Depuis mi-décembre 2021, le nombre d’individus testés positifs au variant Omicron n’a cessé de progresser. Dans sa saisine du 30 décembre 2021, le Directeur Général de Santé a demandé à la HAS de penser à l’utilisation des « autotests antigéniques sur prélèvement nasal chez les personnes identifiées comme contact à risque », ce qui concerne aussi bien les vaccinés que les autres.
Un moyen pour freiner la progression d’ Omicron
Dans son avis du 30 décembre 2021, la Haute Autorité de santé (HAS) s’est prononcée en faveur de l’extension de l’utilisation des autotests de détection antigénique du SARS-CoV-2 sur prélèvement nasal chez les personnes-contacts
Face à la hausse des nouveaux cas de contamination, le Directeur Général de Santé a saisi la HAS. Ce dernier estime qu’il ne faudrait plus se contenter des tests virologiques réalisés par les professionnels habilités. Il recommande de recourir aux autotests antigéniques sur prélèvement nasal afin de limiter les contaminations.
Cette mesure devrait permettre d’identifier rapidement les individus contaminés et de mettre en place une prise en charge adéquate. En fait, sans le dire, la HAS tient compte du fait qu’être vacciné ne protège pas de la contamination.
Remplacement de la quarantaine par une surveillance par autotest
Pour faire face à la forte circulation du variant Omicron, la stratégie d’utilisation des autotests antigéniques va bientôt évoluer selon le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP). Désormais, le contact warning va remplacer le contact-tracing. Autrement dit, les patients contaminés seront en charge de contacter les personnes en contact avec eux.
La prise en charge des personnes-contact va aussi changer en fonction de leur statut vaccinal. Pour les individus entièrement vaccinés, la surveillance par autotest va remplacer la quarantaine. Les personnes non-vaccinées doivent se soumettre aux mesures de restriction en vigueur. À titre d’exemple, elles ne pourront pas fréquenter les endroits clos.
L’information des personnes cas contact est juste aberrante. La CPAM et/ ou l’ARS n’envoient pas les infos, y compris aux premiers concernés;
les personnes ayant contracté le COVID (plusieurs exemples dans mon entourage = le discours, secteurs privé et public, est illisible!) ne savent même plus que faire car leur responsables hiérarchiques ou DRH ne savent que répondre !…
En plus, certaines caisses de SS communiquent mal avec le système « Pass » géré par la caisse générale.
Je connais un exemple d’un militaire, ayant fait sa première dose dans « le civil », mais la deuxième (après la fausse obligation pour les militaires) par le Service de Santé des Armées, qui a bien obtenu son « pass », mais le renouvellement ne semble pas possible, alors qu’il est rétabli après une contamination Omicron saisi dans le système général (tests faits en vacances dans une pharmacie).
Bref, leur usine à gaz est en train de s’effondrer, en faisant des tas de mécontents, ce qui est très bien pour faire comprendre aux mougeons que le problème est ailleurs.
Moi, je n’ai rien fait, ni « vaccin », ni « test », mais j’ai attrapé Omicron… par le reste de ma famille tous « vaccinés » 2 fois pour les plus jeunes, 3 fois pour mes contemporains, ça été réglé en 2 ou 3 jours de grosse fatigue, sans fièvre, mais avec impossibilité de dormir (pb de production de la mélatonine ?), suivi d’une semaine avec un peu de toux.
Je n’ai même pas fait de test, tous mes proches ayant les mêmes symptômes et étant positifs, il n’y a en pas besoin. Même mon médecin n’est pas au courant, je ne vais pas le voir pour une grippe, donc c’est aussi inutile pour Omicron.
Les tests PCR ne discriminent pas le Covid d’une grippe (la FDA vient enfin de le reconnaître et a demandé aux fabricants d’y remédier).
Question: les tests antigéniques peuvent-ils faire cette distinction? Sachant que le Sars-Cov 2 n’a jamais été isolé…
La France a le record mondial des cas… et des tests!
Vous faites vous tester pour la Variole, la Rougeole, la Diphtérie etc…..NON….comme c’est étrange…..alors pourquoi se faire tester tous les matins pour une maladie « inventée », issue d’un virus « breveté » qui ne peut donc exister dans la nature et qui n’est donc qu’une modélisation informatique ?