La réforme des retraites est une nouvelle fois le sujet qui fâche dans le débat public, au point que, lors du sommet social tenu à l'Elysée aujourd'hui, tout le monde y a pensé sans oser en parler. C'est à peine si Emmanuel Macron y a fait allusion de façon tarabiscotée pour dire qu'il allait fermement procrastiner sur le sujet, comme un mauvais élève qui n'a pas envie de se coller à sa dissertation de philosophie, mais promet qu'il va rendre quelque chose la semaine suivante. L'exercice est moins simple qu'il n'y paraît : il s'agit de rassurer les partenaires européens sur notre intention sincère de réformer, quand tout le monde est secrètement d'accord pour enfumer une nouvelle fois l'épargnant allemand.
Faut-il rappeler ici combien la réforme des retraites est devenue centrale dans les exigences européennes depuis que le Conseil d’Etat a suspendu l’application de la réforme de l’assurance-chômage ? Si Emmanuel Macron veut donner du grain à moudre à la Commission pour éviter une procédure d’infraction pour déficit excessif, il doit impérativement donner le sentiment qu’il se préoccupe des déficits publics, à commencer par celui des retraites. Et ce grain à moudre doit être suffisamment convainquant pour éviter les fureurs vonderleyennes.
Comment convaincre Ursula quand on a rien dans les poches ?
Toute la difficulté d’Emmanuel Macron tient à son absence de crédibilité globale devant ses partenaires. Cette réforme des retraites, il l’annonce depuis bientôt cinq ans, et toujours rien ne s’est passé. Comme nous l’avions indiqué, le gouvernement avait parié sur la réforme de l’assurance-chômage pour rassurer nos partenaires européens.
Et finalement, nous n’avons ni l’un ni l’autre, ce qui devrait passablement agacer le futur gouvernement CDU qui devrait s’installer en septembre à Berlin.
Il faut donc donner le change, préparer la mariée pour convaincre nos créanciers que nous sommes prêts à faire des efforts. Et Macron a mené l’exercice d’aujourd’hui avec cette obsession de ne surtout pas être pris en défaut de crédibilité sur son intention de réformer (alors même qu’il n’en a aucune envie et qu’il a probablement décidé de reporter l’opération à un prochain quinquennat, que ce soit le sien ou celui d’un autre).
Communiquer, occuper le terrain, multiplier les effets de manche, divertir l’auditoire, éviter les faux pas: que surtout personne ne s’aperçoive que le roi est nu, que la Commission paie, et que les Français votent bien l’an prochain. Voilà la stratégie de notre bon Président dans un exercice qui ressemble de plus en plus à une farce de premier ordre.
Surtout, lavons le linge sale en famille
Emmanuel Macron a donc réussi l’exploit de réunir les partenaires sociaux aujourd’hui pour leur parler d’avenir, de monde d’après, sans rien leur souffler sur ses projets concernant un dossier mineur, il est vrai, à savoir l’âge de départ à la retraite. Il semble seulement avoir annoncé qu’il s’exprimerait la semaine prochaine sur cette question.
Cette discrétion est d’autant plus drolatique que les mouvements patronaux ne bruissent que d’une seule rumeur depuis une quinzaine de jours : Macron va profiter de l’été pour réformer.
Mais on comprend bien le handicap que le Président devait surmonter aujourd’hui : évoquer urbi et orbi la réforme des retraites, c’était s’exposer à l’expression d’un désaccord public unanime des syndicats (patronat compris). Rien ne pouvait plus inquiéter nos partenaires allemands qu’une telle cacophonie, puisque les Allemands, 150 ans après leur naissance à Versailles, en pleine occupation du territoire français, n’ont toujours rien compris à l’art gaulois de ne pas être d’accord.
Donc, Macron a évité la mine anti-personnelle qui l’attendait, tout en glissant quelques idées sur sa vision de la réforme.
La victoire finale du baratin
Car le plus fort, dans cette affaire, tient à la confusion qu’Emmanuel Macron a intentionnellement semée dans ses projets de réforme :
D’après Philippe Martinez, le patron de la CGT, Emmanuel Macron a fait savoir qu’il pourrait “ prolonger le travail engagé en 2019 pour voir les conditions dans lesquelles on pourrait faire les choses”. Le chantier lancé à l’époque au-delà de la création d’un régime universel prévoyait notamment de refondre la pension de réversion, de prendre en compte de primes dans le calcul de la retraite pour les fonctionnaires mais aussi de revaloriser les petites pensions. “On pourrait reprendre la discussion sans aller dans la réforme paramétrique”, espère Cyril Chabanier de la CFTC.
