur X (anciennement Twitter), où il a affirmé que Donald Trump ne disposait pas d’un « mandat puissant » pour gouverner, vu l’étroitesse de sa victoire. Pour ce dernier, « il s’agissait d’une élection serrée. Ce n’est pas une surprise ». Musk, répondant à ce message, a écrit : « Je serais curieux de mieux comprendre vos objectifs. » Cette proposition a ouvert la porte à un échange entre les deux hommes, marqué par une réponse d’Alex Soros : « J’apprends souvent le plus de personnes dont les opinions diffèrent des miennes. Ouvert à la réunion. » Soros contre la nomination RFK Jr Le patron de Tesla a déjà accusé le père d’Alex Soros, George Soros de « dégeler l’humanité » et l’a comparé à « Magnéto », le « super-vilain » des bandes dessinées X-Men. Mais cette prise de bec entre les deux milliardaires est surtout liée à une récente déclaration d’Alex Soros, qui partage globalement les mêmes opinions politiques que son père. Ce dernier a critiqué le projet de Trump de nommer Robert F. Kennedy Jr comme secrétaire à la Santé et aux Services sociaux. « Ils jouent avec le feu ! Les Américains seront foutus s’il y a une autre pandémie ! », a-t-il écrit sur X. Musk a évidemment défendu le choix du président élu en répondant que c’est scandaleux. Musk, qui soutient Robert F. Kennedy Jr., n’a pas hésité à qualifier la gestion passée des pandémies de « Scamdémic ». Les partisans de Musk sont contre sa rencontre avec le dirigeant de la société qui a financé les progressistes dans tout le pays. Un utilisateur du réseau social X a déclaré « ne rencontrez pas le diable ! », mais d’autres voient en cette rencontre « une opportunité stratégique ». Pour mémoire, selon le Wall Street Journal, Alex Soros est le seul membre de la famille à siéger au comité d’investissement de Soros Fund Management, qui gère un capital de 25 milliards de dollars ainsi que sa fondation caritative. L’Open Society Foundation qui diffusent les idées du «progressisme »,parmi les « réformes » soutenues par les structures de Soros figurent la légalisation des drogues, la promotion des droits LGBT et la promotion de leurs « valeurs », l’introduction de l’euthanasie et de « l’éducation sexuelle » dans l’éducation. Soros a largement financé les campagnes électorales des candidats libéraux du Parti démocrate américain.
La CPI confirme qu’elle a émis des mandats d’arrêt contre Netanhayou, Gallant et un responsable du Hamas
La Cour Pénale Internationale profite de la fin de sa délibération sur les recours déposés par l’Etat d’Israël pour rendre public le fait qu’elle a émis des mandats d’arrêt internationaux contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant. Parallèlement, la Cour confirme que, n’ayant aucune preuve de son décès, malgré les affirmations israéliennes, elle a émis un mandat d’arrêt contre un dirigeant du Hamas, Mohammed Deif. On ne peut s’empêcher, cependant, de trouver la symétrie forcée. La Cour Pénale Internationale élabore ses analyses sans référence à la souveraineté des Etats. On comprend bien l’intérêt politique qu’il y a à renvoyer dos à dos le gouvernement israélien et un mouvement combattant palestinien. Pourtant, cela revient à perdre le sens des proportions: en utilisant de manière vague la notion de “crime contre l’humanité”, à la fois à propos du Hamas et de responsables israéliens, la Cour relativise, sans doute inconsciemment, les événements de Gaza. La Cour Pénale Internationale a confirmé ce matin qu’elle avait émis un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien et son ancien ministre de la Défense: Dans un autre communiqué, la Cour confirme qu’elle a émis un mandat contre Mohammed Deif, dirigeant du Hamas: Une symétrie forcée entre Israël et le Hamas, liée à l’abandon de la notion de souveraineté des Etats? A propos des responsables israéliens, la CPI écrit: A propos des Palestiniens, elle dit; Certains diront que la Cour Pénale Internationale se protège, en établissant un parallèlisme des formes entre l’Etat d’Israël et le Hamas. Il deviendrait plus difficile d’attaquer le procès fait aux deux dirigeants israéliens puisqu’on s’en prend, parallèlement, à un dirigeant du Hamas. A vrai dire, je ne crois pas que ce parallélisme apaise en quoi que ce soit les Israéliens. La comparaison entre Netanyahou et Deif ou Haniyeh est de toute façon sacrilège pour un pays (et ses alliés) qui traite(nt) le Hamas de “mouvement terroriste”. En réalité, la raison pour laquelle la Cour Pénale Internationale procède ainsi vient plutôt de l’idéologie qui fonde la Cour Pénale Internationale. A la différence le la Cour Internationale de Justice (la CIJ), qui est la Cour de l’ONU et fonde son analyse sur les Etats souverains qui sont membres de l’Organisation, la CPI, elle, a été fondée en 2002, en pleine révolution globaliste des relations internationales; elle juge des individus au lieu de poursuivre des Etats. C’est à ce titre que les textes annonçant les poursuites contre deux dirigeants israéliens et un dirigeant du Hamas opèrent une curieuse distinction entre “conflit international” et conflit “non international”. Le conflit entre Israël et “le Hamas” est défini comme “non international”. Néanmoins la Cour est habilitée à poursuivre les individus ayant commis des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité dans le cadre de cet affrontement. On comprend bien l’effet immédiat. On a quitté le droit international, qui permet par exemple – comme le fait la Chine à l’ONU – de considérer qu’il existe un droit de résistance à l’occupation des Palestiniens. Bien entendu, des combattants exerçant leur droit de résistance peuvent commettre des “crimes de guerre”. Mais Israël ne peut pas s’exonérer du respect des devoirs s’imposant à une puissance occupante. Parler en dehors du cadre des souverainetés étatiques, cela permet de renvoyer dos-à-dos Palestiniens et Israéliens, sans tenir compte de la disproportion des forces et surtout de la nature différente des combats menés: d’un côté une guerre menée contre peuple, qui débouche éventuellement sur un génocide; de l’autre une lutte contre l’arbitraire d’un régime d’occupation. Quels que soient les éventuels crimes commis de part et d’autre, la contextualisation devrait empêcher d’assimiler les situations, sauf à vouloir continuer à punir le peuple palestinien de ce qu’il lutte avec les moyens dont il dispose.
Donald Trump frappe fort contre la Chine
Il faut dire que le ton est monté entre Occidentaux et Chinois sur la question de l’origine du virus. Selon Donald Trump, il n’est pas exclu que la Chine l’ait délibérément laissé circuler depuis le laboratoire P4 de Wuhan. La France et la Grande-Bretagne se sont également inquiété d’une éventuelle intervention humaine dans la pandémie.
Ce ping-pong entre puissances a conduit à une convocation en bonne et due forme de l’ambassadeur chinois en France. Selon Le Drian, cette entrevue crispée s’est heureusement terminée. Il semblerait que ce soit le cas, puisque le blocage chinois a été levé dans la foulée de cette entrevue.