Discrètement, la filiale arabe du Crédit Agricole, l'Union des Banques Arabes et Françaises (l'UBAF) vient de négocier une transaction avec les autorités américaines pour éviter une sanction de plusieurs milliards$. L'UBAF se voit reprocher 127 violations de l'embargo sur la Syrie. L'affaire passe à peu près inaperçue en France, mais interroge une fois de plus sur le rôle des entreprises et des banques françaises dans le conflit entre la Syrie et DAESH.
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Le Trésor américain vient de publier une information selon laquelle il a signé une transaction avec l’UBAF, filiale à 47% du Crédit Agricole, sur une amende de 8,57 million $ évitant à cette banque une sanction de 4 milliards en cas de contentieux.
Les autorités américaines reprochent à la banque franco-arabe d‘avoir contourné les sanctions américaines en Syrie en agissant pour le compte d’organismes sanctionnés.
Il reste à écrire l’histoire des relations financières entre les grandes entreprises françaises et les protagonistes du conflit en Syrie. Une histoire encore très secrète.
Le Bon Sens loin de chez Nous !
Fabius armait les « rebelles legalistes » qui se sont averes DAESH BOYS , Le C.A. a su compenser les mauvaises manières collaborationniste de Lafarge Holcim !
La France a aidé les djihadistes en Syrie, j’ai lu ça quelque part!
Le président de la Syrie Bachar El Assad n’a rien d’un terroriste de Daech : son pays en a été victime.
Si une banque l’a aidé , elle a fait son travail de banquier à l’égard de vieux clients. : la Syrie a honteusement été agressée et affamée par le collectif des intérêts visant à changer un président souverain . C’est très bien qu’elle ait pu être aidée quand d’autres armaient ses ennemis .