Comprenne un traître mot qui pourra dans ce charabia, si ce n’est que Macron a décidé de tergiverser pour ne pas prendre l’Himalaya par la face Nord. Il y aura donc bien une réforme des retraites, mais, pour noyer le poisson, on va sophistiquer l’exercice en introduisant une masse incommensurable de mesurettes qui vont rendre la mariée plus présentable. Et le temps passé à palabrer pour ajuster les mesurettes sera autant de temps gagné pour ne pas entrer dans le vif du sujet.
Bref, auprès de ses partenaires européens, Macron gagne du temps et cherche par tous les moyens à limiter les dégâts. C’est ce qui s’appelle baratiner ses partenaires.
En Gaule, rien de nouveau
Pour faire simple, Macron prépare une vaste opération d’enfumage collectif sur cette affaire des retraites, qui devrait se réaliser, comme souvent, au détriment des finances publiques.
Enfumage des partenaires européens d’abord : la réforme tant annoncée, ne verra pas le jour, comme nous l’avons toujours annoncé, faute d’une légitimité politique suffisante. L’exercice qui se prépare consistera donc à faire croire que l’on réforme, tout en ne réformant pas, grand classique français depuis une quarantaine d’années.
Enfumage des Français ensuite : dans la pratique, le Président ne touchera pas un cheveu au système injuste qui conduit à favoriser fortement les fonctionnaires dans les départ à la retraite. En revanche, il multipliera les astuces convenues pour améliorer tel ou tel point technique qui, au final, coûteront plus cher que le statu quo.
Bref, que du classique. Et pendant ce temps, la saignée dans les entreprises pour financer cette gabegie étouffe le pays.
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Faire rentrer dans le calcul retraite des fonctionnaires leurs primes était une idée de l’inénarrable Fillon.
Cet artifice va permettre de faire passer tout le reste et de continuer à piller les caisses des professions libérales, comme l’ont été avant elles celles des indépendants.
Les fonctionnaires ne bougeront pas, c’est un véritable cadeau qui leur est fait, les primes représentent une part importante de leurs revenus, peu importe si le calcul porte sur d’avantages d’années, une carrière de fonctionnaire est linéaire et stable.
En revanche, c’est la boîte de Pandore qui est ouverte, une fois cette mesure appliquée, les primes des fonctionnaires, qui passent sous les radars car impossibles à en déterminer l’ampleur, vont augmenter de façon exponentielle.
Au vu de l’ambiance festive actuelle, qui ne vas aller en s’arrangeant, les fonctionnaires devront raser les murs sous peu.
La plus grand partie des fonctionnaires n’ont aucune prime alors vous pouvez garder vos remarques totalement déplacées. Les calculs réforme à points montraient une perte de 40 pourcents du niveau des pensions. Et pour info les fonctionnaires touchent 72 pourcents de leur salaire à la retraite et le privé 75 pourcents. Car ils n’ont aucune retraite complémentaire eux. Encore une occasion de la fermer. Quand on n’y connaît rien, on se tait.
Eu égard á l’armée de fonctionnaires français, chaque français connait de fait un ami ou un membre de sa famille qui sévisse dans la fonction publique. Ce qui nous donne une idée très précise des avantages dont bénéficie ce qu’il faut nommer une caste.
Rajoutons á ça la garantie d’emploi, une retraite en or massif, un salaire moyen qui dépasse celui du privé , des RTT, pas de jour de carence, des réductions sur tout (loisirs, vacances, voyages, presse, la liste n’est pas exhaustive).
Et dis toi que je peux parfaitement vivre sans fonctionnaires, en revanche, l’inverse n’est pas vrai. Et puis tu sais, si t’es pas satisfaite de ton sort, va tenter ta chance dans le privé. Bonne chance.
Avec des CV aussi vides, ils n’ont aucune chance dans le privé, ils le savent, il s’accrochent donc à leurs rentes et à leurs privilèges comme la moule à son rocher.
Qui sera le juge de paix ?
La banqueroute. La banqueroute suite à l’écroulement du Système de Ponzi de la finance mondialisée, qui retient encore notre système moribond par les cheveux, sans aucun filet de sécurité en dessous.
Comme les dirigeants et énarques français (je ne pense jamais à Eric Verhaeghe quand je parle des …, bien entendu) ne veulent pas être responsables de la première brique à enlever des fondations du système, ce serait signer leur arrêt de mort, ils attendent avec impatience que ce soit une conjoncture extérieure qui s’en charge. Comme en 40 !
Car la vie à l’intérieur du système bureaucratique français n’est pas plus confortable qu’à l’extérieur, où l’on crève en silence depuis des décades – de mois, d’années ? C’est même bien pire car la température intérieure y est celle d’un volcan avant le collapsus.
Je plussoie et j’ajoute qu’ayant de nombreux membres de ma famille fonctionnaires, un certain nombre d’entre eux sont sidérés (en privé ils l’avouent) des avantages et prébendes extraordinaires dont ils bénéficient! Rappelons que le nombre de fonctionnaires et assimilés c’est 30% de la population active française (source Le Point).
Bonjour , j’ai 69 ans 164 trimestres cotisés je suis actif soit encore 8 années à 4 trimestres soit32 plus 164=196 trimestres, pensions 540 euros sécurité social, 200 euros complémentaire , rsi 190 euros par mois le 930 euros, je ne sais pas qui doit le fermer
Salut lentile. Ta situation me crève le cœur, réellement, la France est un pays de fous, et combien de gens sont dans ta situation ? Ma copine Laure a bien fait de ramener sa fraise, elle a eu les félicitations du jury.
Les primes et indemnités
Les primes et indemnités représentent en moyenne 30 % du traitement brut de base des fonctionnaires de l’Etat en 2018[3]. Source Fipeco
la paie du fonctionnaire est composée du traitement indiciaire auquel s’ajoutent les primes et les indemnités. Source portail de la fonction publique.
Je crois que vouv vous trompez lourdement Madame, en plus d’être un peu agressive
Quand les fonctionnaires auront autant bougé leur Q que les privés pour n’avoir (souvent) qu’une retraite à peine décente, votre com aura peut être une quelconque valeur. Une occasion pour moi de l’ouvrir et non de la fermer, je sais de quoi je parle.
Fille de fonctionnaire et ex épouse d’artisan commerçant.
Et Préfon Retraite, c’est du poulet ?
https://demande.prefon-retraite.fr/page-demande-documentation-02/demandedoc.php?orp=MARQ_LP02_ADW&gclid=EAIaIQobChMI29CQnK_Q8QIVjLHtCh1RZgOGEAAYASAAEgKi2_D_BwE
https://www.capital.fr/votre-retraite/prefon-retraite-1395953
C’est d’autant plus marrant, ce Préfon Retraite, qu’on a interdit au secteur privé de bénéficier en France de la retraite par capitalisation, alors que cette possibilité est offerte aux fonctionnaires depuis… le 8 mai 1964.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9fon
La plus grande partie des fonx ne sert à rien et sont en charge de ce qui ne les regarde pas . Personne n’a besoin d’eux hors des fonctions régaliennes strictes ( sécurité intérieure et extérieure, forces de l’ordre, justice) pour tout le reste le privé fait mieux à moindre coûts .
Avec le bémol indispensable, à savoir qu’il faut en permanence appliquer une surveillance à la culotte au privé, ce que d’ailleurs prône l’état tout en se gardant bien de le faire et pire, car en étant totalement laxiste, il encourage la fragilité systémique – cf toutes les grandes banques françaises qui auraient déjà déposé le bilan si la BCE n’avait pas œuvré dans l’ombre en fin d’année dernière et en mars de cette année pour un total dépassant les €500 Mds, excusez du peu ( visionnez ça, c’est un peu long, mais terriblement édifiant : https://www.youtube.com/watch?v=Nhao4Mb8UBE )
Il faut en sus, avoir des indicateurs valables de performance ce que, là encore, l’état prône, mais ne met surtout pas en place (on ne sait jamais, des fois que les gens se mettent à évaluer sa performance et décident de payer les politocards le prix qu’ils valent au lieu du prix qu’il pensent valoir;)
C’est cela, oui… et bien entendu, dire que le calcul de leur retraite ne se fait que sur leurs 6 derniers mois de traitement (à opposer aux 25 ans de salaire du privé…) et que les promotions-canapé fleurissent tellement lors de leur dernière année qu’on peine à les dénombrer n’est pas PC – ça tombe bien, je ne suis pas PCet de plus, j’ai été élevé par un grand-père qui était haut-ponktionnaire.
Ou avez vous que dans le privé la retraite est de 75% de son dernier salaire ???? 50% pour les cadres, et encore faut regarder en net d’impôts…
Quand on ne connaît pas on se tait n’est ce pas?
Hé oui! augmenter 1.2 millions de salaires en catégorie C et “en même temps” réformer sans conflit les retraites en ménageant la chèvre et le chou, comme disait flamby, “c’est pas facile” . S’il n’a que ça dans sa musette, il est mal barré, et nous aussi .
L’art, c’est 1% de génie, 99% de travail.
La politique, c’est 1% de réalisations, 99% de baratin.
Le macronisme, c’est la formulation précédente, dotée d’un multiplicateur médiatique 100 à la mode orwello-pravdaïque. L’agence US McKinsey (CIA), qui conseille actuellement le Loc55, c’est le crime (Crise des Opiacés, 573 millions de $ de pénalités, 500.000 décès entre 1999 et 2018) ajouté au mensonge et à la manipulation chers aux Dix Stratégies de Manipulation des Masses de Noam Chomski.
Les mots qu’assemble énarchiquement « Dieu est parmi nous » dans ses discours n’auront strictement aucune conséquence dans le réel, « Le verbe ne se sera pas fait chair ». Il vociférera jusqu’à son passage, mais, fondamentalement, c’est le cas de le dire, dans son fondement quoi, il se couche, il s’offre à son maître. Sous les Barbaresques, il aurait été le meilleur produit sur les marchés aux esclaves de Tunis et d’Alger. Il serait devenu eunuque en chef.
Mais quand les mots se sont-ils fait chair après être sortis de sa bouche ? Si quelqu’un a un souvenir, je suis preneur… « Paroles, paroles, paroles » Dalida, s’il te plaît, reviens ! « Ce sont des fous ! » dit hier le Professeur Didier Raoult en parlant des politiques de vaccination en France. Sa femme est psychiatre, il sait de quoi il parle. Ici, cela fait longtemps qu’on dit que les cinglés ont pris le pouvoir dans l’Hôpital Psychiatrique à ciel ouvert qu’est devenue la France. Les quantités gigantesques de psychotropes refourguées le plus officiellement du monde comme des smarties par les médecins et les pharmacies en attestent.
On ne parlera pas des trafics de drogue organisés par l’ISESCO en Europe pour :
1. Faire des combattants du prophète des néo Nizârites sans pitié ;
2. Anéantir le patriotisme national dans les nuages de fumée à la Sun Tzu – et l’entrisme dans le sport, qui n’est qu’un succédané de la guerre ; si l’on pouvait développer ces sujets transversaux et structurels avec les moyens du Courrier des Stratèges, ce serait bien.
« Si tard que parte la vérité, elle rattrape toujours le mensonge. »
Proverbe Africain
« Les Français préféreront toujours un mensonge bien formulé, alors que les allemands privilégient une vérité mal dite. »
Emil Cioran (1911-1995), philosophe et écrivain roumain, d’expression roumaine initialement, puis française
« Il faut bien que la vérité monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que des mensonges. »
Louise Michel (1830-1905), institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris
« L’URSS est le pays du mensonge intégral. Staline et ses sujets mentent toujours, à tout instant, en toutes circonstances, et à force de mentir ne savent même plus s’ils mentent. Ils baignent dans une atmosphère saturée de mensonge. Et quand chacun ment, personne ne ment plus en mentant. Là où tout ment, rien ne ment (…) Unique réalité : la terreur qui décompose les esprits et empoisonne les consciences. »
en 1938 in La vie Intellectuelle
Boris Souvarine (1895-1984), militant politique, journaliste, historien et essayiste russe naturalisé français
« Le mensonge est, comme le tabac et les allumettes, monopole d’État. »
Henri Jeanson (1900-1970), écrivain, journaliste et scénariste français, satrape du Collège de Pataphysique
Tu as aussi : “À chacun de mes échanges avec un politique, j’ai eu l’impression de boire dans un crachoir” [E. Hemingway]
Excellente Joseph-P !
Tellement vrai.
Quel « immobilisme » ?
Avant de penser a ces soi disant « réformes », jamais votées directement par le peuple ,
IL FAUT RÉCUPÉRER L’ARGENT DÉTOURNÉ PAR CENTAINES DE MILLIARDS CHAQUES ANNÉES (de la fraude fiscale , sociale , le coût de l’UE , de l’Euro , de l’OTAN , de l’imm… , coût du chômage , De la délinquance , de la pollution , des subventions indues , Coût des rachats de brevets et d’entreprises rentables que les épargnants français devraient être prioritaire a investir , ect
A lire « kleptocratie française » d’heloise Benhamou
Charles pratz , ect
Je ne vais pas soutenir Macron mais, en l’occurrence, l’Europe ferait bien de commencer par fermer nos frontières aux immigrés. Cela créerait une éclaircie dans nos dépenses faramineuses (notamment au niveau des retraites